Son balcon
SAISON 2022-2023
Aucun challenge culturel pour le moment
Mini Molières
1 058reçus
Bleu
Son classement : 287 / 5897
Avant lui

Yves Martz
5 critiques
Après lui

Karine T
5 critiques
Niveau
3 / 20
3 / 20
5
critiques
filatures
6
2
Espions
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Actualités de ses filatures
« Alors raconte ! » aboie Tomy le Yorkshire de ma sœur,
Bon, c’est l’histoire d’Alceste le chat et Diane la mignonne Epagneul-Breton. Leurs maîtres, enfin leurs deux pattes, sont respectivement Célimène et Freddy.
Alceste, gros pépère rouquin, (il a grossi mais on sait pourquoi…) ne tarit pas d’éloges sur sa Célimène, Diane elle, adore partir chasser avec Freddy et se moque bien de ce gros matou qui ne pense qu’à dormir, dormir et manger !
Mais ils en ont des choses à dire sur leurs maitres. Célimène et Freddy s’aiment, leurs bestioles un peu moins… tout est bon pour se balancer des vannes, se moquer, mais parfois il y a de la tendresse. Et puis un changement dans la vie de leurs Zhumains n’est pas toujours évident quand on a ses habitudes. Que va-t-il arriver ?
Margaux Laplace est une gracieuse petite chienne, Julien Mitsinkides un solide minet, ils s’amusent beaucoup tous les deux !
Sylvie Poiret aime les bêtes, et elle leur donne la parole, c’est une bien sympathique comédie qui ne manque pas d’humour et qui ravira toute la famille.
Bon, c’est l’histoire d’Alceste le chat et Diane la mignonne Epagneul-Breton. Leurs maîtres, enfin leurs deux pattes, sont respectivement Célimène et Freddy.
Alceste, gros pépère rouquin, (il a grossi mais on sait pourquoi…) ne tarit pas d’éloges sur sa Célimène, Diane elle, adore partir chasser avec Freddy et se moque bien de ce gros matou qui ne pense qu’à dormir, dormir et manger !
Mais ils en ont des choses à dire sur leurs maitres. Célimène et Freddy s’aiment, leurs bestioles un peu moins… tout est bon pour se balancer des vannes, se moquer, mais parfois il y a de la tendresse. Et puis un changement dans la vie de leurs Zhumains n’est pas toujours évident quand on a ses habitudes. Que va-t-il arriver ?
Margaux Laplace est une gracieuse petite chienne, Julien Mitsinkides un solide minet, ils s’amusent beaucoup tous les deux !
Sylvie Poiret aime les bêtes, et elle leur donne la parole, c’est une bien sympathique comédie qui ne manque pas d’humour et qui ravira toute la famille.
Madame Ming est dame-pipi dans un grand hôtel de Yunaï, elle est fort courtoise, souriante, et adore bavarder avec le jeune cadre dynamique européen qui voyage, qui l’écoute avec attention.
En effet, Mme Ming a eu dix enfants, tous bien différents de caractère… Benjamin est dubitatif, en Chine, il n’est pas autorisé d’avoir plus d’un enfant, comment est-elle passée à travers les ordres du gouvernement ? Pourquoi mentirait-elle ?
Elle est si convaincante lorsqu’elle parle de ses enfants, de leur parcours, de leur caractère.
Mais un jour un accident de circulation va tout remettre en question…
Très belle adaptation et mise en scène dynamique et inventive de Xavier Lemaire, Isabelle Andréani est excellente comme d’habitude, amusante, émouvante. Benjamin Egner est bien séduisant et menteur - ça va souvent ensemble -, Elsa Moatti est ravissante et nous régale avec son violon.
Et puis n’oublions pas les marionnettes de Pascale Blaison, si « humaines », la poésie inonde la pièce, le jeu subtil et drôle des interprètes nous font voyager et rêver, et l’humour est bien présent !
Confucius et moi nous vous conseillons ce spectacle !
En effet, Mme Ming a eu dix enfants, tous bien différents de caractère… Benjamin est dubitatif, en Chine, il n’est pas autorisé d’avoir plus d’un enfant, comment est-elle passée à travers les ordres du gouvernement ? Pourquoi mentirait-elle ?
