Ses critiques
80 critiques
7/10
Difficile de me positionner sur cette pièce car c'est une pièce que j'aurais aimé adorer...
Le début de la pièce est plutôt réussi avec une atmosphère monastique et moyenâgeuse assez originale. La mise en scène et les décors sont réussis. Pas grand chose à dire sur le jeu des acteurs, une performance correcte dans l'ensemble.
Le problème, selon moi, ce sont les trop nombreux retournements de situation en passant par une histoire "de russe" très peu crédible. Alors certes, la scène finale crédibilise l'ensemble de la pièce (d'où mon 7) mais le spectateur a quand même été un peu trop baladé pendant 1 heure.
Petite précision, selon moi, la pièce a duré plus de 1h35 (env 1h50).
Le début de la pièce est plutôt réussi avec une atmosphère monastique et moyenâgeuse assez originale. La mise en scène et les décors sont réussis. Pas grand chose à dire sur le jeu des acteurs, une performance correcte dans l'ensemble.
Le problème, selon moi, ce sont les trop nombreux retournements de situation en passant par une histoire "de russe" très peu crédible. Alors certes, la scène finale crédibilise l'ensemble de la pièce (d'où mon 7) mais le spectateur a quand même été un peu trop baladé pendant 1 heure.
Petite précision, selon moi, la pièce a duré plus de 1h35 (env 1h50).
7,5/10
Un texte très didactique sur la vie de Jean-Baptiste Poquelin qui rend cette soirée passionnante.
Néanmoins je m'attendais à une prestation un peu plus vivante et personnelle de Francis Perrin. C'est plus la vie de Molière que l'on nous conte que la relation de Perrin avec le théâtre de Molière. Est-ce une certaine lassitude pour cette 3ème saison mais la passion est surtout présente dans les quelques moments un peu plus improvisés.
Néanmoins je m'attendais à une prestation un peu plus vivante et personnelle de Francis Perrin. C'est plus la vie de Molière que l'on nous conte que la relation de Perrin avec le théâtre de Molière. Est-ce une certaine lassitude pour cette 3ème saison mais la passion est surtout présente dans les quelques moments un peu plus improvisés.
7,5/10
Petite originalité, avant la pièce les spectateurs ont la possibilité d'aller déambuler sur la scène où se trouve un vautour ou un rapace et où finit par s'installer Dominique Blanc.
S'il n'a pas tromperie sur la marchandise et que le titre tout comme l'affiche reflètent bien le contenu de cette pièce, je n'ai pas été pas passionné par la thématique. Par contre, je ne peux qu'applaudir la qualité du texte et de la prestation de Dominique Blanc.
S'il n'a pas tromperie sur la marchandise et que le titre tout comme l'affiche reflètent bien le contenu de cette pièce, je n'ai pas été pas passionné par la thématique. Par contre, je ne peux qu'applaudir la qualité du texte et de la prestation de Dominique Blanc.
6/10
Le texte est bien sûr de bonne qualité et sa modernité est indéniable.
Je crois d'ailleurs que c'est la modernité de cette marquise implacable, presque inhumaine à l'image de la femme moderne qui m'a fait que je n'ai pas accroché.
La pièce est très courte (45 min pour ce tarif on se rapproche du vol) et la fin précipitée.
Je crois d'ailleurs que c'est la modernité de cette marquise implacable, presque inhumaine à l'image de la femme moderne qui m'a fait que je n'ai pas accroché.
La pièce est très courte (45 min pour ce tarif on se rapproche du vol) et la fin précipitée.
5,5/10
Bien sûr, il y a la musique de Bizet: une pure merveille. La habanera, l'air du toréador sont tellement entêtants...
Mais dans l'ensemble, j'ai trouvé cette Carmen bien fade, presque éteinte. Une vrai déception car cela faisais un an que j'attendais de la découvrir. L'orchestre manquait de puissance. L'intrigue m'a également déçu mais cela vient sûrement de cette mise en scène vulgaire et dénuée d'émotions.
Les décors sont d'une telle pauvreté. Où est l'exotisme, où sont la chaleur et les vieilles pierres de Séville ? Où est le sang chaud méditerranéen ? Encore une fois, on transpose dans les années 70 avec sa mode vestimentaire kitsch (après Marivaux, Goldoni, Shakespeare et j'en passe : on veut économiser sur les costumes ?).
Si on veut faire un opéra sur la femme à la fin du Franquisme, on l'écrit soi-même et l'on ne vient pas débiter tout un tas de conneries (dans le livret) sur une œuvre écrite presque 100 ans plus tôt.
Et puis bien sûr, on fout un mec qui torée un taureau imaginaire...
Mais dans l'ensemble, j'ai trouvé cette Carmen bien fade, presque éteinte. Une vrai déception car cela faisais un an que j'attendais de la découvrir. L'orchestre manquait de puissance. L'intrigue m'a également déçu mais cela vient sûrement de cette mise en scène vulgaire et dénuée d'émotions.
Les décors sont d'une telle pauvreté. Où est l'exotisme, où sont la chaleur et les vieilles pierres de Séville ? Où est le sang chaud méditerranéen ? Encore une fois, on transpose dans les années 70 avec sa mode vestimentaire kitsch (après Marivaux, Goldoni, Shakespeare et j'en passe : on veut économiser sur les costumes ?).
Si on veut faire un opéra sur la femme à la fin du Franquisme, on l'écrit soi-même et l'on ne vient pas débiter tout un tas de conneries (dans le livret) sