Son balcon
SAISON 2023-2024
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La Nouvelle Claque
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« Panique en coulisses » de Michael Frayn dans une adaptation de Stéphane Laporte et une mise en scène de Jean-Luc Moreau sur la scène du Théâtre des Variétés est un concentré de rires dans une volte-face du décor extrêmement réjouissante.
Cette pièce créée en 1982 sous le titre de « Noises Off » en Angleterre et la même année en France sous le titre « En sourdines les sardines » mise en scène par Robert Dhéry, interprétée par l’essence des Branquignols, n’a pas fini de faire rire la planète.
Une pièce représentée depuis 40 ans dans plus de 70 pays pour un cumul aujourd’hui de 14 millions de spectateurs !
J’étais présent à la création de cette pièce au Théâtre des Bouffes Parisiens avec déjà à l’affiche un certain Jean-Luc Moreau qui sévissait sur scène à quatre pattes à la recherche de lentilles…en compagnie entre autres de Colette Brosset, Jacques Legras et Jacques Rosny.
Un souvenir ému qui m’a replongé lors de cette représentation dans le délice des rires à profusion avec cette jeune troupe au cœur vaillant remplie d’énergie à revendre, défendant un texte bec et ongles, se jetant dans la fosse aux lions sans retenues pour le plus grand plaisir des spectateurs, dans une mise en scène des plus périlleuses mais des plus réussies. Rien n’est laissé au hasard, tout est calculé à la seconde près, une machine huilée à la perfection. Les spectateurs ne peuvent pas se rendre compte du travail que cela représente mais comme me l’a fait remarquer Jean-Luc Moreau lors de notre échange : « C’est tant mieux », il a forcément raison, c’est cela la magie du théâtre !
A l’ouverture du rideau nous assistons aux derniers réglages d’une comédie avant sa première programmée dans quelques heures…il fait nuit, les comédiens sont fatigués…
Vous devez bien vous douter que rien ne va, le metteur en scène se désespère, des sardines pointent le bout de leurs nez, voyagent, avant de se faire aplatir pour devenir des soles meunières. Les portes claquent à la vitesse de l’éclair, les entrées et les sorties des comédies se télescopent dans le but d’éviter un contrôle fiscal, bref c’est l’hôtel des courants d’air !
C’est avant tout une comédie de situation en trois actes dont le deuxième voit son décor faire 180 degrés pour nous faire découvrir sa coulisse… : qui n’a pas un jour souhaité voir ce qui se passe de l’autre côté.
Eh bien vous allez être servis, les petites bassesses des comédiens et les histoires de cœur vont venir fleurir ce tourbillon de rires auquel vous allez assister, parsemé d’entrées et de sorties toutes plus rocambolesques les unes que les autres : bref c’est la panique !
Un décor à la hauteur de l’entreprise de Catherine Bluwal, éclairé par Jacques Rouveyrollis sans oublier la profusion d’accessoires de Françoise Henry qui font tourner la tête des comédiens.
L’adaptation de Stéphane Laporte est fidèle à celle gravée dans ma mémoire (je garde en mémoire ses subtiles adaptations de « Tempête en juin et Suite française »). Elle ne s’encombre pas de chemins de traverse, elle va droit au but pour nous faire rire dans la complicité de la mise en scène de Jean-Luc Moreau : un duo exceptionnel gratifié, pour la mise en scène, de la patte d’Anne Poirier-Busson.
Une mayonnaise qui ne retombe pas grâce aux indéniables talents de cette jeunesse composée de Marine Dusehu, Nicolas Carpentier, Sébastien Almar, Elie Addams, Chanaël Meïmoun, Benjamin Gomez, Marion Lahmer, Quentin Laclotte Parmentier et Chick Ortega. Ils jettent à notre figure la jouissance qu’ils ont de nous faire rire dans un marathon endiablé à en perdre leur souffle.
Une pièce qui ne vieillit pas et qui sera vous emporter dans des rires aux multiples facettes !
Cette pièce créée en 1982 sous le titre de « Noises Off » en Angleterre et la même année en France sous le titre « En sourdines les sardines » mise en scène par Robert Dhéry, interprétée par l’essence des Branquignols, n’a pas fini de faire rire la planète.
Une pièce représentée depuis 40 ans dans plus de 70 pays pour un cumul aujourd’hui de 14 millions de spectateurs !
J’étais présent à la création de cette pièce au Théâtre des Bouffes Parisiens avec déjà à l’affiche un certain Jean-Luc Moreau qui sévissait sur scène à quatre pattes à la recherche de lentilles…en compagnie entre autres de Colette Brosset, Jacques Legras et Jacques Rosny.
