Critiques pour l'événement Le Banquet
Il existe des spectacles vraiment particuliers et qui, une fois qu'on les a vus, relèvent pourtant de l'évidence, au-delà de leur singularité, parce qu'ils sont forts et touchent à l'universel.
Le Banquet, écrit et mis en scène par Mathilda May, est de ceux-là.
C'est une expérience particulière parce que les dialogues sont en yaourt, mais compréhensibles par le ton employé et surtout par les mimiques accompagnant chaque scène. On est dans ce qu'on pourrait qualifier de théâtre visuel, un peu à l'instar de ce que fait Familie Flöz que j'aime beaucoup, ou encore LoDka.
Comparativement, les paroles des chansons de Dolly Parton qui chante en américain sont assez limpides.
Le public est dans l'ambiance dès le lever de rideau, en suivant les déboires de la serveuse (Stéphanie Djoudi-Guiraudon) qui provoque l'hilarité. Les rires vont se succéder sans relâche. Et le spectateur ressentira une palette d'émotions. Comme dans la vraie vie et qu'on a envie d'éclater de rire à un enterrement ou de pleurer à un mariage.
Tout au long de la soirée, les personnages s’aiment, s‘affrontent, se jalousent, se retrouvent, s'émerveillent et se perdent dans une succession de tourbillons rythmés par la musique country de Dolly Parton (avec notamment Love is like a butterfly, 9 to 5 et Travelin’ Prayer). Le spectacle obéit à une mécanique ultra-précise qui n'a rien d'improvisé.
Les comédiens sont autant à l'aise dans le jeu, le mime, la danse, et même le chant, justifiant le Molière 2019 du metteur en scène d'un spectacle de théâtre public, et le Molière de la révélation féminine (pour Ariane Mourier).
Tout y est : le jet de riz comme le lancer de bouquet, le discours, l'ascension acrobatique vers le buffet, l'invité mystère, la gaffe, l'accident ... le gâteau, des ralentis, des moments de poésie ou de trivialité, et même de la magie. Tous les sentiments se succèdent, même l'ennui.
Le Banquet est intemporel et c'est une heureuse idée de le reprendre au Théâtre de Paris quelques mois après sa création au Rond-Point, à un moment de l'année où on a besoin de distraction. N'hésitez pas à aller le voir. Laissez-vous porter. C'est un régal pour un public qui s'avoue conquis.
Le Banquet, écrit et mis en scène par Mathilda May, est de ceux-là.
C'est une expérience particulière parce que les dialogues sont en yaourt, mais compréhensibles par le ton employé et surtout par les mimiques accompagnant chaque scène. On est dans ce qu'on pourrait qualifier de théâtre visuel, un peu à l'instar de ce que fait Familie Flöz que j'aime beaucoup, ou encore LoDka.
Comparativement, les paroles des chansons de Dolly Parton qui chante en américain sont assez limpides.
Le public est dans l'ambiance dès le lever de rideau, en suivant les déboires de la serveuse (Stéphanie Djoudi-Guiraudon) qui provoque l'hilarité. Les rires vont se succéder sans relâche. Et le spectateur ressentira une palette d'émotions. Comme dans la vraie vie et qu'on a envie d'éclater de rire à un enterrement ou de pleurer à un mariage.
Tout au long de la soirée, les personnages s’aiment, s‘affrontent, se jalousent, se retrouvent, s'émerveillent et se perdent dans une succession de tourbillons rythmés par la musique country de Dolly Parton (avec notamment Love is like a butterfly, 9 to 5 et Travelin’ Prayer). Le spectacle obéit à une mécanique ultra-précise qui n'a rien d'improvisé.
Les comédiens sont autant à l'aise dans le jeu, le mime, la danse, et même le chant, justifiant le Molière 2019 du metteur en scène d'un spectacle de théâtre public, et le Molière de la révélation féminine (pour Ariane Mourier).
Tout y est : le jet de riz comme le lancer de bouquet, le discours, l'ascension acrobatique vers le buffet, l'invité mystère, la gaffe, l'accident ... le gâteau, des ralentis, des moments de poésie ou de trivialité, et même de la magie. Tous les sentiments se succèdent, même l'ennui.
