Son balcon
SAISON 2021-2022
Aucun challenge culturel pour le moment
Mini Molières
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Critique compétent
Son classement : 68 / 5655
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Yann Le Galopin
41 critiques
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Marynne Guma
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La Bibliothèque François Mitterrand fête le bicentenaire de la naissance de l’égyptologie avec l’exposition ‘L’aventure Champollion, dans le secret des hiéroglyphes’.
Cette exposition conduit le visiteur à la découverte des techniques novatrices utilisées pour comprendre une langue oubliée grâce au parcours de Jean-François Champollion qui s’est passionné pour cette langue étrangère mystérieuse dès son plus jeune age. Bien sur, il avait un don pour les langues, puisqu’il parlait le latin, le grec, le syriaque, l’arabe, le copte, la gaulois, l’étrusque,…
Comment faire pour faire revivre une langue qui n’est plus parlée ni écrite depuis des siècles ?
Bien sur il y a la fameuse pierre de Rosette (découverte en 1799) avec le même texte dans trois langues qui a grandement aidée Champollion mais pas que. Pour appréhender une langue étrangère, on a coutume de dire qu’il faut s’immerger dans son pays mais le pays des pharaons n’existe plus depuis longtemps, le savant s’est lui immergé dans la compréhension de cette civilisation disparue : Immersion au point de pouvoir comprendre les rituels funéraires des pharaons par exemple.
L’exposition retrace les différentes étapes qui ont conduites Jean-François Champollion sur les traces des hiéroglyphes. Parcours riche et complexe mené avec abnégation et méthode par le jeune français. De nombreux objets magnifiques prêtés et quantités d’écrits raviront les visiteurs.
Attention : ne lit pas le hiéroglyphe qui veut, la structure d’une simple phrase ne ressemble guère à notre grammaire comme nous le découvrons via des écrans interactifs qui nous explique comment interpréter une série de signes.
Le niveau de compréhension et de documentation sur la langue atteint par Champollion a donnée lieu à l’écriture d’une grammaire complète. Certains ouvrages exposés sont impressionnants par le niveau de détail proposé : Notamment lors de ses études d’inscriptions sur des monuments, Champollion décrivait aussi la couleur utilisée, nous savons donc à quoi ressemblaient exactement ces inscriptions grâce à ses écrits alors que la plupart des monuments ont perdu leur couleur depuis.
Champollion est le fondateur de l’égyptologie car il a ranimé toute une civilisation jusqu’alors méconnue et a pesé de tout son poids pour que l’Egypte ancienne soit reconnue parmi les grands arts de l’antiquité, à l’instar de la Grèce et de Rome. Il a été à ce titre le premier conservateur des antiquités égyptiennes au musée du Louvre.
Nous découvrons aussi le rôle important qu’a joué son frère, Jacques-Joseph, combatif comme son cadet, toujours à la recherche de fons pour financer les expéditions de son frère, il lui sert de guide et de conseil et surtout à la mort de Jean-François, il se bat pour faire reconnaitre son travail et faire acheter tous ses écrits par l’état français.
Cette exposition conduit le visiteur à la découverte des techniques novatrices utilisées pour comprendre une langue oubliée grâce au parcours de Jean-François Champollion qui s’est passionné pour cette langue étrangère mystérieuse dès son plus jeune age. Bien sur, il avait un don pour les langues, puisqu’il parlait le latin, le grec, le syriaque, l’arabe, le copte, la gaulois, l’étrusque,…
Comment faire pour faire revivre une langue qui n’est plus parlée ni écrite depuis des siècles ?
Bien sur il y a la fameuse pierre de Rosette (découverte en 1799) avec le même texte dans trois langues qui a grandement aidée Champollion mais pas que. Pour appréhender une langue étrangère, on a coutume de dire qu’il faut s’immerger dans son pays mais le pays des pharaons n’existe plus depuis longtemps, le savant s’est lui immergé dans la compréhension de cette civilisation disparue : Immersion au point de pouvoir comprendre les rituels funéraires des pharaons par exemple.
