Critiques pour l'événement Le Cas Martin Piche
Bien après tout le monde, j’ai enfin pu découvrir « Le cas Martin Piche », pièce saluée par tellement de monde.
Originale ? Elle l’est.
Drôle ? Elle l’est.
Plutôt bien écrite ? Elle l’est.
Et pourtant … Je n’en ressors pas totalement enthousiaste. Dès l’entrée en scène, cela part fort. Le premier rire fuse dès la première minute. Cela augure du bon. Le fameux Monsieur Piche présente son cas au neuropsychiatre. On s’amuse copieusement de ses hésitations, de ses attitudes et de sa lassitude face à sa vie.
Malheureusement, au fur et à mesure que l’histoire se déroule, j’ai ressenti comme une impression de tourner en rond. Les réponses du patient relèvent peu ou prou du même ressort comique. Et même si l’attitude survoltée du médecin tente de capter l’attention, quelque chose ne prend pas. Du coup, au bout d’un moment, je me suis moi-même un peu … ennuyé. Un ennui brisé net lors du retournement final, intelligemment pensé, mais qui ne m’a pas fait oublier les longueurs précédentes.
Les comédiens, Jacques Mougenot et Hervé Devolder forment un beau duo. Il ne sera pas simple à d’autres de s’attribuer le texte tant ces deux là le vivent sur scène.
« Le cas Martin Piche » fait passer un moment sympathique, mais je m’attendais à beaucoup mieux.
Originale ? Elle l’est.
Drôle ? Elle l’est.
Plutôt bien écrite ? Elle l’est.
Et pourtant … Je n’en ressors pas totalement enthousiaste. Dès l’entrée en scène, cela part fort. Le premier rire fuse dès la première minute. Cela augure du bon. Le fameux Monsieur Piche présente son cas au neuropsychiatre. On s’amuse copieusement de ses hésitations, de ses attitudes et de sa lassitude face à sa vie.
Malheureusement, au fur et à mesure que l’histoire se déroule, j’ai ressenti comme une impression de tourner en rond. Les réponses du patient relèvent peu ou prou du même ressort comique. Et même si l’attitude survoltée du médecin tente de capter l’attention, quelque chose ne prend pas. Du coup, au bout d’un moment, je me suis moi-même un peu … ennuyé. Un ennui brisé net lors du retournement final, intelligemment pensé, mais qui ne m’a pas fait oublier les longueurs précédentes.
Les comédiens, Jacques Mougenot et Hervé Devolder forment un beau duo. Il ne sera pas simple à d’autres de s’attribuer le texte tant ces deux là le vivent sur scène.
« Le cas Martin Piche » fait passer un moment sympathique, mais je m’attendais à beaucoup mieux.
Chaque année, dans une petite salle que nous avons découvert, se produisent quelques pépites ayant retenu l'attention du public soit à Paris, soit en Avignon, soit ailleurs dans la galaxie.
Bref, cette pièce surprenante sur le "j'm'ennuie", nous a bien plu et a fait l’unanimité des gens présents ce soir là.
Bravo en tout cas.
Bref, cette pièce surprenante sur le "j'm'ennuie", nous a bien plu et a fait l’unanimité des gens présents ce soir là.
Bravo en tout cas.
La pièce est plutôt facile : les jeux de mots / ressorts comiques sont un peu téléguidés et les ficelles plutôt grossières, mais on passe un bon moment.
Une belle paire d'acteurs cela dit !
Une belle paire d'acteurs cela dit !
Après avoir vu plusieurs spectacles mis en scène par Devolder, et grande admiratrice de sa fantaisie, j'ai eu envie de tenter l'aventure une fois de plus.
Double casquette pour cet artiste dans Martin Piche, puisqu'en plus de la mise en scène, il prête ses traits au docteur de la pièce, face à Jacques Mougenot, auteur de la pièce et interprète du patient.
Une belle complicité transparaît de ce duo comme de leur spectacle.
Un texte intelligent, qui fait beaucoup sourire, et parsemé de petits clins d'oeil au monde du théâtre et de l'art en général... Mise en abîme du spectacle et de l'ennui, dont il est question tout au long de cette histoire.