Le Banquet est intemporel et c'est une heureuse idée de le reprendre au Théâtre de Paris quelques mois après sa création au Rond-Point, à un moment de l'année où on a besoin de distraction. N'hésitez pas à aller le voir. Laissez-vous porter. C'est un régal pour un public qui s'avoue conquis.
Histoire sans parole, voyage en absurdie, quand les mots s’évaporent pour laisser place aux intentions, aux émotions, On s’agite et se pavane, on glisse, on glousse, on pérore, on tombe et se relève…
C’est toute une vie en une soirée sans paroles ou presque tant ces personnages savent s’exprimer avec leur corps, leur regard, leur voix…(la scénographie et les accompagnements audio les soutiennent avec précision)
Vous serez très certainement surpris, un brin désemparé les premières minutes… si vous parvenez à “lâcher” prise, vous ne manquerez vous de vous laisser embarquer, emporter par ces trublions, ces saltimbanques version comedia del arte ( saltare in banco : sauter sur une estrade) , l’univers Fellinien n’est pas loin , cohabitation du rêve, du fantasme, de la vraisemblance et de l’artifice où les larmes ne sont jamais loin du rire
Un rythme : Crescendo…
Une palette d’émotion du saupoudrage au feu d’artifice et son bouquet final
En conclusion : un moment de théâtre singulier et pluriel, une vraie signature, une écriture précise cachée sous les onomatopées, des personnages truculents…le burlesque, le fantasque s’invitent pour notre plus grand bonheur !
C’est toute une vie en une soirée sans paroles ou presque tant ces personnages savent s’exprimer avec leur corps, leur regard, leur voix…(la scénographie et les accompagnements audio les soutiennent avec précision)
Vous serez très certainement surpris, un brin désemparé les premières minutes… si vous parvenez à “lâcher” prise, vous ne manquerez vous de vous laisser embarquer, emporter par ces trublions, ces saltimbanques version comedia del arte ( saltare in banco : sauter sur une estrade) , l’univers Fellinien n’est pas loin , cohabitation du rêve, du fantasme, de la vraisemblance et de l’artifice où les larmes ne sont jamais loin du rire
Un rythme : Crescendo…
Une palette d’émotion du saupoudrage au feu d’artifice et son bouquet final
En conclusion : un moment de théâtre singulier et pluriel, une vraie signature, une écriture précise cachée sous les onomatopées, des personnages truculents…le burlesque, le fantasque s’invitent pour notre plus grand bonheur !
Alors ?
Le dressage d'un banquet, l'arrivée des invités, l'entrée des mariés, les discours, le vidéo-projecteur, la lancer de bouquet, tout se déroule sous le barnum dressé à l'occasion d'un mariage. Scènes universelles que nous avons quasiment tous vécus... à quelques détails près ! Le nouveau mari qui n'a pas fait vœux de fidélité, la mariée qui fait vite une croix sur sa robe blanche immaculée, l'ex-compagnon qui refait surface, sans compter sur les autres personnages, la fête promet d'être inoubliable. Loufoque, clownesque, burlesque, absurde, les mots, pour le coup, ne manquent pas pour décrire ce spectacle muet.
Une pièce sans parole, une drôle d'idée pourrait-on penser. J'y allais pourtant sans a priori, le souvenir encore en tête du travail de Pierre Guillois dans "Bigre". Le charabia employé entre les comédiens - tous excellents, généreux et complices - devient une évidence pour illustrer les situations foutraques. Les borborygmes sont à la fois de la prose et un amplificateur des gags. Le spectateur ne peut que craindre "ça va mal finir, cette histoire. ça va mal finir !". Et bien non, comble de l'ironie, tout rentrera quasiment dans l'ordre par un final kitsch à souhait. Le genre de mariage où l'on aurait rêvé d'être invité !
Le dressage d'un banquet, l'arrivée des invités, l'entrée des mariés, les discours, le vidéo-projecteur, la lancer de bouquet, tout se déroule sous le barnum dressé à l'occasion d'un mariage. Scènes universelles que nous avons quasiment tous vécus... à quelques détails près ! Le nouveau mari qui n'a pas fait vœux de fidélité, la mariée qui fait vite une croix sur sa robe blanche immaculée, l'ex-compagnon qui refait surface, sans compter sur les autres personnages, la fête promet d'être inoubliable. Loufoque, clownesque, burlesque, absurde, les mots, pour le coup, ne manquent pas pour décrire ce spectacle muet.