L’exposition retrace les différentes étapes qui ont conduites Jean-François Champollion sur les traces des hiéroglyphes. Parcours riche et complexe mené avec abnégation et méthode par le jeune français. De nombreux objets magnifiques prêtés et quantités d’écrits raviront les visiteurs.
Attention : ne lit pas le hiéroglyphe qui veut, la structure d’une simple phrase ne ressemble guère à notre grammaire comme nous le découvrons via des écrans interactifs qui nous explique comment interpréter une série de signes.
Le niveau de compréhension et de documentation sur la langue atteint par Champollion a donnée lieu à l’écriture d’une grammaire complète. Certains ouvrages exposés sont impressionnants par le niveau de détail proposé : Notamment lors de ses études d’inscriptions sur des monuments, Champollion décrivait aussi la couleur utilisée, nous savons donc à quoi ressemblaient exactement ces inscriptions grâce à ses écrits alors que la plupart des monuments ont perdu leur couleur depuis.
Champollion est le fondateur de l’égyptologie car il a ranimé toute une civilisation jusqu’alors méconnue et a pesé de tout son poids pour que l’Egypte ancienne soit reconnue parmi les grands arts de l’antiquité, à l’instar de la Grèce et de Rome. Il a été à ce titre le premier conservateur des antiquités égyptiennes au musée du Louvre.
Nous découvrons aussi le rôle important qu’a joué son frère, Jacques-Joseph, combatif comme son cadet, toujours à la recherche de fons pour financer les expéditions de son frère, il lui sert de guide et de conseil et surtout à la mort de Jean-François, il se bat pour faire reconnaitre son travail et faire acheter tous ses écrits par l’état français.
Pop Legends, c’est la possibilité de réécouter en live des morceaux pop mondialement connus via des groupes de cover (ou des tribute bands si vous préférez) particulièrement talentueux.
Au programme pour cette année : du son qui donne du swing : les Bestbeat pour les Beatles, Rocket Man pour Elton John et Mania, a tribute to Abba pour Abba donc.
On commence ‘en douceur’ par les Bestbeat. Quand on dit en douceur, tout est relatif : il y a un crescendo dans la set list proposée. Les quatre musiciens sont excellents techniquement et poussent leur gout de reproduire le son des Beatles en utilisant exactement les mêmes instruments que le groupe d’origine. On est sous le charme pendant le set de 45 minutes.
Rocket Man débarque et la salle s’échauffe pour de bon : il faut dire que notre artiste n’est pas seulement un sosie d’Elton John, il a aussi les tenues de scène excentriques à souhait et il joue en plus du piano avec grâce et précision, l’orchestre qui l’accompagne possède une belle justesse de jeu. L’artiste nous gratifie même d’un changement de costume tout comme Sir Elton. Après 50 minutes de show pétillant, dont un superbe duo avec sa choriste pour ‘don’t go breaking my heart’, le groupe nous quitte pour laisser place à ceux pour qui les gens sont venus en grande majorité : Mania, a tribute to Abba.
Et oui, les Mania ne sont pas des inconnus en France, ils ont déjà fait plusieurs tournées. Leur mission est simple : faire revivre aux spectateurs le dernier concert donnée par Abba en 1982. Et c’est vraiment une réussite ! Le show est fidèle en tout point au dernier concert : chorégraphies, son, lumières, costumes à paillettes et platform boots sont au rendez vous ! C’est une vraie machine à voyager dans le temps qui se produit sur scène : on file 40 ans en arrière et on se laisse porter par l’ambiance ultra festive ! Car oui c’est bien l’attendu de ce type de spectacle : passer une bonne heure hors du temps à chanter et danser sur les plus grands tubes d’Abba. Il est bien difficile de rester assis tant l’enthousiasme des musiciens est contagieux. Ils sont heureux de reproduire ce show et le public le ressent très bien.
