Son balcon
SAISON 2024-2025
Aucun challenge culturel pour le moment
Mini Molières
13 901reçus
Critique vétérante
Son classement : 52 / 6094
Avant elle
Maxime G
60 critiques
Après elle
La Mouette du Rhône
55 critiques
Niveau
8 / 20
8 / 20
56
critiques
filatures
8
25
Espions
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Actualités de ses filatures
Très déçue par cette pièce alors que le début démarrait pourtant bien et avait su capter mon attention d'emblée. Belle trouvaille que ces parties chantées par l'actrice qui incarne Sarah Bernardt, pour le reste, nous avons trouvé que le spectacle s'étirait en longueur et qu'il aurait pu être raccourci de beaucoup afin de lui apporter plus de dynamique. Les costumes ne sont pas très beaux, et le décor également. Bref, grosse déception à la sortie de cette représentation même si l'actrice principale met tout en oeuvre pour l'incarner du mieux qu'elle peut. Dommage !
Sur les avis d'Au Balcon, nous avons choisi pour notre passage sur Paris d'aller voir le spectacle The Loop (la boucle) au théâtre des Béliers - Paris XVIIIème. Petite salle bien sympathique dans laquelle nous n'avions encore jamais eu l'occasion d'aller voir un spectacle. Le début de la pièce m'a un peu surprise mais j'ai tout de suite craqué sur le personnage du Détective Watson. Juliette Damy qui l'interprète est tout simplement géniale. Lors de la 3ème scène et sa prise de médicament, elle se lâche complètement et nous embarque complètement dans son univers comique. J'ai été complètement bluffée. Rien que pour elle et cette scène, il faut aller voir cette pièce qui affiche semble t'il complet tous les soirs. Le reste est un peu inégal et nous n'avons pas trop apprécié le jeu de l'acteur qui joue la victime. Autre point positif, l'avocate elle aussi est excellente dans ses scènes et nous provoque aussi de bons fou rires. Mais au final, je m'attendais quand même à mieux. Le texte avec quelques bonnes trouvailles fait également quelques étincelles.
Très bien interprété, ce spectacle rend un vibrant hommage au café concert.
Anny Duperey y est formidable. Elle incarne les chansons, joue avec sa voix et se révèle une grande interprète. Elle est accompagnée par Charlène Duval dont on devine qu'il s'agit d'un pseudo. Charlène Duval en effet, est un personnage de théâtre et de music-hall créé par Jean-Philippe Maran au début des années 1990 qui l'incarne à merveille sur scène.
Emaillés de réparties comiques et spirituelles, le dialogue entre les deux interprètes ne manque pas de piquant. Le public dans la salle était conquis et pour une personne plus jeune, ces chansons n'avaient pas du tout l'air désuète. Bien au contraire, je suis rentrée dans le spectacle immédiatement et j'en suis ressortie épatée. Les chansons grivoises ne m'ont pas gêné et j'ai particulièrement apprécié le choix d'Anny Duperey qui a délibérément exclu Mon Homme pour éviter de faire la part belle au féminicide.
Bravo ! Ce spectacle qui se terminait hier soir, mériterait d'être prolongé.
Anny Duperey y est formidable. Elle incarne les chansons, joue avec sa voix et se révèle une grande interprète. Elle est accompagnée par Charlène Duval dont on devine qu'il s'agit d'un pseudo. Charlène Duval en effet, est un personnage de théâtre et de music-hall créé par Jean-Philippe Maran au début des années 1990 qui l'incarne à merveille sur scène.
Emaillés de réparties comiques et spirituelles, le dialogue entre les deux interprètes ne manque pas de piquant. Le public dans la salle était conquis et pour une personne plus jeune, ces chansons n'avaient pas du tout l'air désuète. Bien au contraire, je suis rentrée dans le spectacle immédiatement et j'en suis ressortie épatée. Les chansons grivoises ne m'ont pas gêné et j'ai particulièrement apprécié le choix d'Anny Duperey qui a délibérément exclu Mon Homme pour éviter de faire la part belle au féminicide.
Bravo ! Ce spectacle qui se terminait hier soir, mériterait d'être prolongé.
Le meilleur spectacle de danse vu depuis bien longtemps !
