Critiques pour l'événement Oh my God !
OH MY GOD. C'était tellement.... nul !
Vulgaire, inutile, pas drôle. Bref, décevant.
Vulgaire, inutile, pas drôle. Bref, décevant.
L’heure de début approchant, les comédiens sont revenus sur scène pour interpréter deux chansons d’un groupe de rock encore inconnu, le God’s band.
La bonne humeur est installée et les ventilos tournent à plein régime. On peut commencer l’histoire. Les blagues et les sous-entendus au raz du string débutent. Rien d’étonnant, le ton était donné dès le début, ici on va faire de l’humour potache.
Les situations cocasses se suivent sans rien de très surprenant et tout semble couler de source. Puis au milieu du spectacle, des longueurs se font sentir et le temps commence à se faire long. Et voilà, qu’une scène avec un rapport sexuel entre marionnettes se fait, mais cela tombe comme un cheveu sur la soupe. C’est comme s'il fallait pour rompre la monotonie qui s’installe, faire une scène drôle. L’interprétation de Thomas Ronzeau et de Marie-Camille Soyer est juste toutefois l’enchaînement avec la scène d’avant semble un peu étrange. Pour avancer doucement après jusqu’à la fin tant attendue.
Ce qui m’a dérangé aussi c’est le fait que les enfants sont censés avoir 17 ans et sont interprétés par des hommes de plus de 30 ans. D’autant plus, qu’ils sont assez charmants au naturel et n’ont pas un physique de gamin. Ils jouent bien le gamin timide et le wesh wesh cependant on voit qu’ils jouent un rôle. Ils ne peuvent être ces personnages. Tadrina Hocking, qui interprète la mère n’est pas beaucoup plus âgée qu’eux. Alors comment peut-être elle maman et ressembler physiquement aux enfants avec qui elle travaille ? Seule Marie-Camille Soyer arrive à habiter avec douceur et simplicité une adolescente timide. Patrice Latronche est excellent en celui de curé un peu vicieux. Je dirais que c’est un peu dommage qu’ils soient assez peu présents en général dans l’histoire.
Tout repose sur Thomas Ronzeau qui joue un schizophrène qui parle à sa marionnette pendant presque les 1h50 de spectacle. Il se donne à 300% et y met toute l’énergie qu’il a. C’est une très belle prestation qui montre son talent à faire deux personnages en un. Cela a dû lui demander beaucoup de travail sur sa voie, sa posture et le maniement de la marionnette. (Attention, ne vous n’attendez pas à voir le petit frère de Jeff Panacloc car on voit ces lèvres bougées. Au bout d’un moment, rassurez-vous on n’y prête plus attention. Ventriloque, c’est un métier aussi.) Bravo en tout cas pour ce beau travail qui doit le changer de la comédie musicale La légende du roi Arthur.
Un spectacle de divertissement loufoque très grand public qui manque de fraîcheur et d’originalité pour accrocher vraiment. Heureusement que les comédiens y mettent tout leur cœur pour que le temps passe alors plus vite.
La bonne humeur est installée et les ventilos tournent à plein régime. On peut commencer l’histoire. Les blagues et les sous-entendus au raz du string débutent. Rien d’étonnant, le ton était donné dès le début, ici on va faire de l’humour potache.
Les situations cocasses se suivent sans rien de très surprenant et tout semble couler de source. Puis au milieu du spectacle, des longueurs se font sentir et le temps commence à se faire long. Et voilà, qu’une scène avec un rapport sexuel entre marionnettes se fait, mais cela tombe comme un cheveu sur la soupe. C’est comme s'il fallait pour rompre la monotonie qui s’installe, faire une scène drôle. L’interprétation de Thomas Ronzeau et de Marie-Camille Soyer est juste toutefois l’enchaînement avec la scène d’avant semble un peu étrange. Pour avancer doucement après jusqu’à la fin tant attendue.
