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Célia Clavel
Célia Clavel
The best critique ever
35 ans
9 espions
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Son blog : https://twitter.com/celiayakoubou
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Ses critiques

61 critiques
Hôtel Feydeau

Hôtel Feydeau

8/10
59
Ce patchwork joyeux et foutraque à la sauce "Palace" est très rafraichissant.

L'exercice est périlleux: adapter en courtes scènes plusieurs des pièces de Feydeau nécessitant un peu de temps pour installer leur potentiel comique. Mais le pari est plutôt réussi.
Georges Lavaudant réussit à faire ressortir l'essentiel du propos des dernières pièces de Feydeau, les affrontements d'un couple dans son intimité où l'homme, animal social, est toujours égoïste et un peu lâche et la femme règne sans partage dans le seul espace qui lui est laissé: son foyer.

Jolie soirée.
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La Femme Rompue

La Femme Rompue

7/10
22
Très belle performance de Josiane Balasko en femme égarée et brisée par la vie.
Il en faut du talent pour pouvoir jouer un tel personnage, d'une puissance et d'une force rare en laissant entrevoir les fêlures et les regrets d'une vie.

Un bémol cependant, l'adaptation du texte par Hélène Fillières donne une dimension toute différente au texte de Beauvoir. Alors qu'on nous présente une femme presque odieuse et qu'on pourrait imaginer "responsable" de sa situation, Simone de Beauvoir a un regard moins dur où l'auto-deception est la cause de tous les maux.
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Gaspard Proust

Gaspard Proust

8,5/10
172
Toujours aussi cynique, toujours aussi grinçant, Gaspard Proust revient plus mordant que jamais.

Impossible d'être déçu, il est tel qu'on l'aime, détestable et misanthrope.

Je me pose une question toutefois, qui pourrait peut-être lui inspirer un prochain spectacle : POURQUOI EST-IL SI MÉCHANT ?
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Pour la carte postale, j'aurais préféré la vierge en pyjama

Pour la carte postale, j'aurais préféré la vierge en pyjama

7,5/10
26
Suzanne est une adolescente. Elle est au collège et en proie à tous les doutes que l’on traverse pendant cette période turbulente, faite de découvertes, de transformations et de restes d’enfance.

Suzanne, c’est une amie, une jeune amoureuse, une fille et une petite-fille. Et c’est au travers des lettres et des petits mots de son entourage qu’elle se dessine et apparaît sous nos yeux comme le témoin d’une génération.

Construit à partir des véritables lettres reçues par la metteuse en scène Louise Bataillon, entre sa classe de cinquième et de troisième, le spectacle nous propose le portrait en creux d’une ado, ses préoccupations et sa quête d'identité qui, bien qu'ici ancré dans les années 2000, avant l'ère du smartphone et de la communication instantanée, restent universelles.

Le travail de la mise en scène permet de rendre vivants ces courts écrits : les personnages identifiés par des totems où sont accrochés des objets leur appartenant, le travail graphique d'Anouk Rabot réalisé en direct et projeté en vidéo et les intermèdes musicaux de tubes instantanément identifiables, parviennent à recréer le petit monde gentiment foutraque, hésitant et protégé d'une ado sans problème.

La pièce nous fait l’effet des chewing-gums Malabar que l'on mangeait adolescents. Sucrée et éphémère, elle nous ramène en un clin d'œil quinze ans en arrière.
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Présents Parallèles

Présents Parallèles

7/10
42
Nous sommes d'abord dans un 2016 parallèle. Celui où les nazis auraient gagné la guerre, où la censure ferait rage et où monter une pièce de théâtre écrite pendant la guerre parlant de liberté, de féminisme et d'homosexualité serait un acte révolutionnaire et suicidaire.
Nous sommes ensuite en 1943, pendant l'écriture de cette pièce sulfureuse alors que le petit monde du théâtre a déjà renoncé à résister.
Nous sommes enfin de retour en 2016, notre 2016, lors de la mise en scène de cette pièce, où les acteurs semblent vivre en vrai le destin de leurs personnages...

L'histoire est ambitieuse, complexe et pouvant en dérouter certains. Mais la mise en scène plutôt réussie de Christophe Barbier et le talent des acteurs nous permettent de nous accrocher aux wagons de cette machine à voyager dans le temps et de suivre le destin de cette pièce au travers les époques, réelles ou non.

Car c'est surtout de cela dont il s'agit : du théâtre, de son importance intellectuelle, de celle qu'il n'a pas eu pendant les temps troublés de la Seconde Guerre Mondiale et de la vigilance dont on doit faire preuve pour que l'on puisse toujours continuer à tout dire et tout jouer.

"Présents parallèles" est une pièce exigeante mais assez réussie.
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