Ses critiques
33 critiques
6/10
Sorti avec un avis mitigé, ce n'est qu'à posteriori que j'ai apprécié cette pièce. L'entame poussive ne m'a pas permis de rentrer dedans, et je suis resté avec ce handicap de retard.
Quand l'intrigue se fait jour, l'intensité monte et l'épilogue est beau. Ce couple a tout pour être heureux, et pourtant chacun par son inconséquence, va le mettre en lambeaux. La mise en scène (à laquelle j'ai eu du mal à m'habituer) est astucieuse et permet avec finesse de suivre les changements fréquents intérieur / extérieur.
Je n'ai pas adhéré aux différents jeux d'acteurs dans leur ensemble. Quelques défauts de placement, ou d'échange (entre les femmes principalement) font trébucher dans la compréhension.
Quand l'intrigue se fait jour, l'intensité monte et l'épilogue est beau. Ce couple a tout pour être heureux, et pourtant chacun par son inconséquence, va le mettre en lambeaux. La mise en scène (à laquelle j'ai eu du mal à m'habituer) est astucieuse et permet avec finesse de suivre les changements fréquents intérieur / extérieur.
Je n'ai pas adhéré aux différents jeux d'acteurs dans leur ensemble. Quelques défauts de placement, ou d'échange (entre les femmes principalement) font trébucher dans la compréhension.
7,5/10
J'aperçois ici où là des comparaisons hasardeuses avec les prestations, que j'ai par ailleurs adoré de Kathy Bates et James Caan, mais qui bénéficiaient de moult supports cinématographiques, tels gros plans sur leurs visages et effets de contre-plongée, et qui avaient eu le temps de se reposer entre chaque scène pour recommencer si besoin.
Myriam Boyer et Francis Lombrail sont excellents, et nous plongent dans cette atmosphère pesante jusqu'à l'épilogue. L'ajout de la vidéo pour les scènes dans l'entrée (façon Vera/ K Viard) est original et bienvenu.
Cela dit il manque un "je ne sais quoi" pour que l'on soit complètement happés. Peut-être un peu plus de longueurs sur les scènes clés, et une M.Boyer mentalement plus "perturbée" rajouteraient à l’intensité.
Myriam Boyer et Francis Lombrail sont excellents, et nous plongent dans cette atmosphère pesante jusqu'à l'épilogue. L'ajout de la vidéo pour les scènes dans l'entrée (façon Vera/ K Viard) est original et bienvenu.
Cela dit il manque un "je ne sais quoi" pour que l'on soit complètement happés. Peut-être un peu plus de longueurs sur les scènes clés, et une M.Boyer mentalement plus "perturbée" rajouteraient à l’intensité.
5/10
Un seul en scène à soutenir juste pour la démarche de mise en avant de ce vécu personnel, interculturel et multi influences religieuses, et de dépassement des clichés (même si le propos gagnerait à être moins naïf, Ismaël Saidi en a les moyens).
6/10
Mon empathie naturelle me ferait porter un regard plein de compassion et tendresse, face à tous les Oscars de la vraie vie.
Ici hélas, trop de pathétique tue le pathétique. Dommage car Pierre Matras est brillant, passant de l'espièglerie à la tristesse en passant la colère avec une rare aisance. Le texte est fin.
Mais hélas, malgré une accroche immédiate, je me suis senti (avis partagé) glisser vers l'ennui...
Ici hélas, trop de pathétique tue le pathétique. Dommage car Pierre Matras est brillant, passant de l'espièglerie à la tristesse en passant la colère avec une rare aisance. Le texte est fin.
Mais hélas, malgré une accroche immédiate, je me suis senti (avis partagé) glisser vers l'ennui...
9/10
Est-ce "Jour de fête" en huis clos?
En tous cas, Mathilda May, grâce à ses excellents comédiens, révèle avec beaucoup de justesse nos travers, dans cette fresque toute en onomatopées. Mise en scène millimétrée. Décors et musique viennent soutenir l’ensemble.
Un spectacle aussi brillant qu’original (malgré qu’on y retrouve les bases et ressources qui ont fait le succès d’Open Space).
En tous cas, Mathilda May, grâce à ses excellents comédiens, révèle avec beaucoup de justesse nos travers, dans cette fresque toute en onomatopées. Mise en scène millimétrée. Décors et musique viennent soutenir l’ensemble.
Un spectacle aussi brillant qu’original (malgré qu’on y retrouve les bases et ressources qui ont fait le succès d’Open Space).