Le décor, le rythme, tout tend à nous plonger dans un réalisme extrême, comme si nous étions dans la vraie vie, voyeurs ou curieux dérobant ces minutes de thérapie. Une réalité qui créé un joli décalage avec le côté absurde et cocasse des personnages et de leur aventure.
Il est question d'ennui, sauf pour le spectateur qui passe un bien agréable moment.
Double casquette pour cet artiste dans Martin Piche, puisqu'en plus de la mise en scène, il prête ses traits au docteur de la pièce, face à Jacques Mougenot, auteur de la pièce et interprète du patient.
Une belle complicité transparaît de ce duo comme de leur spectacle.
Un texte intelligent, qui fait beaucoup sourire, et parsemé de petits clins d'oeil au monde du théâtre et de l'art en général... Mise en abîme du spectacle et de l'ennui, dont il est question tout au long de cette histoire.
Le décor, le rythme, tout tend à nous plonger dans un réalisme extrême, comme si nous étions dans la vraie vie, voyeurs ou curieux dérobant ces minutes de thérapie. Une réalité qui créé un joli décalage avec le côté absurde et cocasse des personnages et de leur aventure.
Il est question d'ennui, sauf pour le spectateur qui passe un bien agréable moment.
Ah passer une heure quinze dans le cabinet d'un neuropsychiatre à écouter le patient Martin Piche et on ressort en pleine forme !!
Martin décide de consulter un psy car il s’ennuie de façon pathologique et en permanence. Le psy va étudier ce cas tout à fait particulier avant de pouvoir poser un diagnostic étonnant. Martin semble hagard, désinterressé de tout et éprouvant une grosse difficulté à se concentrer sur les propos de son psy. Le psy, lui, va mettre tout son savoir faire en oeuvre pour traiter ce patient si étrange.
Je ne pensais pas qu'on pouvait en dire autant sur l'ennui, le sujet est passé au crible et permet quelques jeux de mots sympathiques, c'est réussi.
La connivence entre Jacques Mougenot, le patient et auteur du texte, et Hervé Devolder, le psy et metteur en scène est exceptionnelle pour nous embarquer dans cette histoire de fous. Jacques Mougenot, rien qu'en prenant son air 'qui suit la conversation tout en s'ennuyant' est impayable.
La mise en scène simple d'Hervé Devolder est parfaitement adaptée, il n'y a pas d'effet de manche, c'est juste du théâtre et on apprécie à sa juste valeur le texte finement écrit. Les réparties sont malicieuses à souhait.
La fin est surprenante et drole en prime car on se demande quand même cette étude, que dis je ??? Cette dissection de l'ennui va nous mener.
Bref on passe une heure avec Martin Piche et on ressort avec la pêche !
Martin décide de consulter un psy car il s’ennuie de façon pathologique et en permanence. Le psy va étudier ce cas tout à fait particulier avant de pouvoir poser un diagnostic étonnant. Martin semble hagard, désinterressé de tout et éprouvant une grosse difficulté à se concentrer sur les propos de son psy. Le psy, lui, va mettre tout son savoir faire en oeuvre pour traiter ce patient si étrange.
Je ne pensais pas qu'on pouvait en dire autant sur l'ennui, le sujet est passé au crible et permet quelques jeux de mots sympathiques, c'est réussi.
La connivence entre Jacques Mougenot, le patient et auteur du texte, et Hervé Devolder, le psy et metteur en scène est exceptionnelle pour nous embarquer dans cette histoire de fous. Jacques Mougenot, rien qu'en prenant son air 'qui suit la conversation tout en s'ennuyant' est impayable.
La mise en scène simple d'Hervé Devolder est parfaitement adaptée, il n'y a pas d'effet de manche, c'est juste du théâtre et on apprécie à sa juste valeur le texte finement écrit. Les réparties sont malicieuses à souhait.
La fin est surprenante et drole en prime car on se demande quand même cette étude, que dis je ??? Cette dissection de l'ennui va nous mener.
Bref on passe une heure avec Martin Piche et on ressort avec la pêche !
Un bon moment, avec un final très bien amené.
Sympathique !
Sympathique !
Tenir les spectateurs en haleine pendant plus d'1h 15 avec comme unique sujet l'ennui ! Il faut le faire !
Il y a même des rebondissements, joués avec une "platitude" géniale par Jacques Mougenot ....
