Ses critiques
272 critiques
8/10
Une très jolie pièce de théâtre.
J’aime Valentine mais Bon a de très bons moments, entre émotion et sourires.
Les personnages sont attachants et on se prend à aimer Valentine autant qu’Idal l’aime.
Le trio d’acteurs marche bien et la mise en scène est travaillée.
A aller voir !
J’aime Valentine mais Bon a de très bons moments, entre émotion et sourires.
Les personnages sont attachants et on se prend à aimer Valentine autant qu’Idal l’aime.
Le trio d’acteurs marche bien et la mise en scène est travaillée.
A aller voir !
5/10
7 mort sur ordonnance a un titre prometteur, qui laisse place à l’imagination.
J’y avais beaucoup d’attente, d’autant plus que le thème du harcèlement au travail m’intéresse et est un sujet peu traité dans les théâtres privés.
Pourtant je n’ai pas adhéré, j’ai trouvé les premières minutes très ingénieuses et superbes. Le décor austère se prêtait bien au thème et les acteurs sont très bons.
Pourtant au fil de la pièce, je me suis tassée dans mon siège : le décor qui m’avait plu au début n’est jamais modifié. Les ambiances sont toujours les mêmes et ne permettent pas beaucoup de changements de rythme, indispensables à toutes pièces de cette durée ! De plus le scénario est trop long et le rythme ne s’intensifie pas avec l’engrenage du harcèlement. J’aurais aimé que dans la mise en scène on ressente cette oppression, les actions qui sont subies et ne sont plus choisies pour arriver jusqu’à la chute.
Au contraire je me suis de plus en plus ennuyée.
A éviter.
J’y avais beaucoup d’attente, d’autant plus que le thème du harcèlement au travail m’intéresse et est un sujet peu traité dans les théâtres privés.
Pourtant je n’ai pas adhéré, j’ai trouvé les premières minutes très ingénieuses et superbes. Le décor austère se prêtait bien au thème et les acteurs sont très bons.
Pourtant au fil de la pièce, je me suis tassée dans mon siège : le décor qui m’avait plu au début n’est jamais modifié. Les ambiances sont toujours les mêmes et ne permettent pas beaucoup de changements de rythme, indispensables à toutes pièces de cette durée ! De plus le scénario est trop long et le rythme ne s’intensifie pas avec l’engrenage du harcèlement. J’aurais aimé que dans la mise en scène on ressente cette oppression, les actions qui sont subies et ne sont plus choisies pour arriver jusqu’à la chute.
Au contraire je me suis de plus en plus ennuyée.
A éviter.
6,5/10
François Bégaudeau nous offre avec Le lien un texte émouvant et incisif.
Le lien commence avec une scène banale, un repas de famille, entre un fils et sa mère. Entre les deux la communication n’est pas facile, il suffit d’un rien, d’une anecdote trop longue pour que tout dégénère. Pour que les non-dits éclatent, pour que la rancoeur apparaisse. Qui n’a jamais rêvé de ça, pouvoir tout dire, se vider de ses haines et de ses peurs ?
Oui, mais à quel prix ? Est-ce que le lien restera ?
C’est avec justesse que Pierre Palmade et Catherine Hiegel nous déroulent cette histoire, quelques fois révoltante, antipathique ou encore faisant éclater un amour pudique.
On passe par toutes les émotions, un peu trop par moments et on a plus le temps de faire le point, de suivre le fil car notre esprit vagabonde dans nos propres tourments.
La mise en scène un peu trop classique nous a déçu. On aurait aimé qu’elle soit plus forte et vienne contrebalancer le texte en lui apportant une autre vision. C’est dommage.
Le revirement de fin est un peu décevant, presque trop attendu. On aurait aimé quelque chose de radical qui nous fasse gamberger un peu plus.
A ne pas manquer, pour voir le très bon jeu des acteurs et y découvrir un texte fort.
Le lien commence avec une scène banale, un repas de famille, entre un fils et sa mère. Entre les deux la communication n’est pas facile, il suffit d’un rien, d’une anecdote trop longue pour que tout dégénère. Pour que les non-dits éclatent, pour que la rancoeur apparaisse. Qui n’a jamais rêvé de ça, pouvoir tout dire, se vider de ses haines et de ses peurs ?
Oui, mais à quel prix ? Est-ce que le lien restera ?
C’est avec justesse que Pierre Palmade et Catherine Hiegel nous déroulent cette histoire, quelques fois révoltante, antipathique ou encore faisant éclater un amour pudique.
On passe par toutes les émotions, un peu trop par moments et on a plus le temps de faire le point, de suivre le fil car notre esprit vagabonde dans nos propres tourments.
La mise en scène un peu trop classique nous a déçu. On aurait aimé qu’elle soit plus forte et vienne contrebalancer le texte en lui apportant une autre vision. C’est dommage.
Le revirement de fin est un peu décevant, presque trop attendu. On aurait aimé quelque chose de radical qui nous fasse gamberger un peu plus.
A ne pas manquer, pour voir le très bon jeu des acteurs et y découvrir un texte fort.
2,5/10
Ne parlons pas d’expo pour ce lieu, plutôt d’une projection contemplative de l’oeuvre d’un artiste.
Vous n’y trouverez donc ni contenu pédagogique, ni anecdotes intéressantes sur une œuvre ou l’artiste : en somme un peu de musique et des animations de tableaux (pas toujours bien faites).
Il n’y aurait pas de problème si c’était vendu comme ça mais leur communication est fausse et mensongère. J’ai été très déçue par ce nouveau lieu dont toute la presse parlait tant.
Vous n’y trouverez donc ni contenu pédagogique, ni anecdotes intéressantes sur une œuvre ou l’artiste : en somme un peu de musique et des animations de tableaux (pas toujours bien faites).
Il n’y aurait pas de problème si c’était vendu comme ça mais leur communication est fausse et mensongère. J’ai été très déçue par ce nouveau lieu dont toute la presse parlait tant.
Afficher le commentaire
6,5/10
Cette pièce est un petit peu trop lente. Elle s’etire un peu et pourrait être facilement raccourcie ce qui donnerait du dynamisme à certains moments.
Les acteurs sont très bons et jouent juste.
La scénographie pourrait être un peu plus actuelle mais elle fonctionne bien.
Les acteurs sont très bons et jouent juste.
La scénographie pourrait être un peu plus actuelle mais elle fonctionne bien.