Ce qui m’a dérangé aussi c’est le fait que les enfants sont censés avoir 17 ans et sont interprétés par des hommes de plus de 30 ans. D’autant plus, qu’ils sont assez charmants au naturel et n’ont pas un physique de gamin. Ils jouent bien le gamin timide et le wesh wesh cependant on voit qu’ils jouent un rôle. Ils ne peuvent être ces personnages. Tadrina Hocking, qui interprète la mère n’est pas beaucoup plus âgée qu’eux. Alors comment peut-être elle maman et ressembler physiquement aux enfants avec qui elle travaille ? Seule Marie-Camille Soyer arrive à habiter avec douceur et simplicité une adolescente timide. Patrice Latronche est excellent en celui de curé un peu vicieux. Je dirais que c’est un peu dommage qu’ils soient assez peu présents en général dans l’histoire.
Tout repose sur Thomas Ronzeau qui joue un schizophrène qui parle à sa marionnette pendant presque les 1h50 de spectacle. Il se donne à 300% et y met toute l’énergie qu’il a. C’est une très belle prestation qui montre son talent à faire deux personnages en un. Cela a dû lui demander beaucoup de travail sur sa voie, sa posture et le maniement de la marionnette. (Attention, ne vous n’attendez pas à voir le petit frère de Jeff Panacloc car on voit ces lèvres bougées. Au bout d’un moment, rassurez-vous on n’y prête plus attention. Ventriloque, c’est un métier aussi.) Bravo en tout cas pour ce beau travail qui doit le changer de la comédie musicale La légende du roi Arthur.
Un spectacle de divertissement loufoque très grand public qui manque de fraîcheur et d’originalité pour accrocher vraiment. Heureusement que les comédiens y mettent tout leur cœur pour que le temps passe alors plus vite.
A conseiller uniquement pour ceux qui aiment l'humour trash et vulgaire.
Décevant sur quelques points, il y a toutefois une bonne surprise par la mise en scène et le décor.
Décevant sur quelques points, il y a toutefois une bonne surprise par la mise en scène et le décor.
C'est délicieusement irrévérencieux, très bien interprété et mis en scène. De grands moments de rires.
La scène des deux marionnettes qui copulent est culte.
Malgré cela, il y a quand même de grosses baisses de rythme. Il y a quelque chose qui ne prend pas. La dramaturgie semble chercher sa voie parfois. Azzopardi fait tout ce qu'il peut pour y palier mais il n'est que l'adaptateur.
On passe tout de même un bon moment avec un gout d'inachevé. La thématique de l'adolescence était pourtant une belle idée.
La scène des deux marionnettes qui copulent est culte.
Malgré cela, il y a quand même de grosses baisses de rythme. Il y a quelque chose qui ne prend pas. La dramaturgie semble chercher sa voie parfois. Azzopardi fait tout ce qu'il peut pour y palier mais il n'est que l'adaptateur.
On passe tout de même un bon moment avec un gout d'inachevé. La thématique de l'adolescence était pourtant une belle idée.
Une pièce décevante.
Les personnages sont ridiculement caricaturaux. Aucune finesse, aucune subtilité ni dans l'humour, ni dans le texte. La religion, l'impudeur et la grossièreté n'ont rien à voir avec le thème réel de la pièce, qui est le tourment psychologique d'un enfant incapable de communiquer avec sa mère. La pièce aurait pu être jouée avec seulement 2 acteurs, les autres n'apportant rien à part le ridicule.
Seul point positif à cette mascarade grotesque, Thomas Ronzeau, qui, habité par son personnage, a su relever le niveau de cette pièce. Et un point mitigé pour le décor, certes riche et recherché, mais peu subtil à un certain moment...
Les personnages sont ridiculement caricaturaux. Aucune finesse, aucune subtilité ni dans l'humour, ni dans le texte. La religion, l'impudeur et la grossièreté n'ont rien à voir avec le thème réel de la pièce, qui est le tourment psychologique d'un enfant incapable de communiquer avec sa mère. La pièce aurait pu être jouée avec seulement 2 acteurs, les autres n'apportant rien à part le ridicule.
