Son balcon
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Son classement : 308 / 4966
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Camellia Burows
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Revoilà « un Fil à la patte » de Georges Feydeau ! Je l’ai revu et chroniqué il y a peu mais je ne pouvais pas passer à côté du plaisir de découvrir un proche sur scène en compagnie de la troupe dont il me parle souvent. Quoi de mieux pour occuper un dimanche après-midi ? En plus, je découvrais la belle salle du NECC de Maisons Alfort et sa programmation impressionnante de qualité. Et ce Fil à la patte trouve une place légitime dans ce beau programme.
Avec ce texte connu de mon cœur et vu souvent, j’avais néanmoins quelques appréhensions, la pièce est longue (2h20) et je la connais bien mais j’ai vraiment pris plaisir à regarder cette version et à en apprécier les détails.
C’est donc l’histoire de Fernand Bois d’Enghien qui cherche à se débarrasser de son amante Lucette, chanteuse populaire, pour se marier à Viviane la riche héritière de la famille Duverger (la fille de la baronne du même nom !!!). Evidemment rien ne va se passer comme il le souhaite, les quiproquos et les surprises vont se succéder à bon rythme.
Ce qu’il faut pour un Feydeau réussi, c’est d’abord une mise en scène bien huilée, de ce côté-là, Stéphanie Bainville a fait du bon travail, c’est une jolie mécanique fluide et tout l’espace du plateau est bien utilisé. Les lumières sont très réussies et cadrent bien avec l’esprit de la pièce. Les intermèdes entre les actes sont réussis et nous font oublier que les changements de décor peuvent prendre du temps.
Ensuite, il faut aussi une belle brochette de comédiens avec du talent et il y a du choix sur le plateau du NECC : Jean-Philippe Gobin est un Bois d’Enghien fort convaincant, Myriam Labbaye est une Lucette pétillante et dynamique à souhait, Il y a aussi Laurent Siniawski qui campe un général Irrigua très drôle. Ils sont neuf au total et ils méritent tous un coup de chapeau : Philippe Jacob, Ghislaine Caillette, Charlotte Mequillet, Justine Guerville, Sophie Bizet et Laurent Moulin.
Avec ce texte connu de mon cœur et vu souvent, j’avais néanmoins quelques appréhensions, la pièce est longue (2h20) et je la connais bien mais j’ai vraiment pris plaisir à regarder cette version et à en apprécier les détails.
C’est donc l’histoire de Fernand Bois d’Enghien qui cherche à se débarrasser de son amante Lucette, chanteuse populaire, pour se marier à Viviane la riche héritière de la famille Duverger (la fille de la baronne du même nom !!!). Evidemment rien ne va se passer comme il le souhaite, les quiproquos et les surprises vont se succéder à bon rythme.
Ce qu’il faut pour un Feydeau réussi, c’est d’abord une mise en scène bien huilée, de ce côté-là, Stéphanie Bainville a fait du bon travail, c’est une jolie mécanique fluide et tout l’espace du plateau est bien utilisé. Les lumières sont très réussies et cadrent bien avec l’esprit de la pièce. Les intermèdes entre les actes sont réussis et nous font oublier que les changements de décor peuvent prendre du temps.
Ensuite, il faut aussi une belle brochette de comédiens avec du talent et il y a du choix sur le plateau du NECC : Jean-Philippe Gobin est un Bois d’Enghien fort convaincant, Myriam Labbaye est une Lucette pétillante et dynamique à souhait, Il y a aussi Laurent Siniawski qui campe un général Irrigua très drôle. Ils sont neuf au total et ils méritent tous un coup de chapeau : Philippe Jacob, Ghislaine Caillette, Charlotte Mequillet, Justine Guerville, Sophie Bizet et Laurent Moulin.
