Critiques pour l'événement Le Jardin d'Alphonse
Comme la rivière sous le soleil, cette histoire brille des étincelles de l’humour. Elle serpente entre les montagnes d’incompréhension si habituelle en famille, mais elle brise aussi les barrages de glace de chaque personnage.
On suit le courant du récit et on découvre pleins de sources - allusions - qui enrichissent et expliquent petit à petit « les pourquoi et comment ». Karina Marimon est inoubliable, si naturelle, si pétillante, si drôle et touchante. Sandrine Le Beurre - dérangeante, presque détestable, tranchante. Leurs jeux balance la pièce et mène le frégate de l’histoire.
Très bon moment.
On suit le courant du récit et on découvre pleins de sources - allusions - qui enrichissent et expliquent petit à petit « les pourquoi et comment ». Karina Marimon est inoubliable, si naturelle, si pétillante, si drôle et touchante. Sandrine Le Beurre - dérangeante, presque détestable, tranchante. Leurs jeux balance la pièce et mène le frégate de l’histoire.
Très bon moment.
Pièce vraiment vivante, pleine d'acteurs (9 je crois), d'humour et de sentiment. On rit franchement et on découvre peu à peu les secrets de cette famille. Je recommande vivement.
C'est la première pièce que j'ai vue en rentrant de vacances, et c'est ce qu'on appelle une pièce sympathique!
Mais pas plus ...
Heureusement, le jeu de Karina Marimon, qui est génial, donne du relief à ce spectacle un peu convenu, un peu déjà vu ... Un manque de panache, compte tenu du contexte !
Mais pas plus ...
Heureusement, le jeu de Karina Marimon, qui est génial, donne du relief à ce spectacle un peu convenu, un peu déjà vu ... Un manque de panache, compte tenu du contexte !
C’est sans conteste la meilleure pièce que Didier Caron a écrit. C’est une comédie pleine de sensibilité, d’humour et de vérité. La mort du patriarche Alphonse est l’occasion de réunir la famille élargie aux proches. Les répliques sont piquantes et cinglantes.
On va du rire aux larmes. Les vieux souvenirs et les rancœurs remontent à la surface. On frise le drame, mais l’amour l’emporte à la fin. Chaque famille peut retrouver un peu d’elle-même dans cette comédie tendre amère. C’est agréablement interprété par une troupe d’acteurs bien chacun dans leurs rôles.
Didier Caron est fidèle à lui-même en mari de Karina Marimon, une irrésistible femme juive sépharade qui nous fait rire à chaque réplique. La vérité est parfois dure à entendre mais tout va bien qui fini bien.
On va du rire aux larmes. Les vieux souvenirs et les rancœurs remontent à la surface. On frise le drame, mais l’amour l’emporte à la fin. Chaque famille peut retrouver un peu d’elle-même dans cette comédie tendre amère. C’est agréablement interprété par une troupe d’acteurs bien chacun dans leurs rôles.
Didier Caron est fidèle à lui-même en mari de Karina Marimon, une irrésistible femme juive sépharade qui nous fait rire à chaque réplique. La vérité est parfois dure à entendre mais tout va bien qui fini bien.
Une pièce facile, très sympathique, bien écrite, pendant laquelle les éclats de rire sont nombreux, mais pas forcés (et pas à la chaîne non plus, ni trop potaches!)
Bref, une bonne bouffée d'air frais :)
Bref, une bonne bouffée d'air frais :)
Une jolie pièce, fine, acérée même, qui porte un regard assez pessimiste sur la famille... Un petit côté Festen en Bretagne... Très joli décor, simple et chaleureux.
L'auteur se laisse parfois aller au plaisir (coupable !) du mot d'auteur. L'interprétation est inégale, mais avec une majorité d'actrices et d'acteurs talentueux et investis.
On passe une très bonne soirée. A conseiller.
L'auteur se laisse parfois aller au plaisir (coupable !) du mot d'auteur. L'interprétation est inégale, mais avec une majorité d'actrices et d'acteurs talentueux et investis.
On passe une très bonne soirée. A conseiller.
Le jardin c'est celui du défunt Alphonse. Nous y retrouvons la famille Lemarchand et leurs plus proches amis pour le repas qui suit l'enterrement du patriarche.
Comme souvent dans les familles c'est lors de ce type d'événement que se réunissent ceux qui parfois ne se sont pas vus depuis plusieurs années. Jean-Claude, nouveau chef de famille, profite de cette journée pour annoncer à ses trois enfants qu'il souhaite leur léguer la maison de famille. Magali sa fille rétorque qu'elle n'en veut pas de sa part sur cette maison. Elle lance ainsi la "journée de la torgnole". Au cours de l'heure qui suit tous vont en finir avec les non-dits, faire craquer le vernis des apparences, lâcher les rancœurs si longtemps enfouies, délivrer les petits et grands secrets. Jusqu'à Alphonse qui par-delà les cieux leur adresse un dernier message.