S’il fallait trouver un défaut : c’est que tout ça est bien trop court, on en veut encore !
Au programme pour cette année : du son qui donne du swing : les Bestbeat pour les Beatles, Rocket Man pour Elton John et Mania, a tribute to Abba pour Abba donc.
On commence ‘en douceur’ par les Bestbeat. Quand on dit en douceur, tout est relatif : il y a un crescendo dans la set list proposée. Les quatre musiciens sont excellents techniquement et poussent leur gout de reproduire le son des Beatles en utilisant exactement les mêmes instruments que le groupe d’origine. On est sous le charme pendant le set de 45 minutes.
Rocket Man débarque et la salle s’échauffe pour de bon : il faut dire que notre artiste n’est pas seulement un sosie d’Elton John, il a aussi les tenues de scène excentriques à souhait et il joue en plus du piano avec grâce et précision, l’orchestre qui l’accompagne possède une belle justesse de jeu. L’artiste nous gratifie même d’un changement de costume tout comme Sir Elton. Après 50 minutes de show pétillant, dont un superbe duo avec sa choriste pour ‘don’t go breaking my heart’, le groupe nous quitte pour laisser place à ceux pour qui les gens sont venus en grande majorité : Mania, a tribute to Abba.
Et oui, les Mania ne sont pas des inconnus en France, ils ont déjà fait plusieurs tournées. Leur mission est simple : faire revivre aux spectateurs le dernier concert donnée par Abba en 1982. Et c’est vraiment une réussite ! Le show est fidèle en tout point au dernier concert : chorégraphies, son, lumières, costumes à paillettes et platform boots sont au rendez vous ! C’est une vraie machine à voyager dans le temps qui se produit sur scène : on file 40 ans en arrière et on se laisse porter par l’ambiance ultra festive ! Car oui c’est bien l’attendu de ce type de spectacle : passer une bonne heure hors du temps à chanter et danser sur les plus grands tubes d’Abba. Il est bien difficile de rester assis tant l’enthousiasme des musiciens est contagieux. Ils sont heureux de reproduire ce show et le public le ressent très bien.
S’il fallait trouver un défaut : c’est que tout ça est bien trop court, on en veut encore !
Un écolier, un étudiant, un aviateur, un consul, Romain Gary a été tout ça au cours de sa vie. Dans ce livre et au cours de cette soirée passionnante, nous découvrons surtout l’amour inconditionnel et infini que sa mère lui porte et la force qu’elle lui donne.
Depuis son enfance, avec son arrivée à Nice, où sa mère se démène seule pour qu’il puisse avoir un repas correct tous les jours. La scène où il découvre qu’elle se prive de viande pour lui, est traitée avec une pointe d’humour qui nous permet de ne pas être submergé par l’émotion. Cette mère qui le noie sous son amour et dont il nous décrit si parfaitement toutes les attentions dont elle le couvre.
Les années terribles arrivent, il intègre l’école de l’air de Salon-de-Provence. Dès que la guerre commence, il intègre l’aviation de la France Libre, il attaque, bombarde les positions nazies et défend les siennes. Il survit à deux crashs mais plus que tout, ce sont les innombrables lettres que sa mère lui envoie, plus de deux cent qui permettent qu’il garde l’espoir, l’envie de continuer. Il arrive jusqu’au bout de cette guerre et retourne à Nice…
Franck Desmedt nous offre une interprétation vivante et incarnée.
Devant nous, sur la scène, un décor où on peut aisément imaginer Romain Gary ou sa mère, aux cotés de Franck Desmedt, comme pour s’assurer que tout se passe bien, leur présence bienveillance est présente.
Un cadre intimiste est posé dès le début de la lecture, seul, il ne manque qu’un feu de cheminée et on a l’impression d’être chez un de nos aïeux qui nous raconte l’histoire qu’on connait tous, qui nous rassemble tous mais qu’on prend un plaisir fou à écouter chaque fois.
