Ses critiques
60 critiques
8,5/10
Une très belle exposition.
Un sculpteur peu connu, même chez les amateurs d'art. Et à mon grand étonnement, un dessinateur hors pair.
L'exposition se tourne bien plus vers ses croquis que ses sculptures, mais quels croquis !
Des dessins à la sanguine superbes, une véritable avant garde du jeu vidéo, ou du cinéma d'animation en 2D et même en 3D.
L'exposition est très bien organisée. Elle est très instructive, et donne envie de dessiner.
Une belle exposition bien organisée pour relater la vie d'un artiste d'exception.
Un sculpteur peu connu, même chez les amateurs d'art. Et à mon grand étonnement, un dessinateur hors pair.
L'exposition se tourne bien plus vers ses croquis que ses sculptures, mais quels croquis !
Des dessins à la sanguine superbes, une véritable avant garde du jeu vidéo, ou du cinéma d'animation en 2D et même en 3D.
L'exposition est très bien organisée. Elle est très instructive, et donne envie de dessiner.
Une belle exposition bien organisée pour relater la vie d'un artiste d'exception.
7/10
Une exposition assez courte.
Tout est amené par l'oeuvre phare (jamais exposée en Europe) de Grant Wood : American Gothic. Hormis cette oeuvre, et deux de Hopper, les œuvres ne sont pas très connues du grand public. Les salles proposent des thèmes assez semblables mais tout est annoncé dès la frise chronologique de l’entrée.
Les années 30 aux Etats Unis, pour les conservateurs, c'est, la société du spectacle, et le chômage. Le sous titre de l'exposition "L'âge de l'anxiété" est pour le moins évocateur. L'époque étant le croisement de différents mouvements artistiques, les avants-gardes sont assez bien représentés.
Attention, il y a souvent beaucoup de queue.
Tout est amené par l'oeuvre phare (jamais exposée en Europe) de Grant Wood : American Gothic. Hormis cette oeuvre, et deux de Hopper, les œuvres ne sont pas très connues du grand public. Les salles proposent des thèmes assez semblables mais tout est annoncé dès la frise chronologique de l’entrée.
Les années 30 aux Etats Unis, pour les conservateurs, c'est, la société du spectacle, et le chômage. Le sous titre de l'exposition "L'âge de l'anxiété" est pour le moins évocateur. L'époque étant le croisement de différents mouvements artistiques, les avants-gardes sont assez bien représentés.
Attention, il y a souvent beaucoup de queue.
4/10
Je me suis ennuyé, j'ai même été gêné par moments.
J'étais ravi de voir Armelle sur scène, mais l'histoire n'a aucun sens, est souvent incohérente, et n'a aucun intérêt. Les personnages sont de simples clichés poussés à l'extrême, sans aucune finesse, ni subtilité. Des imitations, de la parodie, des blagues réchauffées, qui empêchent de rentrer dans l'histoire.
Ça crie, c'est agressif, la mise en scène est absente. Ce n'est même pas de l'absurde. C'est de l'inutile.
J'étais ravi de voir Armelle sur scène, mais l'histoire n'a aucun sens, est souvent incohérente, et n'a aucun intérêt. Les personnages sont de simples clichés poussés à l'extrême, sans aucune finesse, ni subtilité. Des imitations, de la parodie, des blagues réchauffées, qui empêchent de rentrer dans l'histoire.
Ça crie, c'est agressif, la mise en scène est absente. Ce n'est même pas de l'absurde. C'est de l'inutile.
5/10
Puisque ça fait rire pourquoi changer ?
La salle semblait ravie par la pièce, avec des rires réguliers, et de très longs applaudissements pour finir. Pourtant je ne suis pas rentré dans cet univers parodique de la politique française. C'est fourre-tout, on s'y moque de tout et surtout de rien. Les décors sont agréables à regarder, on se croirait ailleurs, mais la mise en scène est faible, et ne suite pas la créativité du lieu. Les costumes sont biens choisis, mais pas mémorables. Et les répliques, qui mettent toutes en valeur Amanda Lear n'auront rien de culte.
Le récit est bien construit dans son rythme, mais le fond, et la manière dont les choses sont amenées ne sont pas intéressants.
Les acteurs ne sont pas particulièrement bons, beaucoup de sur-jeu pour amener les vannes et jamais d'émotion.
Néanmoins, ça fait rire. Il n'est pas toujours nécessaire de faire dans la finesse.
La salle semblait ravie par la pièce, avec des rires réguliers, et de très longs applaudissements pour finir. Pourtant je ne suis pas rentré dans cet univers parodique de la politique française. C'est fourre-tout, on s'y moque de tout et surtout de rien. Les décors sont agréables à regarder, on se croirait ailleurs, mais la mise en scène est faible, et ne suite pas la créativité du lieu. Les costumes sont biens choisis, mais pas mémorables. Et les répliques, qui mettent toutes en valeur Amanda Lear n'auront rien de culte.
Le récit est bien construit dans son rythme, mais le fond, et la manière dont les choses sont amenées ne sont pas intéressants.
Les acteurs ne sont pas particulièrement bons, beaucoup de sur-jeu pour amener les vannes et jamais d'émotion.
Néanmoins, ça fait rire. Il n'est pas toujours nécessaire de faire dans la finesse.
6/10
Une belle tentative.
On est assez loin de Jacques Tati, de Mr Bean ou de Chaplin. Il y a de bons moments, et d'autres qui traînent en longueurs. De belles idées, mais pas assez exploitées. Des situations agréables, mais qui pourraient aller beaucoup plus loin.
La musique quant à elle, n'est pas du tout assez utilisée. Pourquoi ne pas la composer exprès ? C'est essentiel pour du muet. Le bémol finalement, c'est que les situations n'imposent pas le muet. On dirait plus un gage, pas assez bien intégré à l'histoire.
Néanmoins, si le spectacle est retouché, il peut donner de bonnes choses. Je garde espoir. La preuve avec Cousins comme cochons, qui s'est bien amélioré de par les décors et la mise en scène, pour sa reprise au Splendid.
On est assez loin de Jacques Tati, de Mr Bean ou de Chaplin. Il y a de bons moments, et d'autres qui traînent en longueurs. De belles idées, mais pas assez exploitées. Des situations agréables, mais qui pourraient aller beaucoup plus loin.
La musique quant à elle, n'est pas du tout assez utilisée. Pourquoi ne pas la composer exprès ? C'est essentiel pour du muet. Le bémol finalement, c'est que les situations n'imposent pas le muet. On dirait plus un gage, pas assez bien intégré à l'histoire.
Néanmoins, si le spectacle est retouché, il peut donner de bonnes choses. Je garde espoir. La preuve avec Cousins comme cochons, qui s'est bien amélioré de par les décors et la mise en scène, pour sa reprise au Splendid.