Rien de bien nouveau donc dans cette situation de famille. Et pourtant Didier Caron a réussi à éviter tous les clichés. On ne s'ennuie pas une seconde et on rit beaucoup. Le texte est truffé d'humour, de bons mots, de répliques parfois acerbes mais toujours fines, de clin-d’œil à la société française de 2017. On y voit une famille reconstituée, des demi-frères et demi-sœur, des communautés religieuses qui se côtoient dans la convivialité, un couple de lesbiennes, un anarchiste et un libéral, des couples en crise, des individus en quête de racine, qui ont besoin de savoir d'où ils viennent pour pouvoir aller plus loin. (Bon je ne vous cache pas que ça manque encore de diversité pour être vraiment le miroir de la France de 2017, mais c'est un autre débat).
C'est avant tout une comédie où toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire. Les neuf personnages sont parfois caricaturés mais jamais on ne tombe dans la lourdeur ni le rire gras. Chacun d'eux nous parle, nous rappelle quelqu'un dans notre entourage ou une situation déjà vécue. La réussite de cette comédie ne tient pas qu'à la qualité de la plume de Didier Caron. Les neuf comédien.nes sont tous justes. Les personnalités sont bien définies, l'interprétation est naturelle, la complémentarité parfaite, l'émotion sincère. Et puis il y a ce décor d'une grande beauté, si bien réalisé qu'on sent le souffle du vent qui secoue le pin parasol venir nous soulever les cheveux. Malgré la tempête qui secoue les protagonistes on aspire à se poser avec eux à l'ombre de l'arbre plusieurs fois centenaire.
En bref : Dans le jardin d'Alphonse on rit, on cri, on pleure, on s'aime, on se déchire, on se cherche, on se provoque, on se chamaille, bref, on vit. Et comme on est en France, tout se termine en chanson. Une halte s'impose dans ce jardin qui appelle à la paix et à la sérénité à l'ombre de son pin parasol.
Comme souvent dans les familles c'est lors de ce type d'événement que se réunissent ceux qui parfois ne se sont pas vus depuis plusieurs années. Jean-Claude, nouveau chef de famille, profite de cette journée pour annoncer à ses trois enfants qu'il souhaite leur léguer la maison de famille. Magali sa fille rétorque qu'elle n'en veut pas de sa part sur cette maison. Elle lance ainsi la "journée de la torgnole". Au cours de l'heure qui suit tous vont en finir avec les non-dits, faire craquer le vernis des apparences, lâcher les rancœurs si longtemps enfouies, délivrer les petits et grands secrets. Jusqu'à Alphonse qui par-delà les cieux leur adresse un dernier message.
Rien de bien nouveau donc dans cette situation de famille. Et pourtant Didier Caron a réussi à éviter tous les clichés. On ne s'ennuie pas une seconde et on rit beaucoup. Le texte est truffé d'humour, de bons mots, de répliques parfois acerbes mais toujours fines, de clin-d’œil à la société française de 2017. On y voit une famille reconstituée, des demi-frères et demi-sœur, des communautés religieuses qui se côtoient dans la convivialité, un couple de lesbiennes, un anarchiste et un libéral, des couples en crise, des individus en quête de racine, qui ont besoin de savoir d'où ils viennent pour pouvoir aller plus loin. (Bon je ne vous cache pas que ça manque encore de diversité pour être vraiment le miroir de la France de 2017, mais c'est un autre débat).
C'est avant tout une comédie où toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire. Les neuf personnages sont parfois caricaturés mais jamais on ne tombe dans la lourdeur ni le rire gras. Chacun d'eux nous parle, nous rappelle quelqu'un dans notre entourage ou une situation déjà vécue. La réussite de cette comédie ne tient pas qu'à la qualité de la plume de Didier Caron. Les neuf comédien.nes sont tous justes. Les personnalités sont bien définies, l'interprétation est naturelle, la complémentarité parfaite, l'émotion sincère. Et puis il y a ce décor d'une grande beauté, si bien réalisé qu'on sent le souffle du vent qui secoue le pin parasol venir nous soulever les cheveux. Malgré la tempête qui secoue les protagonistes on aspire à se poser avec eux à l'ombre de l'arbre plusieurs fois centenaire.
En bref : Dans le jardin d'Alphonse on rit, on cri, on pleure, on s'aime, on se déchire, on se cherche, on se provoque, on se chamaille, bref, on vit. Et comme on est en France, tout se termine en chanson. Une halte s'impose dans ce jardin qui appelle à la paix et à la sérénité à l'ombre de son pin parasol.
Au regard de la qualité du texte et de la psychologie des personnages, nous aurions aimé attribuer une note supérieure à cette très bonne pièce mais nous avons été trop souvent gênés par un décalage dans les échanges qui, bien qu’infime, donnait l’impression d’un manque de lien entre les comédiens ou un mauvais investissement dans leurs personnages.