Ce cadre familial est renforcé par le texte-lui même, qui avec cette interprétation à la première personne, permet d’avoir presque Romain Gary devant nous.
Depuis son enfance, avec son arrivée à Nice, où sa mère se démène seule pour qu’il puisse avoir un repas correct tous les jours. La scène où il découvre qu’elle se prive de viande pour lui, est traitée avec une pointe d’humour qui nous permet de ne pas être submergé par l’émotion. Cette mère qui le noie sous son amour et dont il nous décrit si parfaitement toutes les attentions dont elle le couvre.
Les années terribles arrivent, il intègre l’école de l’air de Salon-de-Provence. Dès que la guerre commence, il intègre l’aviation de la France Libre, il attaque, bombarde les positions nazies et défend les siennes. Il survit à deux crashs mais plus que tout, ce sont les innombrables lettres que sa mère lui envoie, plus de deux cent qui permettent qu’il garde l’espoir, l’envie de continuer. Il arrive jusqu’au bout de cette guerre et retourne à Nice…
Franck Desmedt nous offre une interprétation vivante et incarnée.
Devant nous, sur la scène, un décor où on peut aisément imaginer Romain Gary ou sa mère, aux cotés de Franck Desmedt, comme pour s’assurer que tout se passe bien, leur présence bienveillance est présente.
Un cadre intimiste est posé dès le début de la lecture, seul, il ne manque qu’un feu de cheminée et on a l’impression d’être chez un de nos aïeux qui nous raconte l’histoire qu’on connait tous, qui nous rassemble tous mais qu’on prend un plaisir fou à écouter chaque fois.
Ce cadre familial est renforcé par le texte-lui même, qui avec cette interprétation à la première personne, permet d’avoir presque Romain Gary devant nous.
A Londres, en1881, le brouillard dissimule les gens que l’on crois… Dans cette ambiance humide et sombre, un meurtre est commis près de la Tamise et cette découverte va lier les destins de Sherlock Holmes et du docteur Watson qui ne se connaissaient pas et vont devenir un duo mythique d’enquêteurs. Indépendamment de l’enquête, Watson, tout juste rentré d’Afghanistan cherche un toit à partager et Sherlock pas encore connu pour son génie cherche une colocation : la réunion de ces deux là va faire des étincelles !
Qui a dit qu’on ne pouvait plus rien apprendre au sujet de Sherlock Holmes ? Les auteurs Christophe Guillon et Christian Chevalier nous font découvrir un secret du célèbre enquêteur. Ils ont réussi leur coup avec cette comédie policière qui retient toute notre attention pendant plus d’1h30 grace à un texte ciselé. Cette création est une joyeuse pochade où il fait bon rire. Mais pas que, il y a aussi une intrigue policière à suivre et il ne faut pas en louper une miette car le rythme est soutenu tant niveau action que dialogue. Les bons mots fusent, on rit beaucoup.
Les cinq comédiens sont parfaits : Hervé Dandrieux, Christophe Guillon, Emmanuel Guillon, Laura Marin et Didier Vinson. Ils possèdent tous un potentiel comique indéniable mais la palme revient à l’inspecteur Lestrade qui déclenche les rires juste avec ses mimiques avant même d’ouvrir la bouche.
Précisons que la mise en scène de Christophe Guillon est fluide, la gestion des décors est astucieuse et l’utilisation de déguisements très réussis. Un bon cocktail explosif où les jeux de mots se disputent aux scènes d’action et quelques clins d’œil à d’autres séries policières ponctuent avec bonheur cette soirée. La pièce est à recommander pour une sortie familiale mais aussi pour tous les fans du personnage de Sir Arthur Conan Doyle.
Il faut le voir, c’est élémentaire mon cher Watson !
