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Amateur de sorties théâtrales et ex-blogueur de critiques théâtre du blog Face à la Scène. Compte Twitter : @PlacePremium.
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Ses critiques

94 critiques
Le Cas Martin Piche

Le Cas Martin Piche

9/10
163
Au Petit Montparnasse (dont l’entrée est située tout au fond d’une allée discrète derrière le Théâtre du Montparnasse) on est placé à la rangée et non au siège, c’est une des particularités de cette petite salle à la programmation éclectique (dernièrement j’y ai apprécié TANGO EN BORD DE MER). C’est donc depuis la rangée 7, bien face à la scène, que j’ai assisté à la séance d’analyse du CAS MARTIN PICHE. Je ne connaissais pas du tout l’univers de Jacques MOUGENOT donc je ne savais pas à quoi m’attendre. Finalement les meilleures pièces sont celles pour lesquelles on a aucune attente particulière. Surtout quand elle sont bonnes.

De prime abord le thème du patient qui voit son psy n’est pas spécialement nouveau au théâtre, de nombreuses pièces ayant déjà traité du sujet. Mais Martin Piche (interprété par Jacques MOUGENOT lui-même) souffre d’un mal original : l’ennui chronique. Tout l’ennuie : de ses loisirs à son travail, de la lecture de livres au cinéma, tout vous dis-le, tout le temps, même sa propre femme ! C’est donc peu convaincu et acculé par la pression de sa dite épouse qu’il se rend en consultation chez un psychiatre interprété par Hervé DEVOLDER, curieux de comprendre ce cas inhabituel. De ce postulat de départ sur l’ennui profond MOUGENOT a écrit une pièce originale, fine et teintée d’absurdité à la fois où on se s’ennuie pas une seconde. Un comble !

Car la confrontation de ces deux protagonistes que tout oppose entraîne une joute verbale exquise et des dialogues à la fois riches, plein de second degré et d’une drôlerie sans nom ! Le pitch de la pièce résume parfaitement mon analyse : « les situations comiques s’enchaîneront, passant de l’insolite au burlesque, du touchant au cruel, de l’absurde à l’inquiétant » (à ce titre le passage où Martin Piche évoque son travail est une petite perle). Mais de l’absurde finement écrit, bien ciselé et d’une grande subtilité ! Ici le rire intervient au regard d’une situation, d’une réponse, d’un simple geste aussi. L’humour y est accessible, fait réfléchir mais pour autant n’est pas élitiste. Si vous aimez les jeux de mots vous serez servi aussi ! Je tire mon chapeau à MOUGENOT pour sa performance scénaristique.

Question performance je salue également celle d’acteur de DEVOLDER, que j’ai trouvé particulièrement bon, juste et investi dans son interprétation. De son côté MOUGENOT propose un jeu plus détaché et désinvolte mais qui finalement colle parfaitement au personnage de Piche. Les deux comparses évoluent dans un décor sobre mais réussi, au gré d’une mise en scène efficace et rythmée qui se prête parfaitement aux élucubrations de notre anti-héros, une mise en scène signée DEVOLDER lui-même. Tout est réuni pour nous faire passer un excellent début de soirée et nous divertir pendant 1h15. Et c’est avec la sensation de faim d’un boulimique pas rassasié que l’on assiste au final plein de rebondissements de cette pépite théâtrale qu’on aurait voulu voir continuer encore un peu. Et je vous assure que ce n’est pas par politesse que le public a applaudi, longuement, notre remarquable duo.

En fin de représentation j’ai également apprécié le petit mot adressé au dit public pendant lequel les comédiens se présentent mutuellement (c’est finalement assez rare d’assister à une pièce interprétée à la fois par son auteur et son metteur en scène) et font la promotion de leur autre spectacle respectif à l’affiche actuellement : le seul en scène L’AFFAIRE DUSSAERT pour MOUGENOT (une parodie de colloque sur l’art contemporain qu’il joue en alternance avec MARTIN PICHE dans la même salle) et le spectacle musical KIKI DE MONTPARNASSE, écrit et composé par DEVOLDER au Théatre de la Huchette. Rendez vous est pris.
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Maris et Femmes

Maris et Femmes

7/10
162
Représentation du 29/01/16. Direction la salle Rejane du Théâtre de Paris pour MARIS ET FEMMES, une pièce chorale adaptée du film de 1992 de Woody ALLEN. Si la trame narrative, sans grande surprise, est fidèle aux thèmes prisés par Sir Woody, l'exécution est franchement réussie grâce à une mise en scène astucieuse et un casting sans fausse note (ou presque).

