Ses critiques
23 critiques
8,5/10
Si vous pensez que musique classique, variété française et rock international ne peuvent pas faire bon ménage, laissez La Framboise Frivole vous prouver le contraire lors d’une soirée où tout ce petit monde est réuni autour de Léonard de Vinci.
Cela vous semble saugrenu et ça l’est mais c’est drôle et jouissif ! Une bien belle soirée en compagnie de La framboise Frivole, deux ovnis musiciens belges.
Et si vous avez envie de très bien manger avant le spectacle, je vous conseille le restaurant Les Canailles, à quelques minutes à pied du théâtre.
Cela vous semble saugrenu et ça l’est mais c’est drôle et jouissif ! Une bien belle soirée en compagnie de La framboise Frivole, deux ovnis musiciens belges.
Et si vous avez envie de très bien manger avant le spectacle, je vous conseille le restaurant Les Canailles, à quelques minutes à pied du théâtre.
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7/10
Difficile de pouvoir décrire ce spectacle, une seule certitude c’est réussi !
Ce spectacle est une revue de presse qui n’a lieu qu’une fois par mois. Tout y passe : Donald Trump, Carlos Ghosn, les Gilets Jaunes, le Gouvernement… C’est corrosif, volontairement très provocateur. On rit de bon coeur et ça fait du bien. Christophe Alévêque dit lui-même que ce spectacle est un déversoir pour lui face à la folie du monde dans lequel nous vivons.
La vraie force de ce spectacle est qu’il est unique et ancré dans l’actualité. Christophe Alévêque a des fiches sur les sujets qu’il souhaite aborder mais on sent qu’il improvise sur chaque thème. Il se met en danger et ça fait du bien ! On se sent privilégié de partager avec lui ce dimanche soir au théâtre du Rond-Point.
Un conseil malgré tout : soyez en forme pour aller voir ce spectacle ! Je crois que pour l’apprécier à sa juste valeur, il faut être prêt à s’impliquer pour se laisser porter par la folie de Christophe Alévêque. Il bouge dans tous les sens, remet dix fois son gilet en place, réajuste son pupitre, cherche ses mots… Au début, cela peut un peu « gêner » le message qu’il veut nous faire passer mais un conseil, accrochez-vous !
Bref, un spectacle exutoire qui fait du bien pour un dimanche soir et qui permet de commencer la semaine de façon plus légère !
Ce spectacle est une revue de presse qui n’a lieu qu’une fois par mois. Tout y passe : Donald Trump, Carlos Ghosn, les Gilets Jaunes, le Gouvernement… C’est corrosif, volontairement très provocateur. On rit de bon coeur et ça fait du bien. Christophe Alévêque dit lui-même que ce spectacle est un déversoir pour lui face à la folie du monde dans lequel nous vivons.
La vraie force de ce spectacle est qu’il est unique et ancré dans l’actualité. Christophe Alévêque a des fiches sur les sujets qu’il souhaite aborder mais on sent qu’il improvise sur chaque thème. Il se met en danger et ça fait du bien ! On se sent privilégié de partager avec lui ce dimanche soir au théâtre du Rond-Point.
Un conseil malgré tout : soyez en forme pour aller voir ce spectacle ! Je crois que pour l’apprécier à sa juste valeur, il faut être prêt à s’impliquer pour se laisser porter par la folie de Christophe Alévêque. Il bouge dans tous les sens, remet dix fois son gilet en place, réajuste son pupitre, cherche ses mots… Au début, cela peut un peu « gêner » le message qu’il veut nous faire passer mais un conseil, accrochez-vous !
Bref, un spectacle exutoire qui fait du bien pour un dimanche soir et qui permet de commencer la semaine de façon plus légère !
7/10
Le titre de la pièce fait référence à l’expression « C’est reparti comme en 14 », expression liée à la 1ére guerre mondiale et qui évoque une situation d’enthousiasme, d’entrain alors que les circonstances ne s’y prêtent pas.
Nous sommes transportés à Noël 1917, en pleine guerre, dans un hôpital, tenu par des femmes. Alors évidemment, les circonstances ne se prêtent pas à la joie et la gaité. Pourtant, ces femmes vont continuer à vivre, à chanter, à rire, à aimer et à faire partager tout cela aux hommes blessés de guerre.