Une pièce sans parole, une drôle d'idée pourrait-on penser. J'y allais pourtant sans a priori, le souvenir encore en tête du travail de Pierre Guillois dans "Bigre". Le charabia employé entre les comédiens - tous excellents, généreux et complices - devient une évidence pour illustrer les situations foutraques. Les borborygmes sont à la fois de la prose et un amplificateur des gags. Le spectateur ne peut que craindre "ça va mal finir, cette histoire. ça va mal finir !". Et bien non, comble de l'ironie, tout rentrera quasiment dans l'ordre par un final kitsch à souhait. Le genre de mariage où l'on aurait rêvé d'être invité !
Une pièce originale qui montre tous les travers qui peuvent arriver lors d'une cérémonie de mariage.
J'ai trouvé ce spectacle sympa, parfois un peu long pour certaines scènes, des acteurs impliqués et très complices, une bonne mise en scène.
Cela pêche un peu côté finesse...
J'ai trouvé ce spectacle sympa, parfois un peu long pour certaines scènes, des acteurs impliqués et très complices, une bonne mise en scène.
Cela pêche un peu côté finesse...
Bien sûr.... Si vous n'aimez pas Monty Pithon, la caricature, Charlie hebdo, Tatillon, Charlot, si vous aimez la soupe pour Trump où encore si vous craignez de vous retrouver dans un des personnage, n'y allez pas. Car dans cette fresque à la Dubout où l'on ne parvient pas un capter vous verrez tous nos travers en scène.
Un petit conseil quand même... Les mouchoirs sont inutiles prenez plutôt des "TENA".
La faible note sur les dialogues ne reflète pas la qualité des onomatopées - musique d'expression plus ouverte que les mots.
Les acteurs prennent plaisir, nous le font partager et sont immenses dans un jeu difficile.
Une note ++ pour Arnaud Maillard.
Un petit conseil quand même... Les mouchoirs sont inutiles prenez plutôt des "TENA".
La faible note sur les dialogues ne reflète pas la qualité des onomatopées - musique d'expression plus ouverte que les mots.
Les acteurs prennent plaisir, nous le font partager et sont immenses dans un jeu difficile.
Une note ++ pour Arnaud Maillard.
On a tous déjà assisté à au moins une de ces scènes lors d’un mariage. Bien entendu, dans Le banquet de Mathilda May c’est l’apothéose, un cumul de tous les déboires possibles et imaginables lors d’une de ces soirées. Le sol accidenté et glissant, la robe immaculée de la mariée qui est tachée (et pas qu’un peu), le DJ très lourd, le discours du père beaucoup trop long, les montages photo gênants, le marié qui drague tout ce qui bouge…
Dès le démarrage de la pièce, on sait que rien ne va se passer comme prévu et que cela va tourner au vinaigre, et en effet cela va loin ! C’est du burlesque, aucune vraie parole n’est prononcée mais on devine les intentions et on suit parfaitement l’histoire. Il y a de l’énergie, les acteurs sont motivés, la mise en scène est fluide et les moments dansés sont très drôles !
Les situations sont tellement improbables qu’elles en deviennent ridicules et drôles.
Un peu déçue pourtant : autant j’avais adoré Open Space, que j’avais trouvé fin est bourré de créativité, autant ici on est peu surpris et les scènes sont parfois un peu longues et assez lourdes. Un avis un peu mitigé donc pour ce joyeux et terrible mariage. À voir tout de même pour l’originalité, la mise en scène précise de Mathilda May et l’engagement des comédiens.
Dès le démarrage de la pièce, on sait que rien ne va se passer comme prévu et que cela va tourner au vinaigre, et en effet cela va loin ! C’est du burlesque, aucune vraie parole n’est prononcée mais on devine les intentions et on suit parfaitement l’histoire. Il y a de l’énergie, les acteurs sont motivés, la mise en scène est fluide et les moments dansés sont très drôles !