Ce serait un peu comme.... une enquête sans délit !
Quant à la chute ... chut! Allez la découvrir par vous même !
Il y a même des rebondissements, joués avec une "platitude" géniale par Jacques Mougenot ....
Ce serait un peu comme.... une enquête sans délit !
Quant à la chute ... chut! Allez la découvrir par vous même !
Martin Piche va mal. Tout l'ennuie, rien ne l'intéresse. Il va donc consulter un spécialiste pour tenter de guérir.
Une rencontre étonnante et parfaitement bien orchestrée entre un docteur et un patient atteint d'une pathologie inédite. Au début, on craint beaucoup la répétition, le personnage principal n'étant pas seul à tourner en rond, les dialogues s'enlisant rapidement dans la redondance. Passé ce court moment d'ennui, le rythme s'accélère et la pièce se transforme en un jeu du chat et de la souris réjouissant. Les hypothèses émises par le docteur sur l'état de son patient sont matière à des scènes absurdes et burlesques.
Si on ne rit pas forcément tout le temps à gorge déployée, on en ressort assurément le sourire aux lèvres.
Une rencontre étonnante et parfaitement bien orchestrée entre un docteur et un patient atteint d'une pathologie inédite. Au début, on craint beaucoup la répétition, le personnage principal n'étant pas seul à tourner en rond, les dialogues s'enlisant rapidement dans la redondance. Passé ce court moment d'ennui, le rythme s'accélère et la pièce se transforme en un jeu du chat et de la souris réjouissant. Les hypothèses émises par le docteur sur l'état de son patient sont matière à des scènes absurdes et burlesques.
Si on ne rit pas forcément tout le temps à gorge déployée, on en ressort assurément le sourire aux lèvres.
La complicité de l’auteur et interprète Jacques Mougenot en patient torturé par le manque de curiosité et Hervé Devolder son psy offre au public une pièce agréable et bien interprétée.
Cette pépite malicieuse parle de l’ennui sans que cela nous ennuie un seul instant. C'est bien écrit avec finesse, humour et intelligence. Le sujet est original et drôle. On ne s’attend pas au rebondissement ultime qui fait penser à l'arroseur arrosé où ça fini bien à la fin ! Ça vaut vraiment le détour ...
Cette pépite malicieuse parle de l’ennui sans que cela nous ennuie un seul instant. C'est bien écrit avec finesse, humour et intelligence. Le sujet est original et drôle. On ne s’attend pas au rebondissement ultime qui fait penser à l'arroseur arrosé où ça fini bien à la fin ! Ça vaut vraiment le détour ...
Après avoir pris connaissance des avis et critiques internet (globalement très positifs sur l'ensemble des sites consultés), je m'attendais franchement à mieux.
Dès le début de la pièce, j'ai eu le sentiment d'assister à un exercice de style assez convenu, dans le cadre duquel les questions du médecin et les réponses du patients sont très prévisibles.
J'ai été lassé assez rapidement de ce petit jeu qui tourne en rond, assorti de temps en temps de quiproquos et répliques un peu vieillottes qui sentent le déjà vu.
Certes, la chute de la pièce surprend le spectateur mais pas au point de réhausser rétroactivement le niveau de cette pièce absurde qui ressemble à un sketch interminable de "Chevallier et Laspalès".
Dès le début de la pièce, j'ai eu le sentiment d'assister à un exercice de style assez convenu, dans le cadre duquel les questions du médecin et les réponses du patients sont très prévisibles.
J'ai été lassé assez rapidement de ce petit jeu qui tourne en rond, assorti de temps en temps de quiproquos et répliques un peu vieillottes qui sentent le déjà vu.
Certes, la chute de la pièce surprend le spectateur mais pas au point de réhausser rétroactivement le niveau de cette pièce absurde qui ressemble à un sketch interminable de "Chevallier et Laspalès".
Plutôt pêchu, souvent hilarant, ce cas Martin Piche sera la jolie petite surprise du mois de mai.
