Que dire pour vous encourager à y courir ?
Qu’on y rit, qu’on y pleure… qu’on ne voit pas la chute arriver … c’est un moment suspendu.
Nous sommes tous dans la salle d’attente de cet hôpital, attendant des nouvelles. Cette histoire peut être la nôtre c’est sûrement pour cela qu’elle nous touche.
Les comédiennes sont justes.
Elles n’en font pas des tonnes.
Il n’y a aucun pathos. J’ai adoré!
Qu’on y rit, qu’on y pleure… qu’on ne voit pas la chute arriver … c’est un moment suspendu.
Nous sommes tous dans la salle d’attente de cet hôpital, attendant des nouvelles. Cette histoire peut être la nôtre c’est sûrement pour cela qu’elle nous touche.
Les comédiennes sont justes.
Elles n’en font pas des tonnes.
Il n’y a aucun pathos. J’ai adoré!
Florimont, agent zéro de François 1er, dans sa grande mission
Mission Florimont qui est repris, c’est une nouvelle qui me met en joie. Je parle d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître, mais qu’est-ce qu’on a aimé cette pièce en son temps ! Petite pièce à l’époque qui a fait rire tant de gens et qui a émergé. Alors quand je vois que cette pièce est reprise, je pars le cœur léger voir Florimont de la Courneuve œuvrer dans sa mission secrète. Je sais ce que je vais voir et je sais que je vais passer un bon moment.
François 1er a besoin de passer un accord avec Soliman le Magnifique. Pour cela, il doit envoyer un espion pour lui communiquer un traité entre les deux souverains. Il envoie un espion, le seul qui lui reste, Florimont de la Courneuve. Cet espion de pacotille est nul mais il n’y a plus que lui. La pièce est le voyage de Florimont jusqu’à Istanbul. Les espions de Charles Quint tentent de l’arrêter. Il fera le chemin avec Margot qui elle aussi tire ses propres ficelles.
Les gags s’enchainent. Florimont est nul à souhait. Les espagnols, Olé, sont stéréotypés. Margot est une traitre. On rit. C’est potache et sympathique. Les anachronismes fusent de toute part. C’est drôle, très drôle.
Le texte a été réactualisé. Tout n’est pas réussi mais il y a un enchainement tel de gags que l’on trouve toujours quelque chose qui nous fait rire. Tout est utilisé, humour de répétition, humour de situation, jeux de mots, gags. C’est ce riche enchainement qui plait.
La mise en scène est interactive comme toujours avec Sébastien Azzopardi mais sans excès et tant mieux. Elle est bien faite. Elle joue beaucoup avec la multiplication des rôles pour chaque acteur. L’interprétation est bonne. Le groupe fonctionne. On a le sentiment qu’ils prennent du plaisir ensemble. Les parties improvisées sont plutôt bien menées. On se laisse porter dans cette rétrospective historique improbable.
On passe un excellent moment !
A voir en famille et pour ceux qui ne connaissent pas, il faut se laisser surprendre par l’histoire.
Mission Florimont qui est repris, c’est une nouvelle qui me met en joie. Je parle d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître, mais qu’est-ce qu’on a aimé cette pièce en son temps ! Petite pièce à l’époque qui a fait rire tant de gens et qui a émergé. Alors quand je vois que cette pièce est reprise, je pars le cœur léger voir Florimont de la Courneuve œuvrer dans sa mission secrète. Je sais ce que je vais voir et je sais que je vais passer un bon moment.
François 1er a besoin de passer un accord avec Soliman le Magnifique. Pour cela, il doit envoyer un espion pour lui communiquer un traité entre les deux souverains. Il envoie un espion, le seul qui lui reste, Florimont de la Courneuve. Cet espion de pacotille est nul mais il n’y a plus que lui. La pièce est le voyage de Florimont jusqu’à Istanbul. Les espions de Charles Quint tentent de l’arrêter. Il fera le chemin avec Margot qui elle aussi tire ses propres ficelles.