Qui a dit qu’on ne pouvait plus rien apprendre au sujet de Sherlock Holmes ? Les auteurs Christophe Guillon et Christian Chevalier nous font découvrir un secret du célèbre enquêteur. Ils ont réussi leur coup avec cette comédie policière qui retient toute notre attention pendant plus d’1h30 grace à un texte ciselé. Cette création est une joyeuse pochade où il fait bon rire. Mais pas que, il y a aussi une intrigue policière à suivre et il ne faut pas en louper une miette car le rythme est soutenu tant niveau action que dialogue. Les bons mots fusent, on rit beaucoup.
Les cinq comédiens sont parfaits : Hervé Dandrieux, Christophe Guillon, Emmanuel Guillon, Laura Marin et Didier Vinson. Ils possèdent tous un potentiel comique indéniable mais la palme revient à l’inspecteur Lestrade qui déclenche les rires juste avec ses mimiques avant même d’ouvrir la bouche.
Précisons que la mise en scène de Christophe Guillon est fluide, la gestion des décors est astucieuse et l’utilisation de déguisements très réussis. Un bon cocktail explosif où les jeux de mots se disputent aux scènes d’action et quelques clins d’œil à d’autres séries policières ponctuent avec bonheur cette soirée. La pièce est à recommander pour une sortie familiale mais aussi pour tous les fans du personnage de Sir Arthur Conan Doyle.
Il faut le voir, c’est élémentaire mon cher Watson !
Voilà un beau voyage au cœur du Cameroun proposé par le musée du quai Branly qui pour la première fois dévoile les richesses cosmogoniques d’une cinquantaine de petits royaumes de la région des Grassfields. Invitation au visible (plus de 250 objets et oeuvres sont présentés) mais découverte aussi de l’invisible… Entre chefs au pouvoir presque divin, des sociétés secrètes et la relation entre l’art et les objets de pouvoir, on découvre un ‘nouveau’ monde, une façon différente d’aborder cette visite au musée.
Cette exposition permet une mise en valeur du patrimoine camerounais grâce à un partenariat entre le musée et l’association la Route des Chefferies. C’est un programme de développement culturel et touristique de la région des Grassfields permettant aux populations de se réapproprier leur patrimoine et avec pour objectif de contribuer à leur développement économique.
On découvre au cours de la visite ce qu’est une chefferie : un territoire avec une culture propre et dirigé par un chef qui est le gardien des traditions, qui fait le lien avec les ancêtres et qui veille au bien être de la population, il est très respecté. Il dirige la communauté en compagnie des reines et des notables.
Il y a aussi l’architecture symbolique des chefferies : ainsi dans ces villages, le long de ‘l’axe de la vie’ se rejoignent les vivants, leurs ancêtres et les totems du monde animal. Des objets sacrés avec leurs secrets, chargés de pouvoir magique et spirituel et toujours utilisés de nos jours : trônes, calebasses,…
Nous découvrons aussi les sociétés secrètes avec leurs masques, leurs costumes magnifiques et leur danse.
Une découverte totalement dépaysante et un voyage original d’une envergure totalement inédite.
Cette exposition permet une mise en valeur du patrimoine camerounais grâce à un partenariat entre le musée et l’association la Route des Chefferies. C’est un programme de développement culturel et touristique de la région des Grassfields permettant aux populations de se réapproprier leur patrimoine et avec pour objectif de contribuer à leur développement économique.
On découvre au cours de la visite ce qu’est une chefferie : un territoire avec une culture propre et dirigé par un chef qui est le gardien des traditions, qui fait le lien avec les ancêtres et qui veille au bien être de la population, il est très respecté. Il dirige la communauté en compagnie des reines et des notables.
Il y a aussi l’architecture symbolique des chefferies : ainsi dans ces villages, le long de ‘l’axe de la vie’ se rejoignent les vivants, leurs ancêtres et les totems du monde animal. Des objets sacrés avec leurs secrets, chargés de pouvoir magique et spirituel et toujours utilisés de nos jours : trônes, calebasses,…
Nous découvrons aussi les sociétés secrètes avec leurs masques, leurs costumes magnifiques et leur danse.
Une découverte totalement dépaysante et un voyage original d’une envergure totalement inédite.