N’attendons aucune révolution du genre ni dimension cachée derrière les répliques, mais une spontanéité sincère et désopilante. Avec d’un coté un homme non pas désabusé ni blasé, mais tout simplement vidé de tout sel, toute curiosité ou toute énergie, et de l’autre un autre homme qui est l’exact opposé en psychiatre passionné par ce cas hors normes et dévoré de curiosité, Le cas Martin Piche n’est assurément jamais ennuyeux : d’une part parce que la mise en scène est dynamique et la pièce jouée avec force conviction et énergie par Jacques Mougenot (Martin Piche) et Hervé Devolder (le psychiatre) (les deux sont également metteur en scène et auteur de la pièce). D’autre part, l’écriture de Jacques Mougenot a quelque chose de Dubillard dans ses dia(b)logues qui en finissent par être parfois absurdes tant l’un écoute et l’autre pas, compensant par là même l’absence de réelle profondeur de l’ensemble. On ne s’y ennuie pas, donc et, malgré une histoire qui finit quelque peu par patiner faute de réel enjeu dramaturgique, ce Cas Martin Piche a la sagesse de se terminer au bout d’une petite heure quinze, laissant les spectateurs quitter la salle un grand sourire aux lèvres.
Au final, une heure quinze de rires francs et sincères en fin de journée, ça fait parfois, tout simplement, du bien. A voir et applaudir pour se détendre.
N’attendons aucune révolution du genre ni dimension cachée derrière les répliques, mais une spontanéité sincère et désopilante. Avec d’un coté un homme non pas désabusé ni blasé, mais tout simplement vidé de tout sel, toute curiosité ou toute énergie, et de l’autre un autre homme qui est l’exact opposé en psychiatre passionné par ce cas hors normes et dévoré de curiosité, Le cas Martin Piche n’est assurément jamais ennuyeux : d’une part parce que la mise en scène est dynamique et la pièce jouée avec force conviction et énergie par Jacques Mougenot (Martin Piche) et Hervé Devolder (le psychiatre) (les deux sont également metteur en scène et auteur de la pièce). D’autre part, l’écriture de Jacques Mougenot a quelque chose de Dubillard dans ses dia(b)logues qui en finissent par être parfois absurdes tant l’un écoute et l’autre pas, compensant par là même l’absence de réelle profondeur de l’ensemble. On ne s’y ennuie pas, donc et, malgré une histoire qui finit quelque peu par patiner faute de réel enjeu dramaturgique, ce Cas Martin Piche a la sagesse de se terminer au bout d’une petite heure quinze, laissant les spectateurs quitter la salle un grand sourire aux lèvres.
Au final, une heure quinze de rires francs et sincères en fin de journée, ça fait parfois, tout simplement, du bien. A voir et applaudir pour se détendre.
Bon déjà j'avais du mal lire le résumé car je ne m'attendais pas du tout à une comédie.
J'ai bien aimé cette pièce. Les deux comédiens sont bons et on rit de bon cœur à beaucoup de répliques.
J'ai surtout aimé le jeu de Martin Piche (Jacques Mougenot) qui campe un type qui s'ennuie continuellement.
La scène du porte manteau est superbe.
Un bon moment de théâtre sur une idée originale.
J'ai bien aimé cette pièce. Les deux comédiens sont bons et on rit de bon cœur à beaucoup de répliques.
J'ai surtout aimé le jeu de Martin Piche (Jacques Mougenot) qui campe un type qui s'ennuie continuellement.
La scène du porte manteau est superbe.
Un bon moment de théâtre sur une idée originale.
Pièce intéressante plutôt bien écrite sur un sujet original mais qui tourne rapidement en rond.
A force on s'attend aux réponses. La dernière pirouette finale semble un peu artificielle pour s'en sortir.
Bons comédiens, beaux décors et mise en scène classique.
A force on s'attend aux réponses. La dernière pirouette finale semble un peu artificielle pour s'en sortir.
Bons comédiens, beaux décors et mise en scène classique.
Martin Piche est touché par une maladie étrange : le manque de curiosité. Pour l’aider à s’en sortir, il va faire appel à un éminent psychologue qui va être intrigué. Pour traiter son patient, il va mettre toute son imagination au service de cette séance thérapeutique où les situations cocasses vont se suivre. Prêt pour une séance de psy ?
L’ennui, peut être aussi une source d’inspiration. Jacques Mougenot après L’affaire Dussaert, décide de proposer un nouveau spectacle où le spectateur allait être pris au dépourvu. Sur scène, il va incarner le patient, gravement atteint d’un manque de curiosité chronique. Il va être accompagné, dans le rôle du psychologue par le metteur en scène Hervé Devolder.