Cependant, l’abattage et la truculence de Karina MARIMON, l’ironie et la causticité de Didier CARON, la fragilité et la violence de Sandrine LE BERRE et la douce folie et le décalage de Véronique VIEL nous ont conquis totalement. Un très grand bravo à Sébastien BARBAUD pour son excellent décor : un arbre, une palissade, une table et des chaises et : « what else » ?
Faisons le vœu que la gangue de notre critique disparaisse très vite au fil des représentations et ne ternisse plus ce petit diamant qui devrait rester longtemps à l’affiche.
Cependant, l’abattage et la truculence de Karina MARIMON, l’ironie et la causticité de Didier CARON, la fragilité et la violence de Sandrine LE BERRE et la douce folie et le décalage de Véronique VIEL nous ont conquis totalement. Un très grand bravo à Sébastien BARBAUD pour son excellent décor : un arbre, une palissade, une table et des chaises et : « what else » ?
Faisons le vœu que la gangue de notre critique disparaisse très vite au fil des représentations et ne ternisse plus ce petit diamant qui devrait rester longtemps à l’affiche.
Une sympathique petite comédie estivale aux charmes convenus des histoires de famille nourries de secrets, de révélations et de leurs rebondissements.
Tous réunis dans le jardin du grand-père Alphonse, enfants, petits-enfants et amis vont savoir enfin sans l’avoir demandé qui est qui et qui a fait quoi dans cette famille. Un méga grand jeu de « la vérité, si je mens, je ne mange plus chez Mamouche » !
C’est drôle et c’est gentil, c’est moqueur le temps d’en rire et ça fonctionne du feu de dieu(x). Oui bon, faut voir la pièce pour le pluriel. Le public est hilare tant il s’amuse. Certains-mêmes commentent comme s’ils étaient devant la télé du salon, un jour de rediffusion des épisodes 1 à 30 de Plus Belle la Vie. C’est rigolo aussi !...
Le texte est adroitement écrit par Didier Caron selon les recettes efficaces et éprouvées du café-théâtre et de la comédie sentimentale. La cadence des traits et des répliques est parfaitement dosée. Les formules font mouche tellement elles sont bien ficelées, parfois avec de gros bouts.
La mise en scène de l’auteur et de Véronique Viel sert le texte avec fluidité et une forme d’élégance esthétique qui surprend et ravit.
La distribution nombreuse et équilibrée raconte cette histoire avec finesse et engagement.
Le public est conquis. Les saluts renouvelés, mérités. Une sympathique petite comédie estivale.
Tous réunis dans le jardin du grand-père Alphonse, enfants, petits-enfants et amis vont savoir enfin sans l’avoir demandé qui est qui et qui a fait quoi dans cette famille. Un méga grand jeu de « la vérité, si je mens, je ne mange plus chez Mamouche » !
C’est drôle et c’est gentil, c’est moqueur le temps d’en rire et ça fonctionne du feu de dieu(x). Oui bon, faut voir la pièce pour le pluriel. Le public est hilare tant il s’amuse. Certains-mêmes commentent comme s’ils étaient devant la télé du salon, un jour de rediffusion des épisodes 1 à 30 de Plus Belle la Vie. C’est rigolo aussi !...
Le texte est adroitement écrit par Didier Caron selon les recettes efficaces et éprouvées du café-théâtre et de la comédie sentimentale. La cadence des traits et des répliques est parfaitement dosée. Les formules font mouche tellement elles sont bien ficelées, parfois avec de gros bouts.
La mise en scène de l’auteur et de Véronique Viel sert le texte avec fluidité et une forme d’élégance esthétique qui surprend et ravit.
La distribution nombreuse et équilibrée raconte cette histoire avec finesse et engagement.
Le public est conquis. Les saluts renouvelés, mérités. Une sympathique petite comédie estivale.
Didier Caron a décidé de réunir pour son nouveau spectacle des comédiens qui ont l’habitude de la scène et de la comédie grand public.
On y rencontre l’auteur et metteur en scène, Véronique Viel, Sandrine Le Beurre, Karina Marimon, Julia Dorval, Romain Fleury, Arnaud Pfeiffer, Michel Fedder et Christiane Ludot. Aidé de ces comédiens il aborde le divorce, la séparation, les aventures d’un soir, la famille, la famille recomposée, les beaux-parents, l’homosexualité, l’alcoolisme, la superficialité, la seconde guerre mondiale (point godwin ? ), l’amitié, la maladie…
Un paquet de sujets qui se mélangent assez bien. Même si les clichés sont quand même légion et que rien n’arrive de très surprenant car les ficelles utilisées sont toujours pareilles, on passe un bon moment. Les comédiens savent faire vivre leur texte malgré un décor qui fait assez carton-pâte.