Les champions du monde de Hip Hop revisitent la période de la prohibition - mention spéciale pour les danseurs Martin Thai qui enchaine les sauts endiablés pendant 1H30 sans une minute de répit (du grand art) ou bien encore Jessie Perot - la seule femme du groupe - qui a le rythme dans le sang.
Ça vibre dans la salle, on se prend à danser avec eux du bout des pieds, c'est énergique, entrainant, revigorant. Bref, du génie pur.
Les chorégraphies sont de haute volée, toute la troupe se démène à 200%, on en redemande.
Nous avons adoré. Prêt à le revoir illico !
Les champions du monde de Hip Hop revisitent la période de la prohibition - mention spéciale pour les danseurs Martin Thai qui enchaine les sauts endiablés pendant 1H30 sans une minute de répit (du grand art) ou bien encore Jessie Perot - la seule femme du groupe - qui a le rythme dans le sang.
Ça vibre dans la salle, on se prend à danser avec eux du bout des pieds, c'est énergique, entrainant, revigorant. Bref, du génie pur.
Les chorégraphies sont de haute volée, toute la troupe se démène à 200%, on en redemande.
Nous avons adoré. Prêt à le revoir illico !
Plus une idée est intéressante, plus on est déçu quand elle n'est pas très bien servie. Et malheureusement, c'est le cas ici.
Sur scène : un psychanalyste chez qui défilent les personnages de Kafka, Zorro, Jeanne d'Arc, JFK, Marilyn Monroe, Lady Di.
Et le premier explique aux autres, ses "patients", à tour de rôle, ce qui se passe dans leur inconscient.
Un exercice périlleux car il faut tenir le chrono (traiter 6 personnages en 1H30), être compréhensible, apporter de l'info, captiver le public et éviter les banalités et les poncifs...
On l'a compris, tout n'est pas réussi dans cette pièce. Le choix des personnages reste discutable. En particulier, celui de Zorro, même si on voit bien que l'auteur a voulu aborder à travers lui, la question des relations père-fils, également traitée avec JFK.
Les "analyses" elles-mêmes sont parfois creuses ou incompréhensibles. C'est nettement le cas avec Jeanne d'Arc (Madame du Lys).
Quant à la mise en scène, elle fait un peu trop remuer les personnages, notamment celui de Zorro, ce qui casse parfois l'ambiance "psychanalyse" sans rien apporter de plus.
Enfin, à signaler, pour l'anecdote, une incohérence ou une maladresse : Kafka est annoncé comme "Votre rendez-vous est arrivé", alors que le personnage explique d'emblée qu'il a fini par trouver le cabinet du psy sans même connaître son adresse. Il est donc venu sans rendez-vous...
Et pour ce qui est des comédiens, on peut saluer le jeu juste et sobre d'Adrien Melun.
Sur scène : un psychanalyste chez qui défilent les personnages de Kafka, Zorro, Jeanne d'Arc, JFK, Marilyn Monroe, Lady Di.
Et le premier explique aux autres, ses "patients", à tour de rôle, ce qui se passe dans leur inconscient.
Un exercice périlleux car il faut tenir le chrono (traiter 6 personnages en 1H30), être compréhensible, apporter de l'info, captiver le public et éviter les banalités et les poncifs...
On l'a compris, tout n'est pas réussi dans cette pièce. Le choix des personnages reste discutable. En particulier, celui de Zorro, même si on voit bien que l'auteur a voulu aborder à travers lui, la question des relations père-fils, également traitée avec JFK.
Les "analyses" elles-mêmes sont parfois creuses ou incompréhensibles. C'est nettement le cas avec Jeanne d'Arc (Madame du Lys).
Quant à la mise en scène, elle fait un peu trop remuer les personnages, notamment celui de Zorro, ce qui casse parfois l'ambiance "psychanalyse" sans rien apporter de plus.
Enfin, à signaler, pour l'anecdote, une incohérence ou une maladresse : Kafka est annoncé comme "Votre rendez-vous est arrivé", alors que le personnage explique d'emblée qu'il a fini par trouver le cabinet du psy sans même connaître son adresse. Il est donc venu sans rendez-vous...
Et pour ce qui est des comédiens, on peut saluer le jeu juste et sobre d'Adrien Melun.