Son balcon
SAISON 2025-2026
Aucun challenge culturel pour le moment
Mini Molières
1 052reçus
Novice
Son classement : 181 / 6179
Avant lui

Anne-Sophie L
10 critiques
Après lui


Leiloona Bricabook
10 critiques
Niveau
4 / 20
4 / 20
10
critiques
filatures
3
2
Espions
Derniers curieux qui ont visité son profil
Actualités de ses filatures
Un mélange des genres où domine le fantastique, un mélange des corps pour tout dire, mélange décors, fantôme es-tu là?
Mise en scène astucieuse qui sonde le sentiment, les corps sont ils habitables par un amour qui serait autre chose qu'un malentendu? L'ennui nous confondra t'il face à nous même?
Une cinéaste dans son film, processus des disparitions, comprendre une disparition, partir c'est être aimé un peu plus?
Dans ce jeu là , un récit apparait, le projet s'unifie, la création l'emporte peut être sur le fantôme des personnages...à moins qu'il soit une trace, plus tangible peut être, de leur réalité.
Mise en scène astucieuse qui sonde le sentiment, les corps sont ils habitables par un amour qui serait autre chose qu'un malentendu? L'ennui nous confondra t'il face à nous même?
Une cinéaste dans son film, processus des disparitions, comprendre une disparition, partir c'est être aimé un peu plus?
Dans ce jeu là , un récit apparait, le projet s'unifie, la création l'emporte peut être sur le fantôme des personnages...à moins qu'il soit une trace, plus tangible peut être, de leur réalité.
Le théâtre qui se déscènise, derrière un voile de fumée ( de tulle) , plan de front vers une profondeur limbique.
La reine titube dans ce monde presque sourd, la voix qui s’enraye parfois voudrait dépecer un drame, défigurer un amour.
Berenice est un souvenir, un marteau tape dans la tête des amants mais Titus n’est plus une figure, peut-être un figurant « radiateur ». Une mise en scène pas au pied et à la lettre, qui fascinera quand on se demandera « qu’ai-je vu », cette matière et ces sons, cette pénombre et ces ombres , ces fleurs ( géantes ) de tête comme une décomposition de l’émotion. Ce face à face avec une actrice dont la voix finit par se désintégrer dans la solitude de Berenice.
Oui après coup c’est une magnifique expérience d’autant plus magnifique qu’on en retient l’espace d’un rêve qui s’ouvre à la réalité par ce cauchemar nu , solitaire , face à nous , contre nous.
La reine titube dans ce monde presque sourd, la voix qui s’enraye parfois voudrait dépecer un drame, défigurer un amour.
Berenice est un souvenir, un marteau tape dans la tête des amants mais Titus n’est plus une figure, peut-être un figurant « radiateur ». Une mise en scène pas au pied et à la lettre, qui fascinera quand on se demandera « qu’ai-je vu », cette matière et ces sons, cette pénombre et ces ombres , ces fleurs ( géantes ) de tête comme une décomposition de l’émotion. Ce face à face avec une actrice dont la voix finit par se désintégrer dans la solitude de Berenice.
Oui après coup c’est une magnifique expérience d’autant plus magnifique qu’on en retient l’espace d’un rêve qui s’ouvre à la réalité par ce cauchemar nu , solitaire , face à nous , contre nous.
Rions sur le présent déjà passé et du futur faisons une donne, un jeu décalant les codes, décodant, déconnant intelligemment , en tous les cas avec des résonances, raisonnons sur la légèreté du temps, sur cette faille cognitive qui met une petite mort à chaque instant.
Nous sommes autant habités par la mort que par son opposée présence , la conscience de l'instant qui ramène à cette même peine de mort.
Au cours d'un dîner peut être nous dirons nous des choses, sortant de l'inertie nos non dits dans nos âmes engourdies, ce sera le moment d'un sondage, savoir ce qui reste vivant en nous et redéfinir cette notion souvent relative.
Sous des aspects de comédie d'un soir, Stéphane de Groodt nous présente une invitation à ce paradoxe éternel de l'existence, sourire sans rire à la Bergson, philologie et bal à blanc, enterrement de ronds de serviette dans un banquet post platonique.
Modeste et bon.
Nous sommes autant habités par la mort que par son opposée présence , la conscience de l'instant qui ramène à cette même peine de mort.
Au cours d'un dîner peut être nous dirons nous des choses, sortant de l'inertie nos non dits dans nos âmes engourdies, ce sera le moment d'un sondage, savoir ce qui reste vivant en nous et redéfinir cette notion souvent relative.
Sous des aspects de comédie d'un soir, Stéphane de Groodt nous présente une invitation à ce paradoxe éternel de l'existence, sourire sans rire à la Bergson, philologie et bal à blanc, enterrement de ronds de serviette dans un banquet post platonique.
Modeste et bon.
Un spectacle mémorable pour découvrir ou retrouver cette pièce superbe. Une mise en scène savoureuse et savante. Une interprétation exemplaire et littéralement captivante. Véritablement un incontournable spectacle !
https://www.spectatif.com/2023/09/zoo-story-au-theatre-de-poche-montparnasse.html
https://www.spectatif.com/2023/09/zoo-story-au-theatre-de-poche-montparnasse.html
Un moment de théâtre musical pour petits et grands, aussi intelligent que divertissant.
Courez-y !
https://www.spectatif.com/2023/09/courgette-au-theatre-tristan-bernard.html
Courez-y !
https://www.spectatif.com/2023/09/courgette-au-theatre-tristan-bernard.html
Afficher les 2 commentaires