Un grand bravo à Karina Marimon/Suzanne sur qui le comique du spectacle repose beaucoup. Habituée au personnage de nunuche, elle incarne encore une fois une femme pleine d’innocence et de bienveillance. Ces répliques tombent toujours juste avec le ton qu’il faut pour mettre de l’absurde à l’histoire. Son interprétation fait rire le public mais aussi les autres comédiens sur scène qui malgré le fait qu’il connaisse le texte ont bien du mal à réprimer un sourire ou un rire discret.
Un spectacle sympathique, sans surprise, mais qui plaira pour sa légèreté et sa climatisation. Idéal pour vous videz la tête en fin de soirée avec des potes.
On y rencontre l’auteur et metteur en scène, Véronique Viel, Sandrine Le Beurre, Karina Marimon, Julia Dorval, Romain Fleury, Arnaud Pfeiffer, Michel Fedder et Christiane Ludot. Aidé de ces comédiens il aborde le divorce, la séparation, les aventures d’un soir, la famille, la famille recomposée, les beaux-parents, l’homosexualité, l’alcoolisme, la superficialité, la seconde guerre mondiale (point godwin ? ), l’amitié, la maladie…
Un paquet de sujets qui se mélangent assez bien. Même si les clichés sont quand même légion et que rien n’arrive de très surprenant car les ficelles utilisées sont toujours pareilles, on passe un bon moment. Les comédiens savent faire vivre leur texte malgré un décor qui fait assez carton-pâte.
Un grand bravo à Karina Marimon/Suzanne sur qui le comique du spectacle repose beaucoup. Habituée au personnage de nunuche, elle incarne encore une fois une femme pleine d’innocence et de bienveillance. Ces répliques tombent toujours juste avec le ton qu’il faut pour mettre de l’absurde à l’histoire. Son interprétation fait rire le public mais aussi les autres comédiens sur scène qui malgré le fait qu’il connaisse le texte ont bien du mal à réprimer un sourire ou un rire discret.
Un spectacle sympathique, sans surprise, mais qui plaira pour sa légèreté et sa climatisation. Idéal pour vous videz la tête en fin de soirée avec des potes.
Un jardin merveilleux.
Cette pièce c'est l'histoire d'une famille dont les membres se retrouvent à l'occasion de la mort du vieil Alphonse. Un déjeuner champêtre dans le jardin de la maison familiale, qui tourne très rapidement au règlement de compte. Les questions gênantes sont ouvertement posées, entraînant des réponses assez difficile à entendre.
Le sujet peut sembler classique et largement déjà exploité. Pourtant dans ce jardin, au pied de l'arbre centenaire, la magie opère ! Le spectateur passe constamment du rire à l'empathie face aux répliques de ces personnages en quête d'amour. Des personnages un peu caricaturaux mais qui restent cependant très réalistes.
Le Jardin d'Alphonse est une belle surprise. Il règne sur la pelouse factice du théâtre Michel une atmosphère de vacances avec ses histoires de cœur que la raison ignore.
Une comédie estivale, dans une salle climatisée, aussi rafraichissante qu'une bonne glace !
Cette pièce c'est l'histoire d'une famille dont les membres se retrouvent à l'occasion de la mort du vieil Alphonse. Un déjeuner champêtre dans le jardin de la maison familiale, qui tourne très rapidement au règlement de compte. Les questions gênantes sont ouvertement posées, entraînant des réponses assez difficile à entendre.
Le sujet peut sembler classique et largement déjà exploité. Pourtant dans ce jardin, au pied de l'arbre centenaire, la magie opère ! Le spectateur passe constamment du rire à l'empathie face aux répliques de ces personnages en quête d'amour. Des personnages un peu caricaturaux mais qui restent cependant très réalistes.
Le Jardin d'Alphonse est une belle surprise. Il règne sur la pelouse factice du théâtre Michel une atmosphère de vacances avec ses histoires de cœur que la raison ignore.
Une comédie estivale, dans une salle climatisée, aussi rafraichissante qu'une bonne glace !
La pièce a tenu des promesses (drôle, divertissante avec une pointe de réalisme familial), que demandez de plus !
Sous cet aspect drôle, la pièce révèle l'importance et le poids des histoires de famille (les non dits ...). On sent également la complicité des comédiens et le plaisir qu'ils ont à jouer ensemble.
Mention spéciale à Suzanne (Elle est excellente!)
Sous cet aspect drôle, la pièce révèle l'importance et le poids des histoires de famille (les non dits ...). On sent également la complicité des comédiens et le plaisir qu'ils ont à jouer ensemble.
Mention spéciale à Suzanne (Elle est excellente!)
Les jardins de famille recèlent de bien lourds secrets...
Les secrets de famille se révèlent dans de bien beaux jardins...
Le jardin d'Alphonse est de ceux-là.
Cette pièce de Didier Caron est une comédie douce-amère, dans laquelle on rit énormément, certes, mais dans laquelle le public est amené à s'interroger sur la nature des liens qui se nouent ou se sont noués au sein d'une famille.
