Son balcon
SAISON 2025-2026
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Mini Molières
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Superhéroïne
Son classement : 23 / 6201
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Actualités de ses filatures
Cinq ans après sa Ménopause, l'ancien animateur récidive et nous embarque cette fois dans un combat contre la masculinité toxique et les pannes au lit.
De bien sérieux sujets, traités dans un musical qui ne l'est pas : c'est à la fois un extraordinaire juke-box de chansons qu'on adore, parodiées pour nous raconter les maux de ces garçons, et un enchainement de situations rocambolesques, de chorégraphies endiablées et de jeux de mots barrés (on en attendait pas moins d'Alex Goude !).
Les choix sont éclectiques, des années 80 à 2025, ils sont tous là (Céline, Gaga, Mylène, mais aussi Johnny et Queen).
Sérieux aussi : le niveau du cast.
Pierre Vigié y est un trentenaire au physique avantageux, mais perdu dans sa quête d'un amour véritable qu'il ne trouve ni sur les réseaux ni à la salle de sport.
Edouard Collin incarne le jeune papa quarantenaire, qui ne sait pas comment rallumer la flamme avec son compagnon.
Philippe d'Avilla se glisse dans la peau d'un quinqua divorcé, dont la vision "un peu macho" bloque une véritable évolution, tant professionnelle que charnelle.
Un trio gagnant, chapeauté par Laura Masci, thérapeute de choc de ces mâles.
Côté mise en scène, minimalisme et écrans permettent un rythme effréné où on passe d'un tableau à l'autre (avec également quelques changements de tenue dignes d'as du "quick change").
Utile, drôle, divertissant : un vrai spectacle feel-goude !
De bien sérieux sujets, traités dans un musical qui ne l'est pas : c'est à la fois un extraordinaire juke-box de chansons qu'on adore, parodiées pour nous raconter les maux de ces garçons, et un enchainement de situations rocambolesques, de chorégraphies endiablées et de jeux de mots barrés (on en attendait pas moins d'Alex Goude !).
Les choix sont éclectiques, des années 80 à 2025, ils sont tous là (Céline, Gaga, Mylène, mais aussi Johnny et Queen).
Sérieux aussi : le niveau du cast.
Pierre Vigié y est un trentenaire au physique avantageux, mais perdu dans sa quête d'un amour véritable qu'il ne trouve ni sur les réseaux ni à la salle de sport.
Edouard Collin incarne le jeune papa quarantenaire, qui ne sait pas comment rallumer la flamme avec son compagnon.
Philippe d'Avilla se glisse dans la peau d'un quinqua divorcé, dont la vision "un peu macho" bloque une véritable évolution, tant professionnelle que charnelle.
Un trio gagnant, chapeauté par Laura Masci, thérapeute de choc de ces mâles.
Côté mise en scène, minimalisme et écrans permettent un rythme effréné où on passe d'un tableau à l'autre (avec également quelques changements de tenue dignes d'as du "quick change").
Utile, drôle, divertissant : un vrai spectacle feel-goude !
Il y a des pièces de théâtres qui se découvrent comme un film ou un bon roman. Aïda Asgarzadeh nous avait déjà livré ce sentiment avec ses Poupées persanes, ou La main de Leïla... une auteure qu'on retourne donc voir les yeux fermés mais le cœur bien ouvert, prêt à recevoir l'histoire et l'Histoire, tissées par des personnages vibrants et sincères.
C'est l'occasion de se glisser dans un univers méconnu, celui du journalisme de guerre, en traversant plusieurs évènements marquants, mais aussi des thématiques qui sont presque les codes de ce théâtre de fiction historique : la quête initiatique, le voyage, le hasard, les parents.
Des thèmes aspirants notre génération, troublants, émouvants mais sans jamais glisser vers le pathos.
Le rythme (palpitant) et la mise en scène (minimaliste) aussi participent à cet enveloppement des sens : on est tout de suite happé, sans temps mort, par cette alternance de réalisme et d'instants suspendus.
Le trio de comédiens (Magali Genoud, Maëlis Adalle, Azeddine Benamara) y est authentique et brillant.
C'est l'occasion de se glisser dans un univers méconnu, celui du journalisme de guerre, en traversant plusieurs évènements marquants, mais aussi des thématiques qui sont presque les codes de ce théâtre de fiction historique : la quête initiatique, le voyage, le hasard, les parents.
Des thèmes aspirants notre génération, troublants, émouvants mais sans jamais glisser vers le pathos.
Le rythme (palpitant) et la mise en scène (minimaliste) aussi participent à cet enveloppement des sens : on est tout de suite happé, sans temps mort, par cette alternance de réalisme et d'instants suspendus.
Le trio de comédiens (Magali Genoud, Maëlis Adalle, Azeddine Benamara) y est authentique et brillant.
Quand j'ai réservé ma place, l'objectif était de pouvoir assister à un "Classique" de Broadway. Et finalement, cette sortie a été bien plus que cela.