Un souvenir ému qui m’a replongé lors de cette représentation dans le délice des rires à profusion avec cette jeune troupe au cœur vaillant remplie d’énergie à revendre, défendant un texte bec et ongles, se jetant dans la fosse aux lions sans retenues pour le plus grand plaisir des spectateurs, dans une mise en scène des plus périlleuses mais des plus réussies. Rien n’est laissé au hasard, tout est calculé à la seconde près, une machine huilée à la perfection. Les spectateurs ne peuvent pas se rendre compte du travail que cela représente mais comme me l’a fait remarquer Jean-Luc Moreau lors de notre échange : « C’est tant mieux », il a forcément raison, c’est cela la magie du théâtre !
A l’ouverture du rideau nous assistons aux derniers réglages d’une comédie avant sa première programmée dans quelques heures…il fait nuit, les comédiens sont fatigués…
Vous devez bien vous douter que rien ne va, le metteur en scène se désespère, des sardines pointent le bout de leurs nez, voyagent, avant de se faire aplatir pour devenir des soles meunières. Les portes claquent à la vitesse de l’éclair, les entrées et les sorties des comédies se télescopent dans le but d’éviter un contrôle fiscal, bref c’est l’hôtel des courants d’air !
C’est avant tout une comédie de situation en trois actes dont le deuxième voit son décor faire 180 degrés pour nous faire découvrir sa coulisse… : qui n’a pas un jour souhaité voir ce qui se passe de l’autre côté.
Eh bien vous allez être servis, les petites bassesses des comédiens et les histoires de cœur vont venir fleurir ce tourbillon de rires auquel vous allez assister, parsemé d’entrées et de sorties toutes plus rocambolesques les unes que les autres : bref c’est la panique !
Un décor à la hauteur de l’entreprise de Catherine Bluwal, éclairé par Jacques Rouveyrollis sans oublier la profusion d’accessoires de Françoise Henry qui font tourner la tête des comédiens.
L’adaptation de Stéphane Laporte est fidèle à celle gravée dans ma mémoire (je garde en mémoire ses subtiles adaptations de « Tempête en juin et Suite française »). Elle ne s’encombre pas de chemins de traverse, elle va droit au but pour nous faire rire dans la complicité de la mise en scène de Jean-Luc Moreau : un duo exceptionnel gratifié, pour la mise en scène, de la patte d’Anne Poirier-Busson.
Une mayonnaise qui ne retombe pas grâce aux indéniables talents de cette jeunesse composée de Marine Dusehu, Nicolas Carpentier, Sébastien Almar, Elie Addams, Chanaël Meïmoun, Benjamin Gomez, Marion Lahmer, Quentin Laclotte Parmentier et Chick Ortega. Ils jettent à notre figure la jouissance qu’ils ont de nous faire rire dans un marathon endiablé à en perdre leur souffle.
Une pièce qui ne vieillit pas et qui sera vous emporter dans des rires aux multiples facettes !
« L’effet miroir » de Léonore Confino dans une mise en scène de Julien Boisselier sur la scène du Théâtre de l’Œuvre est une fable mordante sur le comportement humain, sa valeur intrinsèque.
Léonore Confino est une auteure qui aime jouer avec les mots, les rencontres.
Je me remémore de ses précédentes pièces « Building et Smoke ring » cet esprit incisif avec sa plume délicieusement acide, vivante et mordante.
Sur le fil du rasoir, elle trouve les mots justes qui vont droit au but pour décrire avec précision nos travers, des mots qui collent avec finesse aux lèvres des comédiens.
Si vous associez cette performance créatrice à la sensibilité de Julien Boisselier qui se libère dans sa mise en scène, vous obtenez un effet miroir audacieux aux reflets malicieux.
A l’ouverture du rideau vous êtes accueillis par une ambiance sonore vingt mille lieues sous les mers de Pierre Tirmont, complétée par cette voix d’enfant qui vous raconte l’histoire d’un petit bigorneau qui a perdu sa coquille…nous découvrons la fable innocente que son auteur Théophile (en manque d’inspiration depuis trop longtemps : le syndrome de la page blanche, du jogging élimé, depuis son succès avec sa « Chambre des amants »), a écrite en retrouvant l’inspiration grâce à l’acquisition d’un miroir du XVIIe. Un miroir aux effets surprenants si l’on ne prend pas garde à mesurer la vision de son intériorité.
De la fiction à la réalité, le jeu préféré de Léonore Confino, il n’y a qu’un pas à franchir dans les reflets de ce miroir qui vous propose une toute autre réalité de votre vie. Chacun y perçoit ce qu’il veut bien y voir. Un défouloir, une mise en abyme qui pourrait bien vous détruire si vous n’êtes pas capables de mesurer l’effet de vos propos. Ne dit-on pas qu’il faut tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler ?
Un effet miroir à regarder en connaissance de cause, sans vouloir rejeter naïvement sur l’autre son inconscient.