Alphonse, nous ne le verrons jamais. Et pour cause.
Il vient de décéder.
Sa descendance et ses amis se réunissent dans la maison à la fois bretonne et familiale.
Il y a son fils et sa deuxième épouse, ses trois enfants (deux frères qui se sont « partagés » la même femme », leur demi-soeur et sa chérie), plus l'ami de la famille flanqué de sa chère et tendre.
Tout ce petit monde va être en proie à biens des déboires et autres émotions.
Les masques vont tomber, les faux-semblants vont voler en éclat, les sentiments véritables vont éclater au grand jour, bien des vérités plus ou moins bonnes à dire vont être énoncées.
Et tout ça sur fond d'un lourd secret qui plane sur les protagonistes et qui sera finalement révélé.
Je parlais de comédie : on rit énormément.
L'écriture de Didier Caron y est évidemment pour beaucoup !
Les personnages sont truculents et remarquablement brossés. Impossible de ne pas s'attacher à ces neuf-là.
Caron, c'est aussi un festival de bons mots et de formules qui font mouche à tous les coups.
« Les Rolling Stones sans la drogue, c'est les Rubettes ! »
« Après soixante ans, si tu travailles le matin et que tu ne sens rien à midi, c'est que tu es mort ! »
« Le shabat mater qu'on a joué à l'église, c'est une musique de chez nous pour le vendredi soir ? »
(J'écris ces citations de mémoire, mais l'esprit est totalement là, que l'auteur me pardonne... )
Mais voilà : ce comique de situation va côtoyer des échanges d'une méchanceté et d'une férocité redoutables.
C'est là l'une des grandes réussites de ce texte.
Nous naviguons en permanence entre l'éclat de rire, et la froideur due à des tirades ultra-vachardes.
Ce chaud et froid est un vrai régal !
Pour interpréter ces neuf personnages plus authentiques les uns que les autres, l'auteur-comédien s'est entouré de huit camarades tous excellents dans leur partition.
Tous confèrent à leur rôle une vraie justesse, et une vérité parfois troublante.
J'ai vraiment été embarqué par cette histoire, j'ai vraiment pris parti pour un tel ou un tel, au fil du déroulé de cette heure et trente minutes.
Ces neuf nous happent et ne nous lâchent plus.
Mention spéciale pour Karina Marimon qui incarne une Suzanne très haute en couleur malgré son habit noir, avec une faconde et un humour irrésistibles.
Grâce à un accent épatant (que je vous laisse découvrir), avec une vis comica avérée, avec un texte ciselé et drôlissime, sans oublier une très belle voix (Melle Marimon est une excellent chanteuse, n'est pas Mike Brandt ?...), elle nous enthousiasme. Vraiment.
(Cerise sur le gâteau, sa petite intervention après les applaudissements nourris est un petit bijou, qu'elle joue dans la continuité de son personnage. Elle est parfaite !)
Voici donc une vraie bonne soirée, qui me fait penser à celles qu'on passe sous le pin parasol, sous une guirlande de petites loupiotes, avec au loin le bruit de la mer, et autour d'une bonne bouteille de rosé de pays, sans étiquette et qui pique un peu.
Une soirée qu'on a envie de faire partager à ses copains et amis.
Une soirée d'été qui détend, qui procure beaucoup de bon temps, qui permet de s'amuser, mais pas que.
Un soirée qui sans avoir l'air d'y toucher, pose les jalons de bien des interrogations.
« Je persiste à penser qu'il n'y a pas d'humains méchants. Il n'y a que des gens qui souffrent », écrit Didier Caron.
Les secrets de famille se révèlent dans de bien beaux jardins...
Le jardin d'Alphonse est de ceux-là.
Cette pièce de Didier Caron est une comédie douce-amère, dans laquelle on rit énormément, certes, mais dans laquelle le public est amené à s'interroger sur la nature des liens qui se nouent ou se sont noués au sein d'une famille.
Alphonse, nous ne le verrons jamais. Et pour cause.
Il vient de décéder.
Sa descendance et ses amis se réunissent dans la maison à la fois bretonne et familiale.
Il y a son fils et sa deuxième épouse, ses trois enfants (deux frères qui se sont « partagés » la même femme », leur demi-soeur et sa chérie), plus l'ami de la famille flanqué de sa chère et tendre.
Tout ce petit monde va être en proie à biens des déboires et autres émotions.
Les masques vont tomber, les faux-semblants vont voler en éclat, les sentiments véritables vont éclater au grand jour, bien des vérités plus ou moins bonnes à dire vont être énoncées.
Et tout ça sur fond d'un lourd secret qui plane sur les protagonistes et qui sera finalement révélé.
Je parlais de comédie : on rit énormément.
L'écriture de Didier Caron y est évidemment pour beaucoup !
