C'est une belle exposition que nous propose le Muséum !

Les contenus sont riches et très intéressants. C'est en y allant que l'on se rend compte de notre méconnaissance profonde pour ce qui représente les 3/4 de notre planète.

Pourtant l'océan est rempli de mystères à percer (il nous reste près de 2 millions d'espèces encore à découvrir !).
Le parcours de l'exposition était plutôt clair même si je ne l'aurais pas commencé par les découvertes humaines : c'est dommage de toujours rattacher la nature à l'Homme (pourrait-t-on pas en parler sans être auto-centré ?).

Les dispositifs numériques étaient intéressants et bien faits (quelques dispositifs spécialement conçus pour les plus petits avec une jolie narration). Le gros bémol était les textes, beaucoup trop présents : à la fin on devient comme le plancton, on se laisse porter par le courant et on ne les lit plus. Bien dommage. Une hiérarchisation, quelques coupes et des anecdotes plus pertinentes auraient été bienvenus.

Une jolie exposition en somme.

Cette nouvelle pièce d'Eric-Emmanuel Schmitt a beaucoup de qualités et quelques défauts.

Elle est agréable à écouter, le message de la pièce est sublime et le texte tout en rondeurs. Les dialogues sont percutants et l'alternance texte-musique nous emporte.
Le bémol est dans la durée de la pièce : 2h. C'est trop long pour venir en semaine, c'est trop long lorsqu'on doit autant se concentrer pour écouter la musique de Chopin.
On en ressort du coup fatigué et c'est dommage.

La mise en scène était un peu trop classique à mon goût mais fonctionnait tout de même.

En somme, une jolie pièce un petit peu trop longue.

Une exposition très décevante.

La publicité faite autour de cette exposition me promettait une belle exposition, bien pensée et très bien scénographiée. Hélas, je n'ai eu rien de tout cela.

L'exposition temporaire ne possède pas de scénographie. Nous avons l'impression que les tableaux de la collection permanente ont été décrochés pour mettre à la place ceux de Berthe Morisot (d'ailleurs peut-être que c'est le cas ?). Pas de gestion des flux, pas de scénographie, des tableaux peu mis en valeur, des textes incompréhensibles et l'affluence importante n'aide pas. Les salles ne sont pas reliées entre elles et nous devons sans cesse sortir sur le couloir principal pour voir la suite. Il y a un manque criant d'originalité, de parti-pris et d'audace. Dommage alors que Berthe Morisot l'était et le méritait !

Je déconseille.

Assez mitigé sur cette exposition.

J'y suis allé en période de très forte affluence ce qui évidemment ne met pas dans les meilleures conditions pour apprécier et prendre le temps de comprendre et réfléchir.

Je n'ai ainsi pas pu lire les textes, écrits petits et parfois difficiles d'accès. Les pièces étaient jolies mais un peu étroites. On suit le flux et on a du mal à s'arrêter et prendre le temps de regarder.
Les oeuvres sont assez différentes, il y a des vêtements, des maquettes, du mobilier et des bijoux. C'est très intéressant pour ressentir une époque.
Bizarrement, ce que j'ai le plus apprécié, ce sont les intermèdes musicaux le long de l'expo. Des banquettes (très prisées) étaient présentes où était diffusées des musiques de l'époque. Cela permettait de développer l'imaginaire. Et cerise sur la gâteau, un pianiste nous a joué quelques morceaux en fin d'exposition.

Une exposition à faire que dans les heures creuses.

C’est une petite exposition à la Cité des sciences qu’est Microbiote.

D’ailleurs si vous avez lu le livre, je vous déconseille d’y venir. Vous n’y apprendrez rien de plus.
Pour ceux qui ne l’ont pas lu alors courez y pour comprendre ce qu’est le microbiote et en quoi il est nécessaire à notre vie. La mise en scène est très marrante, décomplexée et très didactique (très à l’image du livre).

Les multimédias et les audiovisuels sont semés tout au long du parcours et permettent de s’amuser et d’expérimenter !