Le spécialiste n’a jamais vu un tel cas, rien de tel pour piquer sa curiosité. Par précaution, comme à chaque séance, il enregistre ce qui se passe pour mieux écouter par la suite. Mais voilà, le patient n’est pas très typique. Il n’aime rien en particulier et éprouve bien des difficultés à écouter ce qu’on lui dit. Tout l’ennuie. Alors va s’enchaîner des échanges et des situations les plus étranges et loufoques, les unes des autres. Tout le public, est pris dans les filets de cet humour et tout le monde se laisse aller à rire.
C’est tellement improbable que c’en est drôle. J’avoue que j’ai beaucoup ri et j’ai apprécié cette fin totalement inattendue pour moi. C’est un beau retournement de situation qui m’a fait encore plus apprécier la pièce. En plus, c’est très bien écrit, c’est très bien joué et c’est très bien mis en scène. Il a tout ce qu’il faut pour passer une agréable soirée.
Si vous voyez cette affiche prêt de chez vous, je vous recommande d’y aller pour passer un bon moment.
L’ennui, peut être aussi une source d’inspiration. Jacques Mougenot après L’affaire Dussaert, décide de proposer un nouveau spectacle où le spectateur allait être pris au dépourvu. Sur scène, il va incarner le patient, gravement atteint d’un manque de curiosité chronique. Il va être accompagné, dans le rôle du psychologue par le metteur en scène Hervé Devolder.
Le spécialiste n’a jamais vu un tel cas, rien de tel pour piquer sa curiosité. Par précaution, comme à chaque séance, il enregistre ce qui se passe pour mieux écouter par la suite. Mais voilà, le patient n’est pas très typique. Il n’aime rien en particulier et éprouve bien des difficultés à écouter ce qu’on lui dit. Tout l’ennuie. Alors va s’enchaîner des échanges et des situations les plus étranges et loufoques, les unes des autres. Tout le public, est pris dans les filets de cet humour et tout le monde se laisse aller à rire.
C’est tellement improbable que c’en est drôle. J’avoue que j’ai beaucoup ri et j’ai apprécié cette fin totalement inattendue pour moi. C’est un beau retournement de situation qui m’a fait encore plus apprécier la pièce. En plus, c’est très bien écrit, c’est très bien joué et c’est très bien mis en scène. Il a tout ce qu’il faut pour passer une agréable soirée.
Si vous voyez cette affiche prêt de chez vous, je vous recommande d’y aller pour passer un bon moment.
Ayant vu l'Affaire Dussaert avant ce spectacle, je m'attendais à être encore surprise et séduite par cette pièce.
Ce fut le cas. Tout réside dans la chute finale où tel est pris qui croyait prendre mais pas seulement. Contrairement à la première pièce qui est un seul en scène, nous sommes ici face à un duo qui fonctionne à merveille. Jacques Mougenot y fait encore des étincelles avec ses saillies particulièrement bien senties. Il a réellement un talent d'écriture. Mais l'acteur qui joue le psychologue chargé de son cas, est excellent lui-aussi. A noter qu'il s'agit du metteur en scène Hervé Devolder à l'origine de la mise en scène du spectacle Kiki de Montparnasse.
D'abord, l'entrée en scène du psy, avec une scène clé, celle où il insère une cassette dans son matériel d'enregistrement, ce, afin de conserver une trace de son entretien à venir avec son nouveau patient. Puis l'arrivée du patient, qui prend au pied de la lettre ce que lui dit son psy. La scène du porte manteau est vraiment savoureuse pour cela. Puis le dialogue entre les deux où le psy est confrontée à un cas sans nulle autre pareil. Totalement captivé par ce cas, il s'emploie à conforter son patient dans l'idée qu'il ne le laissera pas tomber et fera tout ce qui est dans son pouvoir pour le soigner. Cela passe bien entendu par l'écoute mais pas que.
Lorsque, par exemple, le praticien emploie la violence, le spectateur est mal à l'aise. Heureusement, cette scène sert la pièce et nous permet d'arriver à sortir de l'intrigue. Car, il est difficile de démasquer une personne qui se fait passer pour ce qu'elle n'est pas, sans employer les grands moyens et la confondre dans ses propres travers.