Les personnages sont truculents et remarquablement brossés. Impossible de ne pas s'attacher à ces neuf-là.
Caron, c'est aussi un festival de bons mots et de formules qui font mouche à tous les coups.
« Les Rolling Stones sans la drogue, c'est les Rubettes ! »
« Après soixante ans, si tu travailles le matin et que tu ne sens rien à midi, c'est que tu es mort ! »
« Le shabat mater qu'on a joué à l'église, c'est une musique de chez nous pour le vendredi soir ? »
(J'écris ces citations de mémoire, mais l'esprit est totalement là, que l'auteur me pardonne... )
Mais voilà : ce comique de situation va côtoyer des échanges d'une méchanceté et d'une férocité redoutables.
C'est là l'une des grandes réussites de ce texte.
Nous naviguons en permanence entre l'éclat de rire, et la froideur due à des tirades ultra-vachardes.
Ce chaud et froid est un vrai régal !
Pour interpréter ces neuf personnages plus authentiques les uns que les autres, l'auteur-comédien s'est entouré de huit camarades tous excellents dans leur partition.
Tous confèrent à leur rôle une vraie justesse, et une vérité parfois troublante.
J'ai vraiment été embarqué par cette histoire, j'ai vraiment pris parti pour un tel ou un tel, au fil du déroulé de cette heure et trente minutes.
Ces neuf nous happent et ne nous lâchent plus.
Mention spéciale pour Karina Marimon qui incarne une Suzanne très haute en couleur malgré son habit noir, avec une faconde et un humour irrésistibles.
Grâce à un accent épatant (que je vous laisse découvrir), avec une vis comica avérée, avec un texte ciselé et drôlissime, sans oublier une très belle voix (Melle Marimon est une excellent chanteuse, n'est pas Mike Brandt ?...), elle nous enthousiasme. Vraiment.
(Cerise sur le gâteau, sa petite intervention après les applaudissements nourris est un petit bijou, qu'elle joue dans la continuité de son personnage. Elle est parfaite !)
Voici donc une vraie bonne soirée, qui me fait penser à celles qu'on passe sous le pin parasol, sous une guirlande de petites loupiotes, avec au loin le bruit de la mer, et autour d'une bonne bouteille de rosé de pays, sans étiquette et qui pique un peu.
Une soirée qu'on a envie de faire partager à ses copains et amis.
Une soirée d'été qui détend, qui procure beaucoup de bon temps, qui permet de s'amuser, mais pas que.
Un soirée qui sans avoir l'air d'y toucher, pose les jalons de bien des interrogations.
« Je persiste à penser qu'il n'y a pas d'humains méchants. Il n'y a que des gens qui souffrent », écrit Didier Caron.
Très bonne comédie, malgré des personnages un peu trop caricaturaux.
Très bien jouée, mise en scène, beaux décors.
Très bien jouée, mise en scène, beaux décors.
Je ne suis pas vraiment de l'avis des autres critiques sur cette pièce.
J'ai trouvé cette pièce plutôt... plate.
L'histoire est difficile à percevoir, on nous jette à la tête les histoires de famille, celles non dites et cachées. Forcément un jour ça explose et l'on nous convie à la petite fête.
Rien ne nous est épargné, la fille qui a un problème de père, la belle-fille vénale qui s'est tapé les deux frères, ou encore la femme qui a eu une liaison avec le meilleur ami de son mari.
Bref un beau bordel qu'on aime d'habitude éviter.
Néanmoins les acteurs sont bons.
J'ai trouvé cette pièce plutôt... plate.
L'histoire est difficile à percevoir, on nous jette à la tête les histoires de famille, celles non dites et cachées. Forcément un jour ça explose et l'on nous convie à la petite fête.
Rien ne nous est épargné, la fille qui a un problème de père, la belle-fille vénale qui s'est tapé les deux frères, ou encore la femme qui a eu une liaison avec le meilleur ami de son mari.
Bref un beau bordel qu'on aime d'habitude éviter.
Néanmoins les acteurs sont bons.
J'ai été ravie par cette pièce !
Après avoir mis un peu de temps à gommer les caricatures de ces 9 personnages, j'y ai trouvé beaucoup de sensibilité et d'amour.
L'humour n'est pas en reste et la pièce est très bien écrite.
J'y retournerais avec beaucoup de plaisir.
Vive Mike Brant !
Après avoir mis un peu de temps à gommer les caricatures de ces 9 personnages, j'y ai trouvé beaucoup de sensibilité et d'amour.
L'humour n'est pas en reste et la pièce est très bien écrite.
J'y retournerais avec beaucoup de plaisir.
Vive Mike Brant !
C’est sans conteste la meilleure pièce que Didier Caron à écrit. C’est une comédie pleine de sensibilité, d’humour et de verité.