La saison passée, Jean-Philippe Daguerre a reçu un Molière, à juste titre, pour la pièce ‘Adieu M. Haffman’ (d’ailleurs pour les retardataires, la pièce est toujours jouée au théâtre Rive Gauche), il récidive cette année, pour notre plus grand plaisir, en nous proposant ‘La famille Ortiz’, un conte qu’il a écrit et mis en scène avec beaucoup de talent.
C’est donc l’histoire de la famille Ortiz. Ce n’est pas n’importe quelle famille, cette famille Ortiz avec ses cinq membres hauts en couleur à la personnalité bien tranchée et si attachante. Ils ont tous une place spéciale dans la pièce et c’est ce que j’ai apprécié, il n’y a pas de rôle secondaire. Ils vivent près de Bordeaux. Ah non pas tous ! Au moment où démarre la pièce, Madiba (Pierre de son nom de naissance), l’aîné de la fratrie, vit au Japon et il doit confesser à sa femme Claire pourquoi il a quitté sa famille et a voulu les oublier. C’est lui qui nous ramène dans la lande française où nous découvrons cette famille si particulière.
La forme employée pour nous conter cette fable merveilleuse est très prenante, la mise en scène est fluide, je me suis laissée emportée…
Présentation de famille :
Dans la famille Ortiz, je demande le père Miguel, ex-célèbre torero. C’est Bernard Malaka qui est le père que nous voudrions tous avoir eu.
La mère Marie est jouée par la très dynamique Isabelle de Botton dont j’ai adoré le jeu d’amour maternel qu’elle projette sur ses trois enfants. Et son rire fantastiquement contagieux.
Madiba est l’aîné des enfants. C’est Stéphane Dauch, celui qui a fui la famille, écorché vif par ce qu’il a vécu et sommes en totale empathie avec lui lorsqu’il évoque les évènements de sa jeunesse. Émotion garantie !
Les jumeaux Ali et Nino sont respectivement joués par Kamel Isker (que j’ai découvert dans La main de Leïla puis dans Marco Polo et l’hirondelle du Khan) et Antoine Guiraud : leurs acrobaties et leurs jeux sont superbes.
Enfin, il y a la pièce rapportée, l’épouse de Madiba, Claire, jouée par une lumineuse Charlotte Matzneff qui va permettre la réunion de famille.
Bref, on a coutume de dire qu’on ne choisit pas sa famille, mais moi je choisis la famille Ortiz sans hésiter !
C’est donc l’histoire de la famille Ortiz. Ce n’est pas n’importe quelle famille, cette famille Ortiz avec ses cinq membres hauts en couleur à la personnalité bien tranchée et si attachante. Ils ont tous une place spéciale dans la pièce et c’est ce que j’ai apprécié, il n’y a pas de rôle secondaire. Ils vivent près de Bordeaux. Ah non pas tous ! Au moment où démarre la pièce, Madiba (Pierre de son nom de naissance), l’aîné de la fratrie, vit au Japon et il doit confesser à sa femme Claire pourquoi il a quitté sa famille et a voulu les oublier. C’est lui qui nous ramène dans la lande française où nous découvrons cette famille si particulière.
La forme employée pour nous conter cette fable merveilleuse est très prenante, la mise en scène est fluide, je me suis laissée emportée…
Présentation de famille :
Dans la famille Ortiz, je demande le père Miguel, ex-célèbre torero. C’est Bernard Malaka qui est le père que nous voudrions tous avoir eu.
La mère Marie est jouée par la très dynamique Isabelle de Botton dont j’ai adoré le jeu d’amour maternel qu’elle projette sur ses trois enfants. Et son rire fantastiquement contagieux.
Madiba est l’aîné des enfants. C’est Stéphane Dauch, celui qui a fui la famille, écorché vif par ce qu’il a vécu et sommes en totale empathie avec lui lorsqu’il évoque les évènements de sa jeunesse. Émotion garantie !
Les jumeaux Ali et Nino sont respectivement joués par Kamel Isker (que j’ai découvert dans La main de Leïla puis dans Marco Polo et l’hirondelle du Khan) et Antoine Guiraud : leurs acrobaties et leurs jeux sont superbes.