Quand on va voir du Woody ALLEN, que ça soit au cinéma ou au théâtre, on sait que l'on va invariablement assister à la remise en question de couples en pleine crise, qui s’aiment et se déchirent, qui se séparent et se remettent ensemble à la fin (ou pas). MARIS ET FEMMES ne déroge pas à la règle. C’est ainsi que la pièce débute par l'annonce de la séparation à l’amiable de Jack et Sally (interprétés respectivement par Marc FAYOT et Florence PERNEL) au cours d’un dîner avec leur couple d’amis Gabe et Judy (José PAUL et Hélène MEDIGUE), qui de son côté a son lot de problèmes conjugaux aussi comme vous pouvez l'imaginer. Rien de bien original donc.

Sauf que le point fort de Woody ALLEN c’est les personnages. Bien construits, crédibles, rarement manichéens, ils ont des failles comme chacun d’entre-nous, que l'auteur exploite allègrement grâce à son humour particulier et son sens des dialogues. L’écriture est précise et les mots choisis : on rit des situations dans lesquelles s'empêtrent les personnages et des réactions qui en résultent.

L’humour est fin, subtil mais abordable ! MARIS ET FEMMES est une pièce que l’on apprécie avec simplicité. Pas besoin d’intellectualiser son plaisir. Du théâtre qui ne se regarde pas le nombril en quelque sorte et à ce titre l’adaptation de Christian SIMEON est réussie. Évidemment, les personnes hermétiques à l'univers particulier de Woody ALLEN trouveront ici un intérêt tout relatif.

Les dialogues sont servis par un très beau casting. Florence PERNEL, d'abord, parfaite dans son personnage de femme rigide (et frigide). Elle apporte à son rôle un brin de folie typiquement Van de Kampien. José PAUL ensuite, au meilleur de sa forme. Le type a le sens du rythme et de la comédie tout en débitant son texte avec un naturel confondant. Il colle parfaitement au rôle que s'était réservé Woody dans la version cinématographique. Mais également Emmanuel PATRON que j'avais fort apprécié dans Hollywood (entre autres) et Hélène MEDIGUE dont les monologues sont des petites pépites. Le reste du casting ne m’a pas spécialement convaincu.

Tous ces comédiens sont mis en valeur par une excellente mise en scène, dynamique et astucieuse. En lieu et place des 2 ou 3 scènes habituelles on assiste à une succession de scènettes qui s'enchaînent sans interruption. Quand, en fin de scène, des acteurs sortaient par la droite, d’autres entraient par la gauche pour la scène suivante et ainsi de suite. Un vrai petit film sur scène ! Je tire mon chapeau au metteur en scène de Stéphane HILLEL. Une mise en scène qui s’articule autour d’un décor de prime abord assez laid et froid, composé de cubes et de colonnes représentant les buildings de Manhattan, mais qui s'anime grâce à un jeu de lumière réussi et à des effets sonores réalistes et adaptés à chaque scène. Parfait pour mettre dans l'ambiance et donner du dynamisme à la pièce !

Un dernier mot sur cette salle Rejane, parent pauvre de la grande salle du Théatre de Paris, dont la scène est agencée de façon à ce que l'on voit particulièrement bien quelle que soit sa place dans la salle (et quelle que soit sa catégorie). Sa programmation est pertinente et bien souvent meilleure que dans la salle mère (dans laquelle se joue actuellement L'Envers du Décor). En plus le vestiaire est offert et le placement est inclus (interdiction de donner une petite pièce à l'ouvreuse). Que demander de plus.
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Hier est un autre jour...

Hier est un autre jour...

5/10
228
Représentation du 28/01/16. Attiré par un concept assez peu exploité au théâtre - la comédie fantastique (ici vaguement inspirée du film “Un jour sans fin” de Harold Ramis avec Bill Murray) - et par la promesse d'une bonne tranche de rire (la pièce à été nommée aux Molières de la Meilleure Comédie en 2014) je n'ai pas hésité une seconde pour découvrir les aventures de Pierre Maillard, avocat bourré de tocs, qui va revivre les mêmes événements suite à l'arrivée d’un mystérieux personnage (insérer musique de suspense ici).

Dans cette pièce de Sylvain Meyniac et Jean-François Cros, l'excellent Laurent Gamelon a la charge de reprendre le rôle interprété à l'origine par le non moins excellent Daniel Russo. Si Gamelon est largement à la hauteur de la tâche, le résultat est plutôt décevant. Car d’un concept prometteur les auteurs ont accouché d’une souris. L'idée de départ est pourtant fort intéressante mais de mon point de vue elle n'est pas aboutie la faute à une histoire somme toute banale et pas assez développée. Les auteurs se sont en effet contentés de quelques scènes qui se répètent à foison en changeant quelques détails ici et là mais en dehors de ça il ne se passe pas grand chose. Pour une comédie l’écriture est poussive et le texte plutôt creux : aucune blague ou dialogues percutants ne viennent pimenter la pièce. Ici on préfère jouer la facilité en se basant uniquement sur le comique de répétition. Du coup le sentiment que ça tourne en rond nous assaille rapidement.

