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Mordue de Théâtre
Mordue de Théâtre
Théâtrholic
27 ans
55 espions
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"Dans le grand ordre des choses, le spectacle le plus médiocre a sans doute plus de valeur que notre critique qui le dénonce comme tel."
Son blog : http://mordue-de-theatre.com/
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Ses critiques

205 critiques
Papa va bientôt rentrer

Papa va bientôt rentrer

9/10
164
J’ai sauté de joie à l’annonce de ce spectacle. Retrouver Lysiane Meis aux côtés de Marie-Julie Baup, ce sont deux univers théâtraux que j’adore et qui se rencontrent pour mon plus grand plaisir. Ajoutons à cela une mise en scène de José Paul et je n’étais pas loin d’être comblée. Ma seule crainte résidait dans le texte. Je ne connaissais pas l’auteur, l’affiche me rebutait un peu et j’avais peur de me retrouver face à un texte aux résonances trop américaines à mon goût. J’ai découvert en Jean Franco une plume fine au sujet plutôt original, un propos intéressant, un texte tout à fait dramatique et mené de main de maître par ces trois comédiens. Une soirée à ne pas manquer.

Tout est parti de l’anecdote des Flat daddies, reproductions en cartons de leurs maris partis à la guerre d’Afghanistan, que l’on offrait aux épouses restées à la maison afin de pallier la longue absence de l’époux-soldat. Ces « papas plats » ont été offerts à Mia et Suzan, ces deux voisines qui attendent le retour de Paul et Richard, partis combattre au Vietnam. Une excuse pour se retrouver, se serrer les coudes, discuter de tout, de rien, de leur rôle de femme, d’épouse, de la vie, de leurs combats, de leurs attentes. Un train de vie qui va se retrouver chamboulé par le retour d’Isaac, un ex de Mia qui a déserté l’armée et vient se réfugier chez elle.

J’ai été très agréablement surprise par l’écriture éminemment dramatique de Jean Franco. L’histoire se déroule de manière très fluide et aborde de nombreux sujets avec beaucoup de cohérence et d’intelligence. Il faut dire qu’il est merveilleusement servi par les trois comédiens qui portent ce spectacle. Tous trois dans des tons différents et complémentaires, on sent une direction d’acteur au cordeau, mais également sensible et bienveillante. Benoît Moret compose un Isaac aux allures d’homme dans cette enveloppe d’adolescent. A la fois attendrissant et agaçant, il livre son message avec beaucoup d’humanité.

Mais ce sont les femmes qui sont particulièrement mises en lumière dans ce spectacle. On retrouve chez Marie-Julie Baup cette interprétation à fleur de peau, où soudain la réplique la plus banale nous touche au coeur et nous fait monter les larmes aux yeux. Sa sincérité, sa sensibilité sans artifice émeuvent à plusieurs reprises et sous la femme forte qu’elle compose on sent des failles qui pourraient la détruire. Celle qui dit assumer les choix qu’elle a portés a dans les yeux un voile qui semble la démentir aussitôt. En face, Lysiane Meis n’est pas en reste. A cette composition un peu nunuche qui lui va si bien, elle ajoute d’autres facettes : sa loyauté envers Mia est touchante, sa lucidité poignante et l’évolution de son personnage, pleine d’espoir.

La mise en scène de José Paul est impeccable. Dès les premières notes du spectacle, on est happé par un rythme qui ne se tarira à aucun moment. Il s’est débarrassé des effets inutiles qui alourdissent souvent les spectacles aujourd’hui et chez lui, chaque détail compte : très vite, avant même que le noir se fasse, on comprend que l’horloge jouera son rôle dans le spectacle. Les lumières sont également pensées de manière très fine, dupant notre cerveau qui soudain transforme cette ombre provenant d’une simple reproduction en carton en un réel personnage présent autour de la table. Perturbant.
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ça ira (1) Fin de Louis

ça ira (1) Fin de Louis

10/10
133
Le spectacle s’ouvre sur un conseil rassemblant le roi, son premier ministre en charge des finances, ainsi que des membres de la classe noble et de l’Église. Ils discutent de la crise économique, et des solutions qui s’offrent à eux. Face au refus des notables, un Parlement national des États Généraux va être convoqué. De l’élection des délégués aux élections des députés, de l’ouverture des États Généraux à sa formation en Assemblée Nationale, des négociations entre le tiers et la noblesse à l’abolition des privilèges, Joël Pommerat nous fait revivre cette période agitée de l’Histoire de France, qui a vu naître entre autres la Déclaration des Droits de l’Homme.