Elle est si convaincante lorsqu’elle parle de ses enfants, de leur parcours, de leur caractère.
Mais un jour un accident de circulation va tout remettre en question…
Très belle adaptation et mise en scène dynamique et inventive de Xavier Lemaire, Isabelle Andréani est excellente comme d’habitude, amusante, émouvante. Benjamin Egner est bien séduisant et menteur - ça va souvent ensemble -, Elsa Moatti est ravissante et nous régale avec son violon.
Et puis n’oublions pas les marionnettes de Pascale Blaison, si « humaines », la poésie inonde la pièce, le jeu subtil et drôle des interprètes nous font voyager et rêver, et l’humour est bien présent !
Confucius et moi nous vous conseillons ce spectacle !
Une jeune reine vit recluse dans son palais, tous les ans elle célèbre la mort de son mari le roi, assassiné le jour de leurs noces. Elle est « espionnée » par sa dame de compagnie, Edith de Berg, pour le compte de l’Archiduchesse sa belle-mère, et du Comte de Foehn.
Un soir d’orage, un jeune homme, blessé, fait irruption dans sa chambre, il est anarchiste, se nomme Stanislas, la police le recherche mais surtout il ressemble trait pour trait au roi ! Sa mission est de tuer la reine.
Celle-ci pour garder auprès d’elle le jeune homme, le fera passer pour son lecteur. Ils se sont épris l’un de l’autre, mais la Cour et ses intrigues feront vite vaciller cet amour, et la tragédie n’est plus loin…
Paul Goulhot a transposé en Asie cette histoire d’amour, interprétée avec subtilité par Huifang Liu qui donne de l’humanité a son personnage, Jérémy Brige est le séduisant Stanislas amoureux et anarchiste, Olivier Ho Hio Hen est Félix, tiraillé entre Edith son ancienne fiancée et la reine, Maïko-Eva Verna donne du personnage d’Edith une version plus douce mais intrigante, Boun Sy Luang Phinith est un glacial Comte de Foehn on n’aimerait pas tomber entre ses griffes !
De délicats dessins à l’encre de Chine projetés en vidéos, représentant les différentes pièces où se déroulent l’action, deux sabres japonais au centre. Costumes soignés, accessoires.
Un soir d’orage, un jeune homme, blessé, fait irruption dans sa chambre, il est anarchiste, se nomme Stanislas, la police le recherche mais surtout il ressemble trait pour trait au roi ! Sa mission est de tuer la reine.
Celle-ci pour garder auprès d’elle le jeune homme, le fera passer pour son lecteur. Ils se sont épris l’un de l’autre, mais la Cour et ses intrigues feront vite vaciller cet amour, et la tragédie n’est plus loin…
Paul Goulhot a transposé en Asie cette histoire d’amour, interprétée avec subtilité par Huifang Liu qui donne de l’humanité a son personnage, Jérémy Brige est le séduisant Stanislas amoureux et anarchiste, Olivier Ho Hio Hen est Félix, tiraillé entre Edith son ancienne fiancée et la reine, Maïko-Eva Verna donne du personnage d’Edith une version plus douce mais intrigante, Boun Sy Luang Phinith est un glacial Comte de Foehn on n’aimerait pas tomber entre ses griffes !
De délicats dessins à l’encre de Chine projetés en vidéos, représentant les différentes pièces où se déroulent l’action, deux sabres japonais au centre. Costumes soignés, accessoires.
Léna ancienne danseuse étoile, est plongée dans ses souvenirs, elle pense à Paul son fils. Il n’est pas venu depuis quand déjà … Enfin elle l’entend, les retrouvailles sont peu chaleureuses, Paul râle parce que la sonnette de l’entrée ne fonctionne pas, Léna lui reproche de ne pas venir plus souvent.
Le voilà intrigué par le carton rempli de photos qui est sur la table, il s’amuse à regarder les clichés, reconnait son père, Léna lui apprend qu’un journaliste vient tous les samedis pour l’interviewer, surtout au sujet de son mari, compositeur célèbre, et écrire une biographie sur lui, encore une ! Par chance il va quand même lui accorder un article dans son journal.