La mort du patriarche Alphonse est l’occasion de réunir la famille élargie aux proches. Les répliques sont piquantes et cinglantes. On va du rire aux larmes. Les vieux souvenirs et les rancœurs remontent à la surface. On frise le drame, mais l’amour l’emporte à la fin. Chaque famille peut retrouver un peu d’elle-même dans cette comédie tendre amère.
C’est agréablement interprété par une troupe d’acteurs bien chacun dans leurs rôles. Didier Caron est fidèle à lui-même en mari de Karina Marimon, une irrésistible femme juive sépharade qui nous fait rire à chaque réplique.
La vérité est parfois dure à entendre mais tout va bien qui fini bien.
La mort du patriarche Alphonse est l’occasion de réunir la famille élargie aux proches. Les répliques sont piquantes et cinglantes. On va du rire aux larmes. Les vieux souvenirs et les rancœurs remontent à la surface. On frise le drame, mais l’amour l’emporte à la fin. Chaque famille peut retrouver un peu d’elle-même dans cette comédie tendre amère.
C’est agréablement interprété par une troupe d’acteurs bien chacun dans leurs rôles. Didier Caron est fidèle à lui-même en mari de Karina Marimon, une irrésistible femme juive sépharade qui nous fait rire à chaque réplique.
La vérité est parfois dure à entendre mais tout va bien qui fini bien.
J'ai beaucoup aimé cette pièce dans un sympathique décor de jardin.
Les comédiens se réunissent à tour de rôle par petits groupes dans ce jardin lors de l'enterrement d'Alphonse le grand père.
Des histoires de famille, de couple se succèdent avec beaucoup d'humour.
Mention spéciale pour la mère juive qui a le rôle le plus drôle, caricatural mais moi j'adore.
Un bon moment.
Les comédiens se réunissent à tour de rôle par petits groupes dans ce jardin lors de l'enterrement d'Alphonse le grand père.
Des histoires de famille, de couple se succèdent avec beaucoup d'humour.
Mention spéciale pour la mère juive qui a le rôle le plus drôle, caricatural mais moi j'adore.
Un bon moment.
Comme dit la chanson : c’est un jardin extraordinaire …
Alors qu’Alphonse, le patriarche, vient de disparaître, la famille et un couple d’amis se retrouvent, après la cérémonie, dans la maison du défunt. Tout ce petit monde décide alors de déjeuner dans le jardin pour profiter du temps. Mais, ce qui devait être un moment convivial va réserver bien des surprises aux convives et mettre à jour une foule de secrets. Lesquels ? Chuuuuuuut … c’est un secret.
A peine le rideau levé, le spectateur se retrouve face à neuf comédiens. Rien que ça. Au départ, j’ai craint que cela ne devienne rapidement le fouillis et que j’ai du mal à me souvenir qui est qui. Mais en fait non, car la pièce a été intelligemment réalisée et il n’y a jamais plus de quatre comédiens sur scène. Bien vu. Non seulement cela permet de créer des personnages consistants mais également de faire évoluer l’histoire (ou plutôt les histoires, car ce sont bien plusieurs intrigues qui sont proposées). Inutile de dire que les comédiennes et les comédiens sont tous excellents dans leurs rôles.
Quant au texte, il est simplement délicieusement bien écrit, mêlant humour et émotion. A noter que certaines répliques mériteraient de devenir cultes tellement elles sont hilarantes.
Le Jardin d’Alphonse est une petite pépite et un vrai rayon de soleil théâtral. A découvrir sans hésiter !
Alors qu’Alphonse, le patriarche, vient de disparaître, la famille et un couple d’amis se retrouvent, après la cérémonie, dans la maison du défunt. Tout ce petit monde décide alors de déjeuner dans le jardin pour profiter du temps. Mais, ce qui devait être un moment convivial va réserver bien des surprises aux convives et mettre à jour une foule de secrets. Lesquels ? Chuuuuuuut … c’est un secret.
A peine le rideau levé, le spectateur se retrouve face à neuf comédiens. Rien que ça. Au départ, j’ai craint que cela ne devienne rapidement le fouillis et que j’ai du mal à me souvenir qui est qui. Mais en fait non, car la pièce a été intelligemment réalisée et il n’y a jamais plus de quatre comédiens sur scène. Bien vu. Non seulement cela permet de créer des personnages consistants mais également de faire évoluer l’histoire (ou plutôt les histoires, car ce sont bien plusieurs intrigues qui sont proposées). Inutile de dire que les comédiennes et les comédiens sont tous excellents dans leurs rôles.
Quant au texte, il est simplement délicieusement bien écrit, mêlant humour et émotion. A noter que certaines répliques mériteraient de devenir cultes tellement elles sont hilarantes.
Le Jardin d’Alphonse est une petite pépite et un vrai rayon de soleil théâtral. A découvrir sans hésiter !
Une belle pièce sympathique où l'on passe une bonne partie à rire !!
