Son balcon
SAISON 2025-2026
Aucun challenge culturel pour le moment
Mini Molières
1 388reçus
Amatrice de théâtre
Son classement : 410 / 6179
Avant elle

Elisabeth Lardy
3 critiques
Après elle

Louise Tourrain
3 critiques
Niveau
2 / 20
2 / 20
3
critiques
filatures
2
5
Espions
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Actualités de ses filatures
Un pièce en demi-teinte.
Un jeu d'acteur propre, une idée originale mais un texte qui manque de subtilité, des parallèles avec la période actuelle mal amenés.
Un vrai bémol sur l'utilisation de femmes potiches dans la pièce.
Cette pièce laisse un sentiment indécis et on l'oublie aussi rapidement que le trajet de retour en métro.
Un jeu d'acteur propre, une idée originale mais un texte qui manque de subtilité, des parallèles avec la période actuelle mal amenés.
Un vrai bémol sur l'utilisation de femmes potiches dans la pièce.
Cette pièce laisse un sentiment indécis et on l'oublie aussi rapidement que le trajet de retour en métro.
Associée à la beauté et à l'inventivité de Jean Genet, la créativité de Wilson fait des merveilles. Vous en prendrez plein les yeux et les oreilles ! Vous découvrirez une troupe d'acteurs dévoués à la mise en valeur du texte et de la mise en scène particulièrement brillante et audacieuse.
Il faut noter un satisfecit tout particulier pour les décors, costumes et jeu de lumières qui sont d'une rareté et d'une originalité surprenantes !
En bref, un excellent moment, allez y absolument avant qu'il ne soit trop tard.
Il faut noter un satisfecit tout particulier pour les décors, costumes et jeu de lumières qui sont d'une rareté et d'une originalité surprenantes !
En bref, un excellent moment, allez y absolument avant qu'il ne soit trop tard.
Que dire sur cette pièce ? On aimerait lui mettre une bonne note parce que bon... C'est quand même Carole Bouquet ! Est elle est excellente ! Parce que les décors et la lumière sont soignés, la mise en scène est précise. Mais le texte... Le texte... Je dois l'avouer, un peu honteux, je n'ai rien compris ! (Et visiblement je n'étais pas le seul). Ce texte semble ou être d'une platitude et d'une médiocrité sans nom ou être d'une telle profondeur qu'un pauvre quidam comme moi ne peut pas le comprendre.
Et c'est dommage car malgré tous les efforts déployés par Carole Bouquet elle ne parvient pas à nous faire sentir le sens caché de ce qu'elle déclame, si tant est qu'il y en est un.
Je dirais même qu'au moment du salut elle nous sourit d'une façon si particulière qu'elle semble nous dire "je suis désolé je n'avais pas compris avant de m'engager à le faire que c'était un navet".
Et c'est dommage car malgré tous les efforts déployés par Carole Bouquet elle ne parvient pas à nous faire sentir le sens caché de ce qu'elle déclame, si tant est qu'il y en est un.
Je dirais même qu'au moment du salut elle nous sourit d'une façon si particulière qu'elle semble nous dire "je suis désolé je n'avais pas compris avant de m'engager à le faire que c'était un navet".
Très bonne surprise que cette pièce qui me semblait trop conceptuelle. On en ressort ravi, c'est intelligent, très bien mis en scène et bien joué par des femmes qui arrivent à véhiculer toute l'intensité du texte depuis la scène jusqu'au fond de la salle ! L'acteur est un peu en deçà de ce qui est attendu mais il n'est de toute façon pas le centre de la pièce.
Il faut noter le soin apporté aux décors et au jeu de lumières qui sont absolument superbes !
En bref, une pièce de qualité qui est à la hauteur de ce que l'on attend du théâtre public.
Il faut noter le soin apporté aux décors et au jeu de lumières qui sont absolument superbes !
En bref, une pièce de qualité qui est à la hauteur de ce que l'on attend du théâtre public.
Glaçant : Neil LaBute ne juge pas, il décrit la violence ordinaire, celle que l’on ne veut pas voir, celle que l’on se refuse à croire.
Il nous donne à constater la banalité du mal, ces bourreaux de tous les jours, collègues, amis qui sans culpabilité commettent l’irréparable.
On sort de la dialectique, pour se faire « Basher » par des monologues exposant un monde sans repère où l’horreur n’est que la conséquence d’un destin irréversible que l’on subit.
Un théâtre différent qui ne laisse pas indifférent.
Il nous donne à constater la banalité du mal, ces bourreaux de tous les jours, collègues, amis qui sans culpabilité commettent l’irréparable.
On sort de la dialectique, pour se faire « Basher » par des monologues exposant un monde sans repère où l’horreur n’est que la conséquence d’un destin irréversible que l’on subit.
Un théâtre différent qui ne laisse pas indifférent.