A vrai dire, je n’avais rien lu sur le spectacle. J’avais même un peu peur – vous savez, cette appréhension commune avant un spectacle aussi long. Je ne savais donc rien de la merveille qui m’attendait. Je ne pouvais même pas me douter de ce que j’allais vivre. Les mots seuls ne suffiront pas à décrire l’expérience unique de Ça ira. Je vais tenter modestement d’essayer de transmettre ce que j’ai vécu sur le moment, mais le mieux serait que vous quittiez tout de suite cette page pour chercher les tournées de ce spectacle. Pour comprendre, vraiment.

Il faut me prendre au mot lorsque je dis que Joël Pommerat nous fait revivre cette période. Je m’attendais à assister sagement à un spectacle historique retraçant le déroulement de la Révolution. Je ne pensais pas prendre part à l’Histoire de cette manière. Rapidement après l’ouverture du spectacle, on se retrouve au centre des États Généraux. Si le procédé étonne tout d’abord – qui est-ce qui applaudit ainsi en fond de salle ? – la fiction prend rapidement le pas sur le réel et nous voilà plongés en pleine année 1789. L’immersion est une grande réussite : me voici à applaudir aux déclarations de l’un, à huer un autre qui vient de prendre la parole. Je commence à repérer les divers intervenants et à comprendre leurs penchants politiques. Je me prends au jeu.

Tout l’art de Pommerat est de ne pas faire de ce spectacle uniquement un grand terrain de jeu. Son travail est pointu : ses recherches minutieuses n’aboutissent pas à de longues déclarations ennuyeuses et monotones, mais bien à des débats enflammés qui reproduisent les réunions d’alors. L’évolution est parfaitement fluide, et les résonances actuelles tout à fait intégrées dans un texte jamais didactique. Simplement, Pommerat est maître absolu de son spectacle et nous emmène là où il souhaite. On devine les premières idéologies politiques et on se plaît à surnommer l’un Mélenchon, l’autre Wauquiez.

Mais on est au spectacle. Les lumières, toujours si importantes chez l’auteur, accompagnent les discours, ouvrent les déclarations ou ponctuent les discours avec brio. Elles sont un personnage à part entière, créant tout de suite une atmosphère spécifique. Pommerat ne craint pas l’anachronisme : une fois le spectateur pris dans ces débats fougueux de l’Assemblée, il est aussi subjugué que le reste des députés lorsqu’on lui annonce l’arrivée du roi sur l’air de The Final Countdown. Cette scène, magistrale, à la fois culottée et évidente, m’a donné la chair de poule. Soudain, j’ai eu l’impression que Louis XVI allait surgir. J’ai senti l’excitation liée à la présence du Roi, l’exaltation de la foule, l’impatience de le voir surgir, l’envie de le toucher…

J’ai remonté le temps. J’ai changé de vie. J’ai appris. J’ai compris. J’ai écouté. J’ai interrompu. J’ai élevé la voix. Je me suis tue. J’ai réfléchi. J’ai dénigré. J’ai appréhendé. J’ai vu. J’ai ressenti. J’ai trépigné. J’ai applaudi. J’ai encaissé. J’ai eu peur. J’ai fermé les yeux. J’ai grandi. J’ai pris sur moi. J’ai adoré. J’ai idéalisé. J’ai cru possible. J’ai interrogé. J’ai remercié. Je me suis levée. J’ai vécu un bout du passé. Et j’ai juste envie de dire : merci Joël Pommerat.
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Baby

Baby

7,5/10
152
Ha ! Le théâtre de l’Atelier. J’ai presque cessé de le fréquenter tant il m’a déçue ces dernières années. Je ne compte plus le nombre de fois où j’en suis sortie en me disant « la prochaine fois, je ne me ferai pas avoir ». Quelle ne fut pas ma surprise lorsque le spectacle de reprise de saison, Le livre de ma mère, seul en scène de Patrick Timsit, a remporté un franc succès du côté de la critique ! Et devant l’engouement provoqué par ce nouveau spectacle, Baby, j’ai décidé de donner une nouvelle chance à ce théâtre. Un premier pas vers la réconciliation.

Baby aborde un sujet délicat qui revient fréquemment dans les débats aujourd’hui : la gestation pour autrui. Wanda et Al vivent dans une caravane. Ils ont déjà plusieurs enfants, et Wanda est de nouveau enceinte. Au début de la pièce, elle tente d’aborder la question avec Al : elle a vu une annonce dans le journal et n’entend pas garder l’enfant cette fois-ci. L’annonce ? « Enceinte ? Couple marié, épanoui, cultivé et très à l’aise financièrement veut offrir à un enfant blanc en parfaite santé une vie heureuse. Différentes formes d’aides envisageables. Appeler en pcv. »

Dès l’annonce, on sent qu’un petit mot pourrait poser problème. Un enfant blanc. L’adjectif ne sera pas abordé tout de suite, mais la tension s’installe dès la diffusion du message. Elle augmentera avec le face à face entre Wanda, mère porteuse, et Rachel, mère adoptive. Les deux comédiennes protègent leur personnage avec passion : d’un côté, Isabelle Carré, lumineuse femme enceinte dont la séparation prochaine de son bébé semble placer par intermittence un voile devant ses yeux ; de l’autre, Camille Japy, habituée à un confort qu’elle ne retrouve pas chez cette nouvelle nouvelle relation, semble plus perdue à chacun de ses mouvements mais lutte avec bravoure pour rester digne et polie.