Léna a une voisine, Christiane grande cancanière qu’elle ne supporte plus, elle ne peut plus voir non plus la coiffeuse, l’épicier… enfin tout va mal !
Le journaliste est reçu froidement, lui aussi pioche dans le carton de photos. Il essaie d’amadouer Léna, après tout il a l’habitude !
Voilà une histoire étrange, romantique. Macha Méril est touchante, amusante dans ses sautes d’humeur, Marc Citti est Paul le fils écorché vif, il est excellent. Laurent d’Olce est très drôle dans le rôle du journaliste et que dire de Claire Magnin inénarrable voisine.
La touche romantique est due à Aurélie Loussouarn gracieuse danseuse des rêves de Léna.
Une bien belle histoire écrite par Isabelle Le Nouvel, mise en scène avec habileté par Stefan Druet Toukaieff, dans les décors de Catherine Bluwal.
Le voilà intrigué par le carton rempli de photos qui est sur la table, il s’amuse à regarder les clichés, reconnait son père, Léna lui apprend qu’un journaliste vient tous les samedis pour l’interviewer, surtout au sujet de son mari, compositeur célèbre, et écrire une biographie sur lui, encore une ! Par chance il va quand même lui accorder un article dans son journal.
Léna a une voisine, Christiane grande cancanière qu’elle ne supporte plus, elle ne peut plus voir non plus la coiffeuse, l’épicier… enfin tout va mal !
Le journaliste est reçu froidement, lui aussi pioche dans le carton de photos. Il essaie d’amadouer Léna, après tout il a l’habitude !
Voilà une histoire étrange, romantique. Macha Méril est touchante, amusante dans ses sautes d’humeur, Marc Citti est Paul le fils écorché vif, il est excellent. Laurent d’Olce est très drôle dans le rôle du journaliste et que dire de Claire Magnin inénarrable voisine.
La touche romantique est due à Aurélie Loussouarn gracieuse danseuse des rêves de Léna.
Une bien belle histoire écrite par Isabelle Le Nouvel, mise en scène avec habileté par Stefan Druet Toukaieff, dans les décors de Catherine Bluwal.
Une salle de rédaction aux USA, une sextape du Président se répand sur les réseaux sociaux, il faut agir avec prudence, le patron envoie en reportage un tout jeune homme et non pas Julia Robinson qui sort ses griffes, mais est expédiée en « vacances ».
Julia reçoit un étrange appel téléphonique, elle doit se rendre immédiatement au tribunal et assiste médusée aux interrogatoires, le jeune homme qui se présente à la barre, n’est autre que son ancien amour mort il y a 4 ans…
Les politiques sont-ils vraiment tous pourris ? Là est la question, pas facile d’y répondre. Le simple fait de naviguer sur les réseaux sociaux est-il vraiment si dangereux pour la démocratie, la liberté de chacun ?
Mélody Mourey sait manier l’art du suspens et de l’humour pour que le spectateur puisse reprendre son souffle ! Il y a du dynamisme, les flash-backs sont bien amenés, les comédiens excellents.
Encore une bien intéressante création de Mélody Mourey et qui ne laisse personne indifférent, au vu des réflexions entendues en sortant du théâtre !
Julia reçoit un étrange appel téléphonique, elle doit se rendre immédiatement au tribunal et assiste médusée aux interrogatoires, le jeune homme qui se présente à la barre, n’est autre que son ancien amour mort il y a 4 ans…
Les politiques sont-ils vraiment tous pourris ? Là est la question, pas facile d’y répondre. Le simple fait de naviguer sur les réseaux sociaux est-il vraiment si dangereux pour la démocratie, la liberté de chacun ?
Mélody Mourey sait manier l’art du suspens et de l’humour pour que le spectateur puisse reprendre son souffle ! Il y a du dynamisme, les flash-backs sont bien amenés, les comédiens excellents.
Encore une bien intéressante création de Mélody Mourey et qui ne laisse personne indifférent, au vu des réflexions entendues en sortant du théâtre !