Les gags s’enchainent. Florimont est nul à souhait. Les espagnols, Olé, sont stéréotypés. Margot est une traitre. On rit. C’est potache et sympathique. Les anachronismes fusent de toute part. C’est drôle, très drôle.
Le texte a été réactualisé. Tout n’est pas réussi mais il y a un enchainement tel de gags que l’on trouve toujours quelque chose qui nous fait rire. Tout est utilisé, humour de répétition, humour de situation, jeux de mots, gags. C’est ce riche enchainement qui plait.
La mise en scène est interactive comme toujours avec Sébastien Azzopardi mais sans excès et tant mieux. Elle est bien faite. Elle joue beaucoup avec la multiplication des rôles pour chaque acteur. L’interprétation est bonne. Le groupe fonctionne. On a le sentiment qu’ils prennent du plaisir ensemble. Les parties improvisées sont plutôt bien menées. On se laisse porter dans cette rétrospective historique improbable.
On passe un excellent moment !
A voir en famille et pour ceux qui ne connaissent pas, il faut se laisser surprendre par l’histoire.
Leçon d’histoire pour un tableau mythique
Toute l’histoire du tableau de Géricault, le radeau de la méduse, nous est racontée. Le contexte historique est détaillé et la symbolique du tableau nous est donnée. C’est intéressant, instructif et bien documenté. On apprend l’importance de ce tableau dans l’histoire de l’art.
Sur un mode conférence et examen, Anne Cangelosi interroge le public et nous amuse sur nos propres approximations. Le public est remis gentiment en situation de mauvais élève. Cela apporte du divertissement à l’exposé.
Le parallèle avec la vie privée de la conférencière m’a paru quelque peu artificiel et apporte peu par le texte. C’est dommage. On pouvait s’en passer.
Interprété avec beaucoup d’énergie et de passion, la pièce tourne à la conférence. Il n’y a pas vraiment de performance d’interprétation.
En résumé, on apprend, c’est intéressant mais la pièce relève de la conférence.
Cela reste un moment intéressant.
Toute l’histoire du tableau de Géricault, le radeau de la méduse, nous est racontée. Le contexte historique est détaillé et la symbolique du tableau nous est donnée. C’est intéressant, instructif et bien documenté. On apprend l’importance de ce tableau dans l’histoire de l’art.
Sur un mode conférence et examen, Anne Cangelosi interroge le public et nous amuse sur nos propres approximations. Le public est remis gentiment en situation de mauvais élève. Cela apporte du divertissement à l’exposé.
Le parallèle avec la vie privée de la conférencière m’a paru quelque peu artificiel et apporte peu par le texte. C’est dommage. On pouvait s’en passer.
Interprété avec beaucoup d’énergie et de passion, la pièce tourne à la conférence. Il n’y a pas vraiment de performance d’interprétation.
En résumé, on apprend, c’est intéressant mais la pièce relève de la conférence.
Cela reste un moment intéressant.
Une pièce aussi intelligente que distrayante bien ancrée dans notre époque.
Les dialogues sont percutants, amusants et bien construits portés par des acteurs crédibles.
On rit on s’amuse on réfléchit bref on passe un excellent moment.
Bravo et merci !
Les dialogues sont percutants, amusants et bien construits portés par des acteurs crédibles.
On rit on s’amuse on réfléchit bref on passe un excellent moment.
Bravo et merci !
Un très bon moment encore grâce à Sébastien Azzopardi : mise en scène dynamique, suspense et rebondissements, humour.
Pas de temps mort ni longueur et sans vulgarité, ce que j’apprécie toujours car cela peut être une facilité de certains auteurs.
Essayez de ne pas prendre une place trop sur les côtés, la vision de la scène peut être tronquée, surtout au début.
Pas de temps mort ni longueur et sans vulgarité, ce que j’apprécie toujours car cela peut être une facilité de certains auteurs.
Essayez de ne pas prendre une place trop sur les côtés, la vision de la scène peut être tronquée, surtout au début.