Cette première scène opposant deux classes différentes traîne encore quelques longueurs. Elle est explicative, met en place les différentes problématiques qui agitent chaque parti, leurs différences mais aussi leurs complémentarités. Elle paraît même parfois un peu simpliste dans son déroulement : on voit s’implémenter une certaine binarité, avec d’un côté la bourgeoise coincée tolérante par principe, s’opposant à la femme dans le besoin, se nourrissant mal, un peu vulgaire, sensible aux réflexions sur son mode de vie, ayant une tendance raciste pour trop côtoyer la communauté noire dont elle parle avec mépris. Des amalgames un peu rapides et qui handicapent un propos qui aurait pu être bien plus saisissant.

Dans la deuxième partie du spectacle, on se retrouve à l’hôpital, le jour de l’accouchement. Ici, la lutte des classes est moins didactique et passe plus par le jeu des comédiens, leurs interactions, leurs mouvements relatifs. La scène fonctionne mieux, faisant passer les émotions sans lourdeur. Les comédiens s’affrontent comme sur un ring : d’un côté, Bruno Solo et Cyril Couton transpirent le stress propre à ces hommes d’affaires pressés et désagréables, contrebalancés par un Vincent Deniard dont la corpulence semble soudainement inversement proportionnelle à son importance dans la pièce. Al, immense, semble tellement rabaissé par les deux autres hommes qu’il devient soudainement poussière dans cette pièce aussi froide que les regards de ses partenaires. Une belle prouesse.

Cependant je reste sur ma faim. Et même sur ma fin en vérité, puisque le dénouement est aussi désagréable qu’inattendu : la question qu’il pose place le spectateur dans une situation délicate, mais la solution envisagée par les personnages arrive trop vite pour qu’on perçoive toute la gravité du problème. J’aurais aimé que cette deuxième partie, plus intense, laisse à ses personnages le temps de la réflexion et de la décision en proposant davantage de pistes, de délibérations, d’introspection, même. Il laisse le spectateur désarmé, oscillant entre une prise de conscience trop brusque et une tendance au cliché qui ralentit sa pensée.

Un thème essentiel qui aurait gagné en intensité s’il avait réussi à prendre davantage son temps.
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Les Inséparables

Les Inséparables

7/10
23
On se retrouve dans un bel atelier d’artiste à Montparnasse. On comprend vite que deux histoire vont se superposer : d’une part, l’histoire de Samuel et Sacha, deux amants des années 50. Lui, banquier ; elle, peintre. L’histoire s’ouvre alors qu’il lui fait découvrir son nouvel atelier, un cadeau de sa part pour qu’elle puisse composer et libérer son âme d’artiste dans ce ravissement appartement lumineux et confortable. D’autre part, on retrouve Gabriel, le petit-fils de Samuel, également peintre et accompagné de son fils Abel et de Maxime, son galeriste. Vivant dans notre monde contemporain, Gabriel vient de se voir léguer l’appartement par Sacha, qui lui est inconnu, et qu’il estime d’abord être une admiratrice avant de replonger petit à petit dans son passé pour en découvrir ses secrets.

Certes, le texte n’est pas exemplaire. Des longueurs se font sentir à plusieurs reprises et ce dès la scène d’exposition, trop longue, qui essaie d’introduire trop d’explications dans l’histoire, dans les rapports humains, dans les secrets à venir. Scène d’exposition qui annonce bien le contenu général du spectacle : il semblerait que les auteurs ont cherché à toucher trop de sujets, créant un scénario finalement un peu complexe et, par endroit, trop peu dramatique. Ainsi, il s’agit d’aborder tant les relations père/fils que père/fille, la place de l’art dans la société, la vie de couple, l’impact des secrets de famille… Cette profusion alourdit un propos qui aurait gagné en intensité avec un choix restreint d’intrigues dès le début de l’histoire.