Théophile avec son épouse Irène, qui contrairement à lui avec sa profession de contrôleuse de gestion a les pieds sur terre, son frère William et sa belle-sœur Jeanne, évoluent au milieu de petites créatures marines inoffensives comme un oursin qui joue avec une sèche, ou bien encore un poulpe, une crevette, une étoile de mer et autres céphalopodes.
Un conte sous l’innocent titre « L’éveil du plancton » qui va déclencher bien malgré lui un règlement de comptes à O.K. Corral exceptionnellement violent.
L’interprétation qu’ils vont en faire lors d’un symbolique repas de famille va déclencher une tornade de reproches où malheureusement la poésie n’aura plus sa place.
Théophile quant à lui, il ne dit jamais rien pour faire plaisir…alors comprenez ce que vous voulez…
Dans ces conditions L’effet miroir prend tout son sens : la réalité extérieure est le reflet de notre état intérieur.
Dans un décor de Jean Haas, éclairé par Jean-Pascal Pracht : François Vincentelli, le poète à la chevelure décoiffante, Caroline Anglade, la mère de famille à l’amour inconditionnel, Eric Laugérias, le frère bien sous tous rapports et Jeanne Arènes, la belle-sœur au look de la famille Addams sont quatre comédiens, habillés par Sandrine Bernard, qui dans leurs jeux nous captivent de bout en bout, de rebondissement en rebondissement, laissant dans nos pensées des images philosophiques qui méritent approfondissement, servis par une mise en scène de Julien Boisselier, assisté de Clotilde Daniault, très astucieuse, au tempo bien contrôlé, enrichissant les scènes de l’auteure qui se croisent à profusion.
Une fable, un conte, une comédie qu’il faut voir pour se réconcilier avec la Vie !
Léonore Confino est une auteure qui aime jouer avec les mots, les rencontres.
Je me remémore de ses précédentes pièces « Building et Smoke ring » cet esprit incisif avec sa plume délicieusement acide, vivante et mordante.
Sur le fil du rasoir, elle trouve les mots justes qui vont droit au but pour décrire avec précision nos travers, des mots qui collent avec finesse aux lèvres des comédiens.
Si vous associez cette performance créatrice à la sensibilité de Julien Boisselier qui se libère dans sa mise en scène, vous obtenez un effet miroir audacieux aux reflets malicieux.
A l’ouverture du rideau vous êtes accueillis par une ambiance sonore vingt mille lieues sous les mers de Pierre Tirmont, complétée par cette voix d’enfant qui vous raconte l’histoire d’un petit bigorneau qui a perdu sa coquille…nous découvrons la fable innocente que son auteur Théophile (en manque d’inspiration depuis trop longtemps : le syndrome de la page blanche, du jogging élimé, depuis son succès avec sa « Chambre des amants »), a écrite en retrouvant l’inspiration grâce à l’acquisition d’un miroir du XVIIe. Un miroir aux effets surprenants si l’on ne prend pas garde à mesurer la vision de son intériorité.
De la fiction à la réalité, le jeu préféré de Léonore Confino, il n’y a qu’un pas à franchir dans les reflets de ce miroir qui vous propose une toute autre réalité de votre vie. Chacun y perçoit ce qu’il veut bien y voir. Un défouloir, une mise en abyme qui pourrait bien vous détruire si vous n’êtes pas capables de mesurer l’effet de vos propos. Ne dit-on pas qu’il faut tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler ?
Un effet miroir à regarder en connaissance de cause, sans vouloir rejeter naïvement sur l’autre son inconscient.
Théophile avec son épouse Irène, qui contrairement à lui avec sa profession de contrôleuse de gestion a les pieds sur terre, son frère William et sa belle-sœur Jeanne, évoluent au milieu de petites créatures marines inoffensives comme un oursin qui joue avec une sèche, ou bien encore un poulpe, une crevette, une étoile de mer et autres céphalopodes.
Un conte sous l’innocent titre « L’éveil du plancton » qui va déclencher bien malgré lui un règlement de comptes à O.K. Corral exceptionnellement violent.
L’interprétation qu’ils vont en faire lors d’un symbolique repas de famille va déclencher une tornade de reproches où malheureusement la poésie n’aura plus sa place.
Théophile quant à lui, il ne dit jamais rien pour faire plaisir…alors comprenez ce que vous voulez…
Dans ces conditions L’effet miroir prend tout son sens : la réalité extérieure est le reflet de notre état intérieur.
Dans un décor de Jean Haas, éclairé par Jean-Pascal Pracht : François Vincentelli, le poète à la chevelure décoiffante, Caroline Anglade, la mère de famille à l’amour inconditionnel, Eric Laugérias, le frère bien sous tous rapports et Jeanne Arènes, la belle-sœur au look de la famille Addams sont quatre comédiens, habillés par Sandrine Bernard, qui dans leurs jeux nous captivent de bout en bout, de rebondissement en rebondissement, laissant dans nos pensées des images philosophiques qui méritent approfondissement, servis par une mise en scène de Julien Boisselier, assisté de Clotilde Daniault, très astucieuse, au tempo bien contrôlé, enrichissant les scènes de l’auteure qui se croisent à profusion.
Une fable, un conte, une comédie qu’il faut voir pour se réconcilier avec la Vie !
Quand vous allez dévorer les spectacles de cirques sur Paris, on commence à se faire un oeil. A chaque fois, on cherche la surprise, l'émerveillement... Qu'est-ce qu'ils vont faire pour nous dérouter?
Et bien là, on prend cinq gars venus d'Afrique, très bons dans leur domaine des acrobaties et on les mets dans un contexte américain avec la bande son des Blues Brother. Ils font des interludes qui n'en finissent pas sans jamais se départir de leur sourire, font participer le public et pendant ce temps pas de cirque.
Sur 1h15 si l'on a 30 min de pur cirque c'est beau. Pour les numéros, même s'ils sont bien exécutés, restent très classiques et standards. On a travaillé juste l'emballage. Aucun élève en sortant d'une école de cirque n'oserait présenter ces numéros car trop basiques.
Même si cela dure 1h15 + le retard habituel, l'ennui est là. Quelle déception.
Au moins, cela donne envie d'aller voir ailleurs quand on n'essaie pas seulement de faire du divertissement occasionnel au grand public. Mais un grand spectacle pour tout le monde.
Et bien là, on prend cinq gars venus d'Afrique, très bons dans leur domaine des acrobaties et on les mets dans un contexte américain avec la bande son des Blues Brother. Ils font des interludes qui n'en finissent pas sans jamais se départir de leur sourire, font participer le public et pendant ce temps pas de cirque.
Sur 1h15 si l'on a 30 min de pur cirque c'est beau. Pour les numéros, même s'ils sont bien exécutés, restent très classiques et standards. On a travaillé juste l'emballage. Aucun élève en sortant d'une école de cirque n'oserait présenter ces numéros car trop basiques.
Même si cela dure 1h15 + le retard habituel, l'ennui est là. Quelle déception.
Au moins, cela donne envie d'aller voir ailleurs quand on n'essaie pas seulement de faire du divertissement occasionnel au grand public. Mais un grand spectacle pour tout le monde.
Lever de rideau, on applaudit les comédiens qui apparemment ont fini la représentation ! et oui et nous ne sommes pas au bout de nos surprises !
Constance fait comprendre à Stéphane qu’il doit lui donner la réplique, celui-ci était pourtant prêt à partir, puisqu’ils ont salué, mais devant l’insistance de sa partenaire, il consent à jouer enfin rejouer…
Eric et Bérangère entrent à point nommé pour leur scène, mais quand on est dans le délire le plus total, on ne peut guère garder son sérieux ! Qui a raison, qui a tort, à vous de juger.
Ce n’est plus un léger doute mais un énorme doute, qui de toutes façons vous fera pleurer de rire !
Constance fait comprendre à Stéphane qu’il doit lui donner la réplique, celui-ci était pourtant prêt à partir, puisqu’ils ont salué, mais devant l’insistance de sa partenaire, il consent à jouer enfin rejouer…
Eric et Bérangère entrent à point nommé pour leur scène, mais quand on est dans le délire le plus total, on ne peut guère garder son sérieux ! Qui a raison, qui a tort, à vous de juger.
Ce n’est plus un léger doute mais un énorme doute, qui de toutes façons vous fera pleurer de rire !
Ah les jeunes rêvent tant de devenir comédiens, vedettes surtout, que ne ferait-on pas pour se trouver devant les projecteurs ou sur scène !
Et bien voilà l’histoire ou les mésaventures de Serge et Bernard, ils attendent dans un appartement pour passer un casting. Ils sont copains, mais on devine la rivalité.
L’attente est longue, mais ils ne sont pas au bout de leur surprise !
Certes, le sujet a été déjà débattu, Michel Leeb est toujours drôle dans ses imitations, et Francis Huster lui donne parfaitement la réplique, je n’oublie pas Chloé Lambert qui apporte sa touche de glamour et de vengeance (je ne vous dirais rien) et Philippe Vieux, encore plus surprenant.
Et bien voilà l’histoire ou les mésaventures de Serge et Bernard, ils attendent dans un appartement pour passer un casting. Ils sont copains, mais on devine la rivalité.
L’attente est longue, mais ils ne sont pas au bout de leur surprise !
Certes, le sujet a été déjà débattu, Michel Leeb est toujours drôle dans ses imitations, et Francis Huster lui donne parfaitement la réplique, je n’oublie pas Chloé Lambert qui apporte sa touche de glamour et de vengeance (je ne vous dirais rien) et Philippe Vieux, encore plus surprenant.