Enfin, il y a la pièce rapportée, l’épouse de Madiba, Claire, jouée par une lumineuse Charlotte Matzneff qui va permettre la réunion de famille.
Bref, on a coutume de dire qu’on ne choisit pas sa famille, mais moi je choisis la famille Ortiz sans hésiter !
C'est peut-être les histoires de famille qui me barbent en général, mais je n'ai pas accroché du tout, mais c'est bien joué.
Mercredi 23 octobre 2019
J’appréciais jusqu’à maintenant David Brécourt dans des comédies et ma curiosité m’a poussé à venir le voir jouer dans un autre registre avec la pièce ‘En ce temps là, l’amour’ de Gilles Ségal.
Un homme que nous appellerons Z. vient d’être grand-père. Ce changement le décide à enregistrer sur un magnétophone des souvenirs marqués au fer rouge dans sa mémoire : une rencontre si particulière avec un père et son fils dans un wagon qui les emmenait vers un camp d’extermination durant la guerre. Les mots ont du mal à sortir de la bouche de Z., on sent qu’il revit ce qu’il a vécu : ce père créé une ‘bulle’ au milieu du chaos, pour transmettre à son fils de 12 ans, ses valeurs et tout ce qui aurait pu faire de lui un homme.
Ce récit initiatique est riche en émotions de tout poil : il y a des pointes d’humour et des fulgurances poétiques qui se dégagent de ce texte ciselé et qui donnent à la pièce une force profonde. On ne ressort pas indemne de la petite salle des Mathurins tellement nous sommes bouleversés. Cette histoire des transmission est intense et la preuve d’un amour paternel inconditionnel qu fait tout pour protéger son enfant et le laisser vivre normalement et non dans la peur alors qu’ils filent vers la mort. J’avais la gorge serrée d’émotion à la fin.
La mise en scène efficace de Christophe Gand sert à merveille ce texte et les lumières de Denis Koransky sont parfaites pour nous plonger dans l’histoire. J’ai découvert une nouvelle facette de David Brécourt : il est fantastique dans son interprétation.
Vous ne pouvez pas rester de marbre devant ce bijou.
Un homme que nous appellerons Z. vient d’être grand-père. Ce changement le décide à enregistrer sur un magnétophone des souvenirs marqués au fer rouge dans sa mémoire : une rencontre si particulière avec un père et son fils dans un wagon qui les emmenait vers un camp d’extermination durant la guerre. Les mots ont du mal à sortir de la bouche de Z., on sent qu’il revit ce qu’il a vécu : ce père créé une ‘bulle’ au milieu du chaos, pour transmettre à son fils de 12 ans, ses valeurs et tout ce qui aurait pu faire de lui un homme.
Ce récit initiatique est riche en émotions de tout poil : il y a des pointes d’humour et des fulgurances poétiques qui se dégagent de ce texte ciselé et qui donnent à la pièce une force profonde. On ne ressort pas indemne de la petite salle des Mathurins tellement nous sommes bouleversés. Cette histoire des transmission est intense et la preuve d’un amour paternel inconditionnel qu fait tout pour protéger son enfant et le laisser vivre normalement et non dans la peur alors qu’ils filent vers la mort. J’avais la gorge serrée d’émotion à la fin.
La mise en scène efficace de Christophe Gand sert à merveille ce texte et les lumières de Denis Koransky sont parfaites pour nous plonger dans l’histoire. J’ai découvert une nouvelle facette de David Brécourt : il est fantastique dans son interprétation.
Vous ne pouvez pas rester de marbre devant ce bijou.
« Piège pour Cendrillon » est tiré d’un roman écrit par Sébastien Japrisot en 1963 (il a également écrit « L’été meurtrier » et «Un long dimanche de fiançailles »). En 1965, il y a le film réalisé par André Cayatte avec Dany Carel (qui tenait les deux rôles titres) et Madeleine Robinson la gouvernante : Et maintenant, c’est une pièce jouée au théâtre Michel, adaptée par Aida Asgharzadeh (déjà remarquée avec « La main de Leila » et « Les vibrants »).