Néanmoins, l’ennui n’a pas sa place dans ce spectacle. D’abord grâce à un Ladislas Chollat en grande forme, proposant une mise en scène dynamique et surtout visuellement éclatante. Non seulement le décor est très beau – cet atelier d’artiste avec ses grandes fenêtres et sa disposition idéale dans Paris – mais les changements d’époque se font toujours de manière très fluide, ne brisant jamais l’élégance de cette scénographie : ce décor tournant, cette vue de Paris qui fait parfois apparaître la Tour Montparnasse, ces lumières qui accompagnent la vie dans l’appartement, ces musiques de transition si chères à Chollat et qui apparaissent toujours comme élongation de l’histoire – toujours évidentes, jamais artificielles ; tout est très élégant, à la fois charmant et accueillant.

A cette atmosphère qu’il crée avec soin, il ajoute des personnages dessinés avec une grande justesse. Découvrir Didier Bourdon sur cette est un très grand bonheur : prenant tantôt le costume du banquier, tantôt l’écharpe du peintre, il compose ses deux personnages avec des touches de couleurs variées. Il semble même prendre la lumière de manière différentes entre ses deux rôles : alors qu’elle illumine Samuel, elle semble au contraire alourdir les pas d’un Gabriel en mal d’inspiration. Il forme avec Valérie Karsenti un duo plein d’un amour pur et presque enfantin, les deux personnages rayonnant dans leur scène communes. Thierry Frémont est un galériste maniéré un peu sous-employé mais toujours juste, aux côtés d’un Pierre-Yves Bon proposant un Abel dont la surface sanguine cache une belle humanité.
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Nos éducations sentimentales

Nos éducations sentimentales

7,5/10
16
Sur scène, on retrouve le Frédéric de Flaubert dans une transposition moderne. Il est toujours nébuleux, vivant à un rythme tantôt ralenti tantôt accéléré, mais il ce n’est plus uniquement autour de sa vie que va s’articuler l’histoire. Dans cette adaptation, qui tire également son inspiration du Jules et Jim de Truffaut, Frédéric a toute une bande d’ami dont on va suivre l’évolution avec lui. Tous sont des enfants de leur siècle à leur manière, cherchant à y laisser une trace, mais se contentant souvent d’en faire seulement partie.

Avec un titre pareil, impossible de ne pas comprendre la référence à Flaubert. J’ai lu L’éducation sentimentale sous la contrainte, passage obligé lors du bac de français il y a 6 ans maintenant. J’étais quand même contente de retrouver certains des passages travaillés, comme la première fois que Frédéric rencontre Mme Arnoux. La transposition actuelle a des bons comme des mauvais côtés : à la manière du roman, je trouve que l’insertion dans le siècle est primordiale et se fait sentir. La thématique de l’appartenance à un temps donné est très présente, tant dans le texte que dans l’atmosphère créée par Sophie Lecarpentier.

Cependant, on retrouve les incontournables du 21e siècle, j’ai nommé les bisexuels vegans. Ça me titille toujours un peu de voir à quel point notre siècle ne semble pas représentable sans allusion à ces tendances-là. D’autant que le personnage qui incarne ces deux « lubies » à la fois a été dirigé de manière un peu excentrique, si bien que cela accentue encore mon énervement face à cette transposition. Cependant, j’ai adoré retrouver Solveig Maupu, son regard malin et plein de vie, et qui rend malgré tout son personnage attachant.

La mise en scène de Sophie Lecarpentier ne déçoit pas : rythme enlevé, dynamisme, tableaux évocateurs, je retrouve son entrain avec plaisir. La seule chose qui manque, c’est peut-être un propos un peu moins éparpillé, une partition plus riche, un regard plus guidé sur l’histoire qu’elle nous raconte. Et, évidemment, un comédien plus Flaubertien… J’avais beaucoup aimé Julien Saada dans Du bouc à l’espace vide cet été, mais le spectacle appelait ce constant empressement qui résonne dans sa diction. Pour incarner Frédéric, c’est plus gênant : il semble cracher les mots là où on attendrait un rêveur, calme, se laissant porter. Personnage omniprésent, je dois reconnaître que cette erreur de casting m’a un peu gâché le plaisir.

Le reste de la distribution, en revanche, est tout à fait cohérent. Incarnant le meilleur ami de Frédéric, Xavier Clion est le pendant apaisé, calme et réfléchi du personnage principal. Son regard doux et sa voix posée sont bienvenus dans un monde où tout semble évoluer en accéléré. Valérie Blanchon a su trouver ce truc qui provoque l’admiration chez Mme Arnoux et son personnage a quelque chose d’aérien qui jure avec les autres personnages beaucoup plus prosaïques. Enfin, Stéphane Brel est un Jacques Arnoux complètement contemporain, startuper pressé, dont le comportement initialement bouillonnant semble évoluer au fil de la pièce. Un personnage qu’il aurait pu être intéressant de creuser davantage.
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