La petite boutique des horreurs, d'abord un film des années 60, puis un musical en 1986, a été la première collaboration du duo Alan Menken, pour la musique, et Howard Ashman aux textes : point de départ d'une alliance épique à qui l'on devra ensuite les plus belles bandes originales Disney, rien de moins que La Petite Sirène, Aladdin et la Belle et la Bête.
Loin d'être désuet, le spectacle nous embarque dans son univers coloré et son humour décalé : un classique, oui, mais avec une modernité affirmée, qu'on retrouve à la fois dans les costumes (signés Vanessa Sannino), dans le décor et ses accessoires minutieux, mais surtout dans ses effets spéciaux, avec une marionnette incroyable pour incarner la plante mystérieuse au centre du récit.
On la verra évoluer tout au long du show, grandir, s'animer... C'est tout simplement magique !
On reste aussi fidèle à l'œuvre d'origine, plutôt tradi côté chorégraphique, et avec un cast absolument parfait, de l'orchestre en live, aux interprètes ultra talentueux (mention spéciale à Daniel Njo Lobé, qui y est incroyable, et Arnaud Denissel, l'hilarant boyfriend sadique).
La petite boutique des horreurs, d'abord un film des années 60, puis un musical en 1986, a été la première collaboration du duo Alan Menken, pour la musique, et Howard Ashman aux textes : point de départ d'une alliance épique à qui l'on devra ensuite les plus belles bandes originales Disney, rien de moins que La Petite Sirène, Aladdin et la Belle et la Bête.
Loin d'être désuet, le spectacle nous embarque dans son univers coloré et son humour décalé : un classique, oui, mais avec une modernité affirmée, qu'on retrouve à la fois dans les costumes (signés Vanessa Sannino), dans le décor et ses accessoires minutieux, mais surtout dans ses effets spéciaux, avec une marionnette incroyable pour incarner la plante mystérieuse au centre du récit.
On la verra évoluer tout au long du show, grandir, s'animer... C'est tout simplement magique !
On reste aussi fidèle à l'œuvre d'origine, plutôt tradi côté chorégraphique, et avec un cast absolument parfait, de l'orchestre en live, aux interprètes ultra talentueux (mention spéciale à Daniel Njo Lobé, qui y est incroyable, et Arnaud Denissel, l'hilarant boyfriend sadique).
Une pièce musicale comme on les aime : un superbe duo de comédiens, un piano à queue pour des chansons "en live", une histoire fascinante et en plus, inspirée de faits réels...
Le sujet, c'est Madame Florence Foster Jenkins, cette cantatrice qui dans les années 30, est devenue célèbre car persuadée d'avoir un don, inconsciente de son manque de rythme et de ses fausses notes.
Celle qui a sans doute inspirée la Castafiore, reprend vie sous les traits d'Agnès Bove, aussi drôle qu'impressionnante dans ce rôle.
Face à elle, Cyril Romoli interprète le pianiste de la chanteuse, et le narrateur de ce destin incroyable et émouvant.
On retiendra également les costumes, très travaillés, aussi extravagants que l'héroïne du spectacle ; et bien sûr, la musique en elle-même, entre mélodies jazzy et grands airs lyriques.
Une ode aux mélomanes et aux rêveurs...
Le sujet, c'est Madame Florence Foster Jenkins, cette cantatrice qui dans les années 30, est devenue célèbre car persuadée d'avoir un don, inconsciente de son manque de rythme et de ses fausses notes.
Celle qui a sans doute inspirée la Castafiore, reprend vie sous les traits d'Agnès Bove, aussi drôle qu'impressionnante dans ce rôle.
Face à elle, Cyril Romoli interprète le pianiste de la chanteuse, et le narrateur de ce destin incroyable et émouvant.
On retiendra également les costumes, très travaillés, aussi extravagants que l'héroïne du spectacle ; et bien sûr, la musique en elle-même, entre mélodies jazzy et grands airs lyriques.
Une ode aux mélomanes et aux rêveurs...
Sur les recommandations d'Au Balcon, nous sommes allés voir le spectacle adapté des Mystères de Paris d'Eugène Sue.
Nous n'avons absolument pas été déçus par le jeu des comédiens qui à eux trois interprètent quinze personnages différents dans un décor de poche, le tout en chanson.
Cela aurait pu nous refroidir mais l'interprétation est tellement jolie qu'on est totalement pris par l'histoire et que l'on ne sent pas le temps passer. Le spectacle dure quand même presque 2HEURES.
Coup de chapeau aux trois comédiens. Ils ont amplement mérité les rappels qui ont suivi la fin de représentation.
Excellent spectacle !
Nous n'avons absolument pas été déçus par le jeu des comédiens qui à eux trois interprètent quinze personnages différents dans un décor de poche, le tout en chanson.
Cela aurait pu nous refroidir mais l'interprétation est tellement jolie qu'on est totalement pris par l'histoire et que l'on ne sent pas le temps passer. Le spectacle dure quand même presque 2HEURES.
Coup de chapeau aux trois comédiens. Ils ont amplement mérité les rappels qui ont suivi la fin de représentation.
Excellent spectacle !