Michelle, élevée par sa tante et surtout par la gouvernante de celle-ci la terrible Madame Murneau, se réveille à l’hôpital, amnésique après l’incendie de sa maison qui a couté la vie à Dominique son amie d’enfance. Elle est brulée notamment au visage et aux mains et quoiqu’elle tente, sa mémoire ne revient pas. Qui était-elle ? Que s’est-il passé lors de l’incendie ? Elle va chercher à se souvenir à tout prix, jusqu’à se perdre à nouveau et que le piège se referme…
Sébastien Azzopardi propose une mise en scène efficace, il faut dire que c’est un spécialiste du genre pièces à suspens (« La dame blanche » et « Dernier coup de ciseaux ») : un décor sobre, un peu de fumée, des lumières dispensées avec parcimonie et des détails auxquels il faut prêter attention.
Avertissement : N’arrivez pas en retard, ne regardez que la scène sinon vous risquez de louper quelque chose et risquez de perdre le fil. Oui il faut être attentif car le rythme est soutenu, les manipulations et faux semblants s’enchainent tambour battant.
Et puis les quatre comédiens, tous superbes : David Talbot qui endosse plusieurs rôles sans qu’on puisse le confondre. Le duo infernal Do et Mi est constitué par Alyzée Costes et Nassima Béchicou, les deux sont magnifiques, chacune avec un genre propre et des tenues qui leur vont à ravir. Mais celle pour qui j’ai eu un coup de cœur c’est Aurélie Boquien qui est extraordinaire dans le rôle de la gouvernante-dragon.
Michelle, élevée par sa tante et surtout par la gouvernante de celle-ci la terrible Madame Murneau, se réveille à l’hôpital, amnésique après l’incendie de sa maison qui a couté la vie à Dominique son amie d’enfance. Elle est brulée notamment au visage et aux mains et quoiqu’elle tente, sa mémoire ne revient pas. Qui était-elle ? Que s’est-il passé lors de l’incendie ? Elle va chercher à se souvenir à tout prix, jusqu’à se perdre à nouveau et que le piège se referme…
Sébastien Azzopardi propose une mise en scène efficace, il faut dire que c’est un spécialiste du genre pièces à suspens (« La dame blanche » et « Dernier coup de ciseaux ») : un décor sobre, un peu de fumée, des lumières dispensées avec parcimonie et des détails auxquels il faut prêter attention.
Avertissement : N’arrivez pas en retard, ne regardez que la scène sinon vous risquez de louper quelque chose et risquez de perdre le fil. Oui il faut être attentif car le rythme est soutenu, les manipulations et faux semblants s’enchainent tambour battant.
Et puis les quatre comédiens, tous superbes : David Talbot qui endosse plusieurs rôles sans qu’on puisse le confondre. Le duo infernal Do et Mi est constitué par Alyzée Costes et Nassima Béchicou, les deux sont magnifiques, chacune avec un genre propre et des tenues qui leur vont à ravir. Mais celle pour qui j’ai eu un coup de cœur c’est Aurélie Boquien qui est extraordinaire dans le rôle de la gouvernante-dragon.
Quand arrive le lundi matin, je me sens toujours comme un vampire… La lumière du début de semaine m’agresse et je porte mes sempiternelles lunettes noires jusqu’au (vendredi) soir... Aussi quand la Cinémathèque annonça une exposition sur mes amis craignant la lumière comme moi, c’est avec empressement que je me retrouvais sur les lieux dès le vernissage !