Dans un beau décor de jardin, nous écoutons tous les membres de cette famille partager, se disputer, commenter, ... tous les acteurs sont excellents.
Bravo !
Dans un beau décor de jardin, nous écoutons tous les membres de cette famille partager, se disputer, commenter, ... tous les acteurs sont excellents.
Bravo !
Quelle belle surprise cette pièce de Didier Caron : Une réunion de famille et de quelques amis a lieu après l'enterrement du patriarche dans le jardin de sa maison et des questions qui couvaient vont trouver des réponses, pas toujours celles qui étaient attendues.
Voilà une pièce rafraichissante à souhait, avec un ton léger, de bons mots et quelques rebondissements. On ne s'y ennuie pas.
Il faut saluer la performance des neuf comédiens sur scène qui sont tous excellents, Didier Caron s'est donné un rôle dans sa pièce et il est parfait surtout quand il parle avec sa femme.
En tout cas, ça fait du bien une petite pièce sympathique comme ça.
Voilà une pièce rafraichissante à souhait, avec un ton léger, de bons mots et quelques rebondissements. On ne s'y ennuie pas.
Il faut saluer la performance des neuf comédiens sur scène qui sont tous excellents, Didier Caron s'est donné un rôle dans sa pièce et il est parfait surtout quand il parle avec sa femme.
En tout cas, ça fait du bien une petite pièce sympathique comme ça.
Quelle jolie et tendre pièce que voilà, pleine de rebondissements, d'humour, d'humanité, de tendresse et de bons mots !
Courez-y ! Votre soirée sera distrayante, agréable et vous ne verrez pas le temps passé.
Dans ce jardin, nous voilà au coeur de la vie des uns et des autres avec leurs petits secrets, leurs failles, leurs blessures, leurs bleus à l'âme, leurs difficulté à vivre.
Cette pièce a été écrite, avec grand talent, par Didier Caron, acteur, metteur, en scène, réalisateur et, aussi, Directeur du théâtre Michel, rue des Mathurins où se joue cette pièce.
Monsieur Caron y joue le rôle de Daniel, "celui qui a été chez le coiffeur". Cette petite précision vous est donnée pour que vous le reconnaissiez.
Monsieur Didier Caron a beaucoup d'allure et de talent. J'avoue que j'étais sous son charme durant toute la pièce et davantage encore, à la fin, lorsque j'ai su, en regardant la distribution à l'entrée du théâtre, qu'il avait écrit la pièce.
Un seul petit bémol Monsieur Caron, si vous me le permettez. Les deux femmes qui s'aiment dans cette pièce auraient gagné à être moins caricaturales, moins "nunuches". Pourquoi les présenter ainsi, pour provoquer le rire... à leurs dépens.
Pour ma part, je pense, qu'en les présentant comme deux belles femmes, aussi belles et subtiles que la femme de Stéphane, votre pièce aurait encore gagner en épaisseur.
Tous les acteurs sont excellents.
Vive le théâtre, les comédiens et les auteurs qui nous font de si beaux cadeaux.
Lorsque la pièce me plaît, j'ai toujours envie de monter sur scène, de leur serrer la main un par un et de les remercier du don qu'ils nous font d'eux, de leur talent et de leur si belle énergie !
Courez-y ! Votre soirée sera distrayante, agréable et vous ne verrez pas le temps passé.
Dans ce jardin, nous voilà au coeur de la vie des uns et des autres avec leurs petits secrets, leurs failles, leurs blessures, leurs bleus à l'âme, leurs difficulté à vivre.
Cette pièce a été écrite, avec grand talent, par Didier Caron, acteur, metteur, en scène, réalisateur et, aussi, Directeur du théâtre Michel, rue des Mathurins où se joue cette pièce.
Monsieur Caron y joue le rôle de Daniel, "celui qui a été chez le coiffeur". Cette petite précision vous est donnée pour que vous le reconnaissiez.
Monsieur Didier Caron a beaucoup d'allure et de talent. J'avoue que j'étais sous son charme durant toute la pièce et davantage encore, à la fin, lorsque j'ai su, en regardant la distribution à l'entrée du théâtre, qu'il avait écrit la pièce.
Un seul petit bémol Monsieur Caron, si vous me le permettez. Les deux femmes qui s'aiment dans cette pièce auraient gagné à être moins caricaturales, moins "nunuches". Pourquoi les présenter ainsi, pour provoquer le rire... à leurs dépens.
Pour ma part, je pense, qu'en les présentant comme deux belles femmes, aussi belles et subtiles que la femme de Stéphane, votre pièce aurait encore gagner en épaisseur.
Tous les acteurs sont excellents.
Vive le théâtre, les comédiens et les auteurs qui nous font de si beaux cadeaux.
Lorsque la pièce me plaît, j'ai toujours envie de monter sur scène, de leur serrer la main un par un et de les remercier du don qu'ils nous font d'eux, de leur talent et de leur si belle énergie !
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