Si on rit un peu on sourit quand même beaucoup grâce à Gamelon qui porte littéralement la pièce sur ses (larges) épaules. Clairement c'est le chef de bande, les autres acteurs se contentant de quelques miettes. Mais il cabotine un peu trop à mon goût avec des tocs qui n’apportent rien à la pièce si ce n’est (encore une fois) une certaine facilité. Je salue tout de même la performance d'acteurs de la troupe car les scènes se ressemblant tellement il y a vraiment matière à confusion. Rien de tel ici la pièce est d'une grande fluidité, sans temps mort. La mécanique est extrêmement bien huilée. Pourtant la mise en scène de Eric Civanyan n’a rien d’original et n’est pas mise en valeur, la faute à un décor unique mal adapté à la thématique de la pièce. Mais un décor ça coûte cher et au Palace on mutualise ! Hier est un autre jour se joue en effet dans le même le décor que Toc Toc (à quelques accessoires près). Le sujet méritait mieux, peut-être quelque chose de plus moderne et de moins figé. Heureusement il existe quelques effets visuels bien réussis (soyez attentif face à cette boite à cigares).

Pour conclure, si l'ensemble est de bonne facture et si l’on passe tout de même un bon (mais long) moment il n’en demeure pas moins que l’on reste sur sa faim. Et moi quand je ressors du théâtre j’apprécie d’être bien rassasié. Le concept étant moins abouti que celui du film, peut-être l’idée aurait-elle été mieux développée au cinéma…

A noter que c'est la deuxième pièce à laquelle j’assiste dans le cadre de l'opération “Le Palace Se Plie En 4” et c'est la deuxième fois que la durée annoncée ne correspond pas à la durée réelle. Du coup la pièce déborde systématiquement sur le spectacle suivant. Soyez avertis spectateurs de Welcome à St-Tropez et des 39 Marches et prévoyez une bonne demi-heure de retard (un début aux environs de 22h). Il y a un donc réel problème de programmation qui aurait été simplement résolu en faisant débuter la pièce une demi-heure plus tôt. CQFD.
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Les favoris

Les favoris

4,5/10
63
Représentation du 23/01/16. Grand fan de l'écriture et de l'humour de Frank Le Hen (notamment Revenir Un Jour et Bonjour Ivresse!, pièce pendant laquelle je me souviens de n'être pas passer loin de la fuite urinaire) c'est uniquement sur son nom que je me suis décidé à réserver cette pièce. A mes yeux le type est bankable, c’est pourquoi en général je suis rarement déçu. Les Favoris est donc l’exception qui confirme la règle.

Pour sa première création le Théâtre de 10 Heures nous propose une comédie dans l'air du temps signée Eric Delcourt, auteur notamment de Hors Piste et de la Soeur du Grec. En plein désarroi Camille envoi un texto groupé à l’ensemble de ses favoris, mais seul trois d’entre-eux répondent à l’appel. Le temps d'une soirée ils vont “se disputer la première place du podium pour prétendre être son meilleur ami” (dixit le pitch officiel). Jalousies, coups bas et joutes verbales sont donc au programme. Tout ce que j’aime ! Mais si sur le papier il y a matière à bonne poilade la mayonnaise ne prend pas vraiment, la faute à une pièce construite en 2 temps.

Dans la première partie, portée par le duo masculin (Le Hen et Cédric Clodric), l'ennui gagne vite car il faut bien avouer qu’il ne se passe pas grand chose. On est plus dans la satire sociétale et la dénonciation de nos habitudes de citadins égoïstes que dans la comédie. Aussi rires et bons mots se font rare et si l’on sourit un peu, voire souvent, on rit finalement peu, voire rarement. Clairement la patte de Frank Le Hen me manque avec son humour et ses références qui me parlent directement. Mais ici nous sommes dans un autre univers, sans doute moins farfelu, sans doute moins adapté à mes attentes aussi.

La pièce prend réellement son envol dans la seconde partie avec l’arrivée du personnage féminin interprétée par Ambre Ferrante. Une vraie boule d'énergie ! Son personnage apporte du rythme et déclenche, enfin, les joutes verbales tant attendues (âmes chastes s'abstenir). Ça se lâche enfin sur scène et ça fait du bien. Dommage qu’elle ne soit pas rentrée plus tôt... Mais si on s’amuse enfin, le fil des “favoris”, lui, est un peu trop étiré et atteint vite ses limites. Peut être aurait-il fallu deux ou trois personnages supplémentaire pour le développer davantage. Un dîner de favoris pour déterminer le favori des favoris aurait été intéressant à voir !

