- Théâtre contemporain
- Théâtre Les Déchargeurs
- Paris 1er
Tribulations d'un musulman d'ici

Avec Ismaël Saidi
- Ismaël Saidi
6,3/10
- Théâtre Les Déchargeurs
- 3, rue des Déchargeurs
- 75001 Paris
- Chatelet (l.1, l.4, l.7, l.11, l.14)
Itinéraire
Billets à 28,00 €
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Depuis l’arrivée de son père en Belgique, sa naissance au fin fond de Bruxelles, son enfance trimbalée dans les écoles catholiques, laïques, communales, musulmanes, son adolescence, son entrée fracassante dans les services de police à son rôle de mari, de père, d’Européen, d’Arabe, de musulman et d’artiste.
Seul en scène et avec malice, Ismaël nous raconte ce qu’a été sa vie. Ismaël Saidi est auteur, scénariste et metteur en scène.
Son spectacle Djihad, a été joué plus de 400 fois entre la Belgique et la France.
Toutes les critiques
Un seul en scène à soutenir juste pour la démarche de mise en avant de ce vécu personnel, interculturel et multi influences religieuses, et de dépassement des clichés (même si le propos gagnerait à être moins naïf, Ismaël Saidi en a les moyens).
Ismaël Saïdi est un conteur né. Autour de sa propre vie, il nous raconte comment sa famille algérienne s'est retrouvée en Belgique et comment lui a grandi dans le Plat Pays.
Avec une belle brassée de tendresse, une pointe de malice et aussi beaucoup d'intelligence, Ismael nous parle de l'école catholique, puis de l'école coranique et enfin de l'école communale, il les a fréquentées toutes les trois. On comprend parfaitement en filigrane, le message sur la tolérance et la connaissance des autres.
Le passage qui m'a le plus fait réfléchir est lorsqu'il parle de son travail dans la police belge... Le passage le plus émouvant est lorsque qu'il parle de son grand père, il aurait pu parler du mien, c'était le même genre d'homme et avec les mêmes principes.
Sur une scène totalement vide, hormis une chaise, Ismaël occupe l'espace avec naturel. Ses déplacements font parti de l'histoire qu'il nous raconte.
On passe un doux moment où l'on alterne entre les rires et l'émotion.
Avec une belle brassée de tendresse, une pointe de malice et aussi beaucoup d'intelligence, Ismael nous parle de l'école catholique, puis de l'école coranique et enfin de l'école communale, il les a fréquentées toutes les trois. On comprend parfaitement en filigrane, le message sur la tolérance et la connaissance des autres.
Le passage qui m'a le plus fait réfléchir est lorsqu'il parle de son travail dans la police belge... Le passage le plus émouvant est lorsque qu'il parle de son grand père, il aurait pu parler du mien, c'était le même genre d'homme et avec les mêmes principes.
Sur une scène totalement vide, hormis une chaise, Ismaël occupe l'espace avec naturel. Ses déplacements font parti de l'histoire qu'il nous raconte.
On passe un doux moment où l'on alterne entre les rires et l'émotion.
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