Bref, un spectacle extrêmement réfléchi, un thème à l'honneur en ce moment avec les pièces, je vous écoute mais aussi Garde alternée. Je la recommande.
Ce fut le cas. Tout réside dans la chute finale où tel est pris qui croyait prendre mais pas seulement. Contrairement à la première pièce qui est un seul en scène, nous sommes ici face à un duo qui fonctionne à merveille. Jacques Mougenot y fait encore des étincelles avec ses saillies particulièrement bien senties. Il a réellement un talent d'écriture. Mais l'acteur qui joue le psychologue chargé de son cas, est excellent lui-aussi. A noter qu'il s'agit du metteur en scène Hervé Devolder à l'origine de la mise en scène du spectacle Kiki de Montparnasse.
D'abord, l'entrée en scène du psy, avec une scène clé, celle où il insère une cassette dans son matériel d'enregistrement, ce, afin de conserver une trace de son entretien à venir avec son nouveau patient. Puis l'arrivée du patient, qui prend au pied de la lettre ce que lui dit son psy. La scène du porte manteau est vraiment savoureuse pour cela. Puis le dialogue entre les deux où le psy est confrontée à un cas sans nulle autre pareil. Totalement captivé par ce cas, il s'emploie à conforter son patient dans l'idée qu'il ne le laissera pas tomber et fera tout ce qui est dans son pouvoir pour le soigner. Cela passe bien entendu par l'écoute mais pas que.
Lorsque, par exemple, le praticien emploie la violence, le spectateur est mal à l'aise. Heureusement, cette scène sert la pièce et nous permet d'arriver à sortir de l'intrigue. Car, il est difficile de démasquer une personne qui se fait passer pour ce qu'elle n'est pas, sans employer les grands moyens et la confondre dans ses propres travers.
Bref, un spectacle extrêmement réfléchi, un thème à l'honneur en ce moment avec les pièces, je vous écoute mais aussi Garde alternée. Je la recommande.
Contrairement aux précédentes critiques et justement parce que je les avais lues, j'ai pris mes places avec hâte et surtout avec des attentes.
J'avoue. Le sujet me passionnait : l'ennui. Je m'imaginais une pièce sympa avec un côté philosophique, psychologique, un fond, une réflexion. Mais en fait, c'est une comédie. J'allais presque écrire "juste une comédie" mais ce serait dévaloriser cette pièce qui reste effectivement un bon moment.
J'ai beaucoup ri. Le décor est sympa. Les comédiens sont bons. J'en souris encore. Alors bien sûr dans le cabinet d'un psy, les déplacements sont assez rares mais ils existent quand même un peu.
J'avais compris que la fin amènerait un grand rebondissement, donc forcément elle est devenue moins surprenante (j'avais même imaginé les fins les plus délirantes...) Alors que la personne qui m'accompagnait et qui ne savait rien de l'affaire, a été très surprise !
Si vous n'avez pas d'attente sur une quelconque réflexion psychologique ou philosophique, c'est bon. On passe vraiment un bon moment. La comédie est bien menée et finalement il faut que ce soit la seule chose qu'on lui demande. Ce qui n'est déjà pas si mal.
J'avoue. Le sujet me passionnait : l'ennui. Je m'imaginais une pièce sympa avec un côté philosophique, psychologique, un fond, une réflexion. Mais en fait, c'est une comédie. J'allais presque écrire "juste une comédie" mais ce serait dévaloriser cette pièce qui reste effectivement un bon moment.
J'ai beaucoup ri. Le décor est sympa. Les comédiens sont bons. J'en souris encore. Alors bien sûr dans le cabinet d'un psy, les déplacements sont assez rares mais ils existent quand même un peu.
J'avais compris que la fin amènerait un grand rebondissement, donc forcément elle est devenue moins surprenante (j'avais même imaginé les fins les plus délirantes...) Alors que la personne qui m'accompagnait et qui ne savait rien de l'affaire, a été très surprise !
Si vous n'avez pas d'attente sur une quelconque réflexion psychologique ou philosophique, c'est bon. On passe vraiment un bon moment. La comédie est bien menée et finalement il faut que ce soit la seule chose qu'on lui demande. Ce qui n'est déjà pas si mal.
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