Si la pièce ne m’a pas spécialement convaincue, à l’inverse les comédiens font parfaitement le job. Cédric Clodric est parfait dans son rôle de beauf homophobe, avec une interprétation proche de Christian Clavier à certains moments. Ambre Ferrante est naturelle, charismatique et pleine de charme. Quant à Frank Le Hen, il fait du Frank Le Hen. Dans le bon sens du terme. Son personnage n’est finalement pas si loin de celui de Tom Valentin qu'il a interprété dans ses deux pièces précédentes. Le trio ayant un réel capital sympathie, un petit grain de folie supplémentaire dans l’écriture les aurait sans doute mis un peu plus en valeur. La pièce étant encore en rodage, le potentiel est là.
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Madiba, le Musical

Madiba, le Musical

2/10
125
Représentation du 23/01/16. Autant vous prévenir de suite la critique qui va suivre est biaisée puisque basée uniquement sur la première partie du spectacle. J'assume avec tristesse être parti à l'entracte (qui, excusez du peu, est intervenu au bout d'1h25 interminables), ce qui de mémoire ne m'était arrivé qu'une seule fois. Récit d’une déception annoncée...

J’étais arrivé enthousiaste dans ce beau Théâtre du Comédia, tout heureux à l'idée d’assister à un spectacle qui rend hommage à ce grand homme et impatient de retrouver Jean-Luc Guizonne, Manu Vince et James Noah, un trio que j'avais apprécié, que dis-je admiré dans l'extraordinaire “Gospel Sur La Colline” de Benjamin Faleyras (que j'ai eu le plaisir de voir 5 fois avec le même bonheur). Mais mon enthousiasme n’était pas suffisant pour affronter l’heure et demi d’ennui qui allait suivre.

Pour rentrer dans le vif du sujet je dirais que Madiba pêche sur l’essentiel, l’histoire de Nelson Mandela qui est effleurée, servant de prétexte fallacieux pour raconter une bluette peu inspirée sur fond de contexte historique. Une bluette ennuyeuse et sans âme qui plus est. J’aurais aimé qu’on s'intéresse davantage à ce personnage, qu’on mette en valeur ses idées et son combat. Qu’on nous le fasse connaître et comprendre, tout simplement. Nommer le spectacle Madiba et ne pas creuser son histoire c’est quand même fort de café !

Le tout n’est pas mis en valeur la faute à des décors assez laids (de grands rideaux moches) et une lumière assez sombre. Quelle idée de laisser la scène dans la pénombre pendant une bonne partie du spectacle, on est venu pour voir du show que diable, mais qu’est-ce que c’est que cette mise en scène ? Je n’ai pas compris le travail du metteur en scène Pierre-Yves Duchesne (pourtant grand professionnel de la scène musicale) si ce n’est cette volonté affichée de vouloir cérébraliser son propos par un visuel assez laid. J’irais plus loin en disant que la production a vu trop grand avec cette salle à la scène surdimensionnée. Une poignée de chanteurs devant un petit décor et une dizaine de danseurs qui s’agitent ça et là pour donner du contenu à cette grande scène vide... Du coup ça danse souvent… et longtemps. Seuls les quelques effets visuels et la scène dans la prison étaient bien sentis et plutôt réussis.

Côté musique j’avais pris soin de pas écouter l'album sorti plusieurs semaines avant la première pour être surpris et le découvrir sur scène. Grand mal m'en a pris tant la proposition de l’auteur est proche de l’encéphalogramme plat. Ici tout est terne et sans saveur. Le mélange de rythme africain, de chansons d’époques et de rap ne prend pas, la faute à des morceaux musicaux d’une grande fadeur et des paroles assez niaises qui, sur certains d’entre-eux, ne collaient même pas avec le rythme de la chanson ! C’est bien simple aucune chanson n’était à la hauteur, toutes manquaient de vigueur, d'énergie et de couleur. Seule la dernière chanson avant l’entracte a trouvé grâce à mes yeux (ou plutôt à mes oreilles) grâce à la voix parfaite et toujours juste de Jean-Luc Guizone et celle du responsable de la police (maginfique Roland Karl). Niveau qualité on est à des années lumière de la qualité des comédies musicales qui donnent la pêche à la “Gospel Sur La Colline” ou “Sister Act”. L’auteur, Jean-Pierre Hadida, a sans aucun doute fait un énorme travail d’écriture et de composition mais est passé à côté de son sujet. Mandela méritait mieux, le spectateur aussi.

Un dernier mot sur cette très belle salle du Théatre Le Comédia que je découvrais, agréable visuellement mais à l'acoustique perfectible et au confort spartiate : un carré or sur une simple chaise c’était une première ! Enfin, pour conclure cette diatribe, et parce que l'avis d'un seul homme ne fait pas profession de foi j'invite tout à chacun à se faire sa propre opinion en assistant à Madiba: Le Musical !, ne serait-ce ce que pour soutenir la troupe, involontaire pantin d'un auteur peu inspiré. N'est pas Faleyras qui veut.
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