Les situations sont tellement improbables qu’elles en deviennent ridicules et drôles.
Un peu déçue pourtant : autant j’avais adoré Open Space, que j’avais trouvé fin est bourré de créativité, autant ici on est peu surpris et les scènes sont parfois un peu longues et assez lourdes. Un avis un peu mitigé donc pour ce joyeux et terrible mariage. À voir tout de même pour l’originalité, la mise en scène précise de Mathilda May et l’engagement des comédiens.
Ah le beau banquet de noce : tout est prêt sous la grande tente du jardin pour recevoir les invités mais voilà rien ne se passe comme prévu ! Entre le bar installé trop haut, des convives plutôt fantasques et une météo orageuse...
Un enchainement de situations cocasses avec des évènements incongrus, voilà ce qu'il se passe lors du banquet sans qu'un mot soit prononcé. Comme dans le premier opus de Mathilda May, l'excellent ‘Open space’, nous assistons à un repas de mariage où les seuls bruits proposés sont de la musique, des bruitages et des borborygmes. Moi, qui aie toujours peur de m’ennuyer à un mariage, je veux bien revenir participer à celui-ci ! Rien n’est épargné aux mariés (surtout à la jolie robe de la mariée) !
La mise en scène précise de Mathilda May permet à la mécanique diabolique qui s’enchaine sous nos yeux de se dérouler de la façon la plus hilarante qui soit : l’effet burlesque assurément recherché est bel et bien réussi !
La belle équipe sur scène se compose de : Bernie Collins, Sébastien Almar, Arnaud Maillard, Roxane Bret, Jérémie Covillault, Lee Delong, Stéphanie Djoudi-Guiraudon, Françoise Miquelis, Ariane Mourier et Tristan Robin.
Un enchainement de situations cocasses avec des évènements incongrus, voilà ce qu'il se passe lors du banquet sans qu'un mot soit prononcé. Comme dans le premier opus de Mathilda May, l'excellent ‘Open space’, nous assistons à un repas de mariage où les seuls bruits proposés sont de la musique, des bruitages et des borborygmes. Moi, qui aie toujours peur de m’ennuyer à un mariage, je veux bien revenir participer à celui-ci ! Rien n’est épargné aux mariés (surtout à la jolie robe de la mariée) !
La mise en scène précise de Mathilda May permet à la mécanique diabolique qui s’enchaine sous nos yeux de se dérouler de la façon la plus hilarante qui soit : l’effet burlesque assurément recherché est bel et bien réussi !
La belle équipe sur scène se compose de : Bernie Collins, Sébastien Almar, Arnaud Maillard, Roxane Bret, Jérémie Covillault, Lee Delong, Stéphanie Djoudi-Guiraudon, Françoise Miquelis, Ariane Mourier et Tristan Robin.
... Un incontournable moment de spectacle vivant jubilatoire et audacieux.
Tout commence mal !!! La petite servante s’enchevêtre dans les rideaux, impossible de trouver l’entrée de la salle de réception.
Réception installée sous une tente et sur un sol dénivelé et accidenté qui provoquera bien des pantomimes et des éclats de rire du public.
Nous sommes conviés au banquet d’une noce…
Les convives tous plus caricaturaux les uns que les autres se retrouvent avec plus ou moins de plaisir et d’affinité dans cet espace restreint. Cela va entrainer des situations cocasses devenant incongrues au fil du temps et sous l’effet euphorisant du champagne.
Ils font des discours, ils chantent, ils dansent, ils s’endorment, ils papotent, ils pleurent, ils se blessent, ils sont malades, ils vomissent … enfin tout pour plaire… Belle satire humoristique du banquet des noces.
Les invités sont tous là pour se réjouir et s’amuser mais les rancœurs, les discordances prennent une grande ampleur, ils s’agitent et le ciel leur tombe sur la tête…
Bien sûr pas de paroles, c’est un théâtre d’expressions, de mimiques, borborygmes et de gargouillements.
Les costumes de Valérie Adda sont extravagants et accentuent la personnalité de chaque personnage.
Les comédiens : Sébastien Almar, Roxane Bret, Bernie Collins, Jérémie Covillault, Lee Delong, Stéphanie Djoudi-Guiraudon, Arnaud Maillard, Françoise Miquelis, Ariane Mourier, Tristan Robin sont pétillants et semblent beaucoup se divertir.
Je lève particulièrement mon chapeau à Arnaud Maillard qui nous séduit et nous ravit par son jeu et son talent.
Voici un banquet qui a mis le public en joie, les rires et les applaudissements ont bien résonné ce soir dans la salle Renaud Barrault.
Réception installée sous une tente et sur un sol dénivelé et accidenté qui provoquera bien des pantomimes et des éclats de rire du public.
Nous sommes conviés au banquet d’une noce…
Les convives tous plus caricaturaux les uns que les autres se retrouvent avec plus ou moins de plaisir et d’affinité dans cet espace restreint. Cela va entrainer des situations cocasses devenant incongrues au fil du temps et sous l’effet euphorisant du champagne.
Ils font des discours, ils chantent, ils dansent, ils s’endorment, ils papotent, ils pleurent, ils se blessent, ils sont malades, ils vomissent … enfin tout pour plaire… Belle satire humoristique du banquet des noces.
Les invités sont tous là pour se réjouir et s’amuser mais les rancœurs, les discordances prennent une grande ampleur, ils s’agitent et le ciel leur tombe sur la tête…
Bien sûr pas de paroles, c’est un théâtre d’expressions, de mimiques, borborygmes et de gargouillements.
Les costumes de Valérie Adda sont extravagants et accentuent la personnalité de chaque personnage.
Les comédiens : Sébastien Almar, Roxane Bret, Bernie Collins, Jérémie Covillault, Lee Delong, Stéphanie Djoudi-Guiraudon, Arnaud Maillard, Françoise Miquelis, Ariane Mourier, Tristan Robin sont pétillants et semblent beaucoup se divertir.
Je lève particulièrement mon chapeau à Arnaud Maillard qui nous séduit et nous ravit par son jeu et son talent.
Voici un banquet qui a mis le public en joie, les rires et les applaudissements ont bien résonné ce soir dans la salle Renaud Barrault.
Génial ! Non, pas génial... Exceptionnel !
L'idée du banquet de mariage permet beaucoup de fantaisies pas toutes de bon goût... mais de belles idées de mise en scène, des comédiens excellents et un super charivari sur la grande scène du Rond-Point ! Quelle rigolage...
Tout passe par les gestes, les expressions du visage et des onomatopées à la manière de Jacques Tati. Certains comédiens jouent plusieurs rôles très différents ce qui représente une vraie prouesse. Même en balayant la scène du regard, on ne peut pas tout voir... Beaucoup de détails échappent. On retrouve l'esprit de « Open Space » mais plus déjanté...
L'idée du banquet de mariage permet beaucoup de fantaisies pas toutes de bon goût... mais de belles idées de mise en scène, des comédiens excellents et un super charivari sur la grande scène du Rond-Point ! Quelle rigolage...
Tout passe par les gestes, les expressions du visage et des onomatopées à la manière de Jacques Tati. Certains comédiens jouent plusieurs rôles très différents ce qui représente une vraie prouesse. Même en balayant la scène du regard, on ne peut pas tout voir... Beaucoup de détails échappent. On retrouve l'esprit de « Open Space » mais plus déjanté...
Est-ce "Jour de fête" en huis clos?
En tous cas, Mathilda May, grâce à ses excellents comédiens, révèle avec beaucoup de justesse nos travers, dans cette fresque toute en onomatopées. Mise en scène millimétrée. Décors et musique viennent soutenir l’ensemble.
Un spectacle aussi brillant qu’original (malgré qu’on y retrouve les bases et ressources qui ont fait le succès d’Open Space).
En tous cas, Mathilda May, grâce à ses excellents comédiens, révèle avec beaucoup de justesse nos travers, dans cette fresque toute en onomatopées. Mise en scène millimétrée. Décors et musique viennent soutenir l’ensemble.
Un spectacle aussi brillant qu’original (malgré qu’on y retrouve les bases et ressources qui ont fait le succès d’Open Space).
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