Le sujet est difficile et lourd mais nous sommes emportés dans ces jours de Noël où le quotidien est fait de petits riens (une tasse de café chaud, un fou rire…), d’espoirs, d’actes médicaux, de drames, de « rebellions », auquel l’urgence de vivre donne une tonalité particulière.
C’est une pièce qui fait honneur aux femmes et ça fait du bien ! Ces femmes qui, bien au-delà d’être un soutien pour les hommes partis à la guerre, ont assumé un rôle de premier plan, elles se sont organisées et ont été un rouage indispensable de l’époque.
Nous sommes emportés par leur énergie communicative, par la force du collectif, par leur soutien envers et contre tout. La guerre a presque « gommé » leur position sociale dans leurs rapports humains. Ce qui compte c’est d’être rassemblé, de faire face ensemble pour avancer.
On ne voit pas la guerre sur scène ; tout se passe dans la pièce « de repos » des infirmières et pourtant on se sent plongés en 1917 grâce à la mise en scène, aux décors, aux costumes, à l’habillage sonore… Tout est au service de l’immersion dans la pièce.
C’est remarquablement bien joué et les dialogues sont savoureux. Mention particulière pour le duo Virginie Lemoine, très juste en comtesse toute en tension et retenue, et Marie Vincent, infirmière en chef, débordante de vitalité et d’énergie communicative.
Un tout petit bémol, la pièce gagnerait à être un peu plus courte.
Pour les restaurants, vous trouverez forcément votre bonheur dans le coin. J’ai essayé L’Illusion à 150 m du théâtre, carte courte et bonne. A recommander aussi !
Nous sommes transportés à Noël 1917, en pleine guerre, dans un hôpital, tenu par des femmes. Alors évidemment, les circonstances ne se prêtent pas à la joie et la gaité. Pourtant, ces femmes vont continuer à vivre, à chanter, à rire, à aimer et à faire partager tout cela aux hommes blessés de guerre.
Le sujet est difficile et lourd mais nous sommes emportés dans ces jours de Noël où le quotidien est fait de petits riens (une tasse de café chaud, un fou rire…), d’espoirs, d’actes médicaux, de drames, de « rebellions », auquel l’urgence de vivre donne une tonalité particulière.
C’est une pièce qui fait honneur aux femmes et ça fait du bien ! Ces femmes qui, bien au-delà d’être un soutien pour les hommes partis à la guerre, ont assumé un rôle de premier plan, elles se sont organisées et ont été un rouage indispensable de l’époque.
Nous sommes emportés par leur énergie communicative, par la force du collectif, par leur soutien envers et contre tout. La guerre a presque « gommé » leur position sociale dans leurs rapports humains. Ce qui compte c’est d’être rassemblé, de faire face ensemble pour avancer.
On ne voit pas la guerre sur scène ; tout se passe dans la pièce « de repos » des infirmières et pourtant on se sent plongés en 1917 grâce à la mise en scène, aux décors, aux costumes, à l’habillage sonore… Tout est au service de l’immersion dans la pièce.
C’est remarquablement bien joué et les dialogues sont savoureux. Mention particulière pour le duo Virginie Lemoine, très juste en comtesse toute en tension et retenue, et Marie Vincent, infirmière en chef, débordante de vitalité et d’énergie communicative.
Un tout petit bémol, la pièce gagnerait à être un peu plus courte.
Pour les restaurants, vous trouverez forcément votre bonheur dans le coin. J’ai essayé L’Illusion à 150 m du théâtre, carte courte et bonne. A recommander aussi !
Même si les mélomanes puristes trouvent la Framboise frivole les autres peuvent la déguster sans modération. Avec vingt si ils vous font un spectacle musical irrésistible. Deux Flamands virtuoses qui vous font voir la vie en rose. Ce duo humouristico-musical mélange tous les styles dans un melting-pot démoniaque qui nous entraine du classique à la pop musique en un clin d’œil dans un festival de notes et de jeux de mots. Peter Hens n’est pas qu’un musicien talentueux mais aussi un excellent chanteur éclectique. Bart Van Caenegem nous enchante au piano par sa facilité à caresser les 88 touches de son piano à queue pour faire vibrer ses 230 cordes pour notre plus grand plaisir.