Ses critiques
16 critiques
10/10
L'adaptation parfaite : bien vue, mise en scène, décors, jeux...
Tout est au rendez vous dans ce Cyrano revu mais respecté.
A ne pas manquer.
Tout est au rendez vous dans ce Cyrano revu mais respecté.
A ne pas manquer.
8/10
Victor Pelletier marie sa fille et se fait plaquer par sa femme !
Boulevard annoncé, cahier des charges respecté.
C’est vrai que tous les clichés s’amoncellent mais c’est une règle d’or du théâtre de boulevard. Le mari cocu, la femme qui renonce à l’argent, la nymphe, le smicard, le collègue traître : tout y passe. Y compris les poncifs sur la France, les espagnols, les chinois, Barbès et l’avenue Montaigne.
Victor Pelletier c’est Daniel Russo. Un comédien énorme qui nous fait vraiment rire mais qui sait absolument tout faire. La distribution est très équilibrée et chaque comédien reste au service de son objectif : notre plaisir.
Le décor est bien pensé, et surtout très rapidement changé (bravo l’équipe technique). Les lumières parfaites. Les costumes contemporains réalistes (la chronologie se suit avec un changement à chaque scène ce que l’on ne voit plus en ce moment…)
La mise en scène est rapide et efficace.
On pourrait s’ennuyer ferme sur un sujet aussi casse-gueule mais on passe une excellente soirée. Si vous arrivez avec vos propres problèmes, Sans-Rancune vous changera les idées pendant presque deux heures et ça, c’est bon à prendre.
Boulevard annoncé, cahier des charges respecté.
C’est vrai que tous les clichés s’amoncellent mais c’est une règle d’or du théâtre de boulevard. Le mari cocu, la femme qui renonce à l’argent, la nymphe, le smicard, le collègue traître : tout y passe. Y compris les poncifs sur la France, les espagnols, les chinois, Barbès et l’avenue Montaigne.
Victor Pelletier c’est Daniel Russo. Un comédien énorme qui nous fait vraiment rire mais qui sait absolument tout faire. La distribution est très équilibrée et chaque comédien reste au service de son objectif : notre plaisir.
Le décor est bien pensé, et surtout très rapidement changé (bravo l’équipe technique). Les lumières parfaites. Les costumes contemporains réalistes (la chronologie se suit avec un changement à chaque scène ce que l’on ne voit plus en ce moment…)
La mise en scène est rapide et efficace.
On pourrait s’ennuyer ferme sur un sujet aussi casse-gueule mais on passe une excellente soirée. Si vous arrivez avec vos propres problèmes, Sans-Rancune vous changera les idées pendant presque deux heures et ça, c’est bon à prendre.
7/10
Henry Pulling, fraîchement retraité enterre sa mère et rencontre sa tante.
Peu de décors, peu de costumes, quatre comédiens excellents (Claude Aufaure, Jean-Paul Bordes, Dominique Daguier et Pierre-Alain Leleu) dans une mise en scène excellente de Nicolas Briançon : les ingrédients de la recette à succès du Porteur d’Histoire et du Cercle des Illusionnistes.
Le texte de Graham Greene est cocasse, drôle, peut-être un peu compliqué mais passionnant si on se donne l’attention nécessaire à suivre l’aventure rocambolesque de cette anglaise et de son irrésistible tante. Du vrai théâtre, où les comédiens se donnent à 100% pour notre plaisir.
C’est fin, élégant, un soupçon barré… à l’anglaise naturellement.
Peu de décors, peu de costumes, quatre comédiens excellents (Claude Aufaure, Jean-Paul Bordes, Dominique Daguier et Pierre-Alain Leleu) dans une mise en scène excellente de Nicolas Briançon : les ingrédients de la recette à succès du Porteur d’Histoire et du Cercle des Illusionnistes.
Le texte de Graham Greene est cocasse, drôle, peut-être un peu compliqué mais passionnant si on se donne l’attention nécessaire à suivre l’aventure rocambolesque de cette anglaise et de son irrésistible tante. Du vrai théâtre, où les comédiens se donnent à 100% pour notre plaisir.
C’est fin, élégant, un soupçon barré… à l’anglaise naturellement.
2/10
La pièce aura bientôt quitté l'affiche et ce sera tant mieux.
Mais que font de tels acteurs dans une pièce si nulle.
Tout n'est que malaise et clichés vulgaires.
Berléand en fait des caisses. La pauvre Isabelle Gelinas est réduite à quelques répliques (loin de sa magnifique interprétation du Père).
La mise en scène est surtout servie par les moyens et les animations qui relèvent le niveau.
Mais pas suffisamment.
Mais que font de tels acteurs dans une pièce si nulle.
Tout n'est que malaise et clichés vulgaires.
Berléand en fait des caisses. La pauvre Isabelle Gelinas est réduite à quelques répliques (loin de sa magnifique interprétation du Père).
La mise en scène est surtout servie par les moyens et les animations qui relèvent le niveau.
Mais pas suffisamment.
4/10
Adam (Eric-Emmanuel Schmitt) un bourreau de cœurs et Louise (Marie-Claude Pietragalla) une avocate romantique ne sont plus ensemble.
Elle a décidé de fuir à Montréal. Il est resté à Paris. Par emails interposés, nous suivons la décomposition de leur amour, la jalousie, le manque, l’amour encore présent…
C’est une piécette mineure d’Eric-Emmanuel Schmitt. Dans un décor assez pauvre et raté, sans vraie mise en scène et équipés de micros, les deux amoureux peinent à nous faire croire à leur histoire.
La pièce manque de rythme. Sur une durée de 5 mois, aucun costume ne change, le temps et les saisons sont absents. Schmitt cite les Liaisons dangereuses pour le format de correspondance et sans dévoiler l’intrigue, il y aurait un peu de Mme de Merteuil dans un des deux personnages mais en vain…
Une pièce peu émouvante, pas drôle. Un coup d’épée dans l’eau.
Elle a décidé de fuir à Montréal. Il est resté à Paris. Par emails interposés, nous suivons la décomposition de leur amour, la jalousie, le manque, l’amour encore présent…
C’est une piécette mineure d’Eric-Emmanuel Schmitt. Dans un décor assez pauvre et raté, sans vraie mise en scène et équipés de micros, les deux amoureux peinent à nous faire croire à leur histoire.
La pièce manque de rythme. Sur une durée de 5 mois, aucun costume ne change, le temps et les saisons sont absents. Schmitt cite les Liaisons dangereuses pour le format de correspondance et sans dévoiler l’intrigue, il y aurait un peu de Mme de Merteuil dans un des deux personnages mais en vain…
Une pièce peu émouvante, pas drôle. Un coup d’épée dans l’eau.