En route pour le 7ème ci.. Euh non ! Le 5ème étage de la Cinémathèque…
Avec une entrée digne d’un film à frissons : long couloir sombre, lumières flageolantes et ombres mystérieuses, on se dit que tout est réuni pour passer un bon moment. Alors oui, la scénographie est superbe tout le long de l’exposition, totalement dans l’esprit ‘vampires’ : touches de lumière, ambiance rouge morsure, porte gothique… et c’est clairement un point fort de l’exposition.
L’autre point fort sont des costumes de films cultes mis en valeur magnifiquement, jugez plutôt : ceux de Sandy Powell pour « Entretien avec un vampire » (costumes de Kirsten Dust et Tom Cruise) et ceux d’Eiko Ishioka pour « Dracula » de Francis Ford Coppola . Superbes !
Nous découvrons donc l’origine du mythe des vampires, l’histoire part du cœur de l’Europe centrale au Moyen-Age… Puis comment la littérature puis le cinéma ont propulsé ces êtres sur le devant de la scène. On explore ensuite les facettes politiques de cet univers (faire un film de vampire, c’est prendre le parti de déranger et dénoncer en contournant la censure), érotiques (morsure et libido vont si bien ensemble) et leur apparition dans la culture pop (séries télé à succès, mangas, jeux vidéos, bd,…). Mais voilà c’est du réchauffé pour l’ensemble, on n’apprend rien de nouveau (enfin je parle pour mes camarades à lunettes noires comme moi) mais surtout il y a peu de chose à lire, les cartels sont très courts et peu nombreux. Il y a peu d’objets cultes hormis les deux séries de costumes évoqués un peu plus haut.
On fait le tour de l’expo en 30 minutes si ne peut pas regarder les différents montages vidéo (et encore tous ne sont pas de qualité équivalentes), tout dépendra de l’affluence.
Personnellement, j’en sors déçue car je m’attendais à voir bien plus de choses et pour 11€ l’entrée, c’est assez cher pour en attendre plus.
En route pour le 7ème ci.. Euh non ! Le 5ème étage de la Cinémathèque…
Avec une entrée digne d’un film à frissons : long couloir sombre, lumières flageolantes et ombres mystérieuses, on se dit que tout est réuni pour passer un bon moment. Alors oui, la scénographie est superbe tout le long de l’exposition, totalement dans l’esprit ‘vampires’ : touches de lumière, ambiance rouge morsure, porte gothique… et c’est clairement un point fort de l’exposition.
L’autre point fort sont des costumes de films cultes mis en valeur magnifiquement, jugez plutôt : ceux de Sandy Powell pour « Entretien avec un vampire » (costumes de Kirsten Dust et Tom Cruise) et ceux d’Eiko Ishioka pour « Dracula » de Francis Ford Coppola . Superbes !
Nous découvrons donc l’origine du mythe des vampires, l’histoire part du cœur de l’Europe centrale au Moyen-Age… Puis comment la littérature puis le cinéma ont propulsé ces êtres sur le devant de la scène. On explore ensuite les facettes politiques de cet univers (faire un film de vampire, c’est prendre le parti de déranger et dénoncer en contournant la censure), érotiques (morsure et libido vont si bien ensemble) et leur apparition dans la culture pop (séries télé à succès, mangas, jeux vidéos, bd,…). Mais voilà c’est du réchauffé pour l’ensemble, on n’apprend rien de nouveau (enfin je parle pour mes camarades à lunettes noires comme moi) mais surtout il y a peu de chose à lire, les cartels sont très courts et peu nombreux. Il y a peu d’objets cultes hormis les deux séries de costumes évoqués un peu plus haut.
On fait le tour de l’expo en 30 minutes si ne peut pas regarder les différents montages vidéo (et encore tous ne sont pas de qualité équivalentes), tout dépendra de l’affluence.
Personnellement, j’en sors déçue car je m’attendais à voir bien plus de choses et pour 11€ l’entrée, c’est assez cher pour en attendre plus.
Et notre éminent chroniqueur Laurent Moulin est très bien dans un cumul de rôles pas évident pour sa première pièce : Fontanet (qui est mon préféré) , Antonio et Jean