Critiques pour l'événement Rimbaud Verlaine, Eclipse Total
Nous sommes à l’automne 1781. Paul Verlaine, auteur de son premier recueil de Poèmes Saturniens vient d’épouser Mathilde, 17 ans, lorsqu’il rencontre Arthur Rimbaud, 17 ans également…
Coup de foudre, début d’une passion dévorante qui sera ponctuée d’escapades entre Bruxelles, Paris et Londres, de ruptures, de retrouvailles, de rixes, d’étreintes, de coups de couteaux et de revolvers, de shoots d’opium et de cuites à l’absinthe... Une histoire de couples avec un « s » donc, Verlaine oscillant constamment entre Mathilde et celui qu’il prénomme « Rimb ».
Eprouver tout ce que l’homme est capable d’éprouver, laisser le poète retranscrire ses émotions avec des mots… A l’origine il y eut un pacte entre les deux artistes qui s’étaient juré de « connaître un absolu ». Au-delà d’un simple biopic, le spectacle propose une réflexion sur le génie de l’artiste : est-il nécessairement lié à la transgression, à une forme d’auto-destruction ?
Didier Long qui n’était pas remonté sur scène depuis un quart de siècle a eu la bonne idée de se distribuer dans le rôle de Paul Verlaine. Tout en finesse, il n’est qu’hésitations, entre une Jeanne Ruff discrète et fragile et un Julien Alluguette solaire, insolent, presque animal. On sort de là remonté à bloc, ayant enfin compris d’où viennent les plus beaux vers de la langue française.
Coup de foudre, début d’une passion dévorante qui sera ponctuée d’escapades entre Bruxelles, Paris et Londres, de ruptures, de retrouvailles, de rixes, d’étreintes, de coups de couteaux et de revolvers, de shoots d’opium et de cuites à l’absinthe... Une histoire de couples avec un « s » donc, Verlaine oscillant constamment entre Mathilde et celui qu’il prénomme « Rimb ».
Eprouver tout ce que l’homme est capable d’éprouver, laisser le poète retranscrire ses émotions avec des mots… A l’origine il y eut un pacte entre les deux artistes qui s’étaient juré de « connaître un absolu ». Au-delà d’un simple biopic, le spectacle propose une réflexion sur le génie de l’artiste : est-il nécessairement lié à la transgression, à une forme d’auto-destruction ?
Didier Long qui n’était pas remonté sur scène depuis un quart de siècle a eu la bonne idée de se distribuer dans le rôle de Paul Verlaine. Tout en finesse, il n’est qu’hésitations, entre une Jeanne Ruff discrète et fragile et un Julien Alluguette solaire, insolent, presque animal. On sort de là remonté à bloc, ayant enfin compris d’où viennent les plus beaux vers de la langue française.
Il y a peut être quelques longueurs mais ce spectacle est très séduisant.
Une mise en scène simple qui met en valeur la pièce dans ce petit sous sol du théâtre de Poche.
Une mise en scène simple qui met en valeur la pièce dans ce petit sous sol du théâtre de Poche.
C'était la première et comme toutes les premières, on essuie un peu les plâtres ! Plus le discours de Philippe Tesson, ça rallonge un peu.
La salle est petite, et parfois il faut tendre l'oreille, les comédiens parlaient trop pour eux !
Je n'ai pas vu le film, j'ai toujours un peu de réticences pour les biographies filmées...
Quelques coupes seraient bienvenues.
Julien Alluguette est un jeune Rimbaud fougueux, un débit un peu rapide au début, le trac sans doute. Didier Long est un Verlaine tourmenté et la jeune Jeanne Ruff, déjà vue dans "Chère Elena" apporte un peu de fraîcheur dans cette "descente aux enfers".
La salle est petite, et parfois il faut tendre l'oreille, les comédiens parlaient trop pour eux !
Je n'ai pas vu le film, j'ai toujours un peu de réticences pour les biographies filmées...
Quelques coupes seraient bienvenues.
Julien Alluguette est un jeune Rimbaud fougueux, un débit un peu rapide au début, le trac sans doute. Didier Long est un Verlaine tourmenté et la jeune Jeanne Ruff, déjà vue dans "Chère Elena" apporte un peu de fraîcheur dans cette "descente aux enfers".
Très belle pièce sur la passion Rimbaud/Verlaine.
Tout aussi bouleversant que le film. Julien Alluguette a réussi à me faire oublier DiCaprio et ça, c'est quand même la classe. Lui et Didier Long mènent un spectacle haletant.
La pièce a été légèrement rallongée par rapport à celle d'Avignon ce qui est un peu dommage car il y a quelques petites longueurs.
Tout aussi bouleversant que le film. Julien Alluguette a réussi à me faire oublier DiCaprio et ça, c'est quand même la classe. Lui et Didier Long mènent un spectacle haletant.
La pièce a été légèrement rallongée par rapport à celle d'Avignon ce qui est un peu dommage car il y a quelques petites longueurs.
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