Seul point positif à cette mascarade grotesque, Thomas Ronzeau, qui, habité par son personnage, a su relever le niveau de cette pièce. Et un point mitigé pour le décor, certes riche et recherché, mais peu subtil à un certain moment...
Une pièce très décevante !
Sébastien Azzopardi nous habitue à beaucoup mieux normalement.
Le thème est déjà vu, les scènes souvent vulgaires et longues. Je me suis beaucoup ennuyée.
Les personnages ne sont pas profonds, ils restent caricaturaux tout au long de la pièce.
Je vous déconseille.
Sébastien Azzopardi nous habitue à beaucoup mieux normalement.
Le thème est déjà vu, les scènes souvent vulgaires et longues. Je me suis beaucoup ennuyée.
Les personnages ne sont pas profonds, ils restent caricaturaux tout au long de la pièce.
Je vous déconseille.
C'est sûr, on peut rire de tout mais pas avec n'importe qui !
Quant à moi, j'ai eu beaucoup de plaisir à voir cette pièce :
- des acteurs qui commencent leur professionnalisme dès la file d'attente
- des changements de décors rapides et détaillés
- des marionnettes (l'une c'est Peggy, l'autre Satan l'habite) vivant littéralement leur propre vie au point qu'on en oublie la manipulation
Peut-être l'ensemble est-il un peu long ?
Quant à moi, j'ai eu beaucoup de plaisir à voir cette pièce :
- des acteurs qui commencent leur professionnalisme dès la file d'attente
- des changements de décors rapides et détaillés
- des marionnettes (l'une c'est Peggy, l'autre Satan l'habite) vivant littéralement leur propre vie au point qu'on en oublie la manipulation
Peut-être l'ensemble est-il un peu long ?
Comédie extraordinaire. Comédiens/Musiciens /Marionettites éblouissants. Mention spéciale à Thomas Ronzeau, marionettitse génial. Rythme endiablé, changements de décor incroyables. Histoire touchante.
Très très grand spectacle.
Très très grand spectacle.
Oh my God, c’est le cas de le dire ! Cette comédie satanique déjantée jusqu'à l’excès m’a laissé un goût mitigé !?!
Les décors sont stupéfiants comme les substances que semblent avoir pris les acteurs tant leur jeu frise le délire paranoïaque. Ils sont fous ces cathos. Le thème de la pièce est intéressant et amusant, mais ça part en vrille jusqu’à un simulacre érotique par procuration. Le grotesque flirte avec le grossier et même si c’est souvent drôle c’est d’un humour lourdingue. Pour couronner le tout, deux heures, c’est diablement long.
Un point positif pourtant la prestation explosive et démoniaque de Thomas Ronzeau qui fait littéralement vivre sa marionnette.
Les décors sont stupéfiants comme les substances que semblent avoir pris les acteurs tant leur jeu frise le délire paranoïaque. Ils sont fous ces cathos. Le thème de la pièce est intéressant et amusant, mais ça part en vrille jusqu’à un simulacre érotique par procuration. Le grotesque flirte avec le grossier et même si c’est souvent drôle c’est d’un humour lourdingue. Pour couronner le tout, deux heures, c’est diablement long.
Un point positif pourtant la prestation explosive et démoniaque de Thomas Ronzeau qui fait littéralement vivre sa marionnette.
Inutile de vous déplacer, vous pouvez rester devant votre TV, vous trouverez au moins aussi mauvais mais au moins c'est compris dans votre abonnement.
Ça faisait longtemps que je n'avais pas vu aussi vulgaire et racoleur, une pâle caricature de la troupe du splendid des années 80 à laquelle a été ajouté les grenouilles du muppet show...
Ça faisait longtemps que je n'avais pas vu aussi vulgaire et racoleur, une pâle caricature de la troupe du splendid des années 80 à laquelle a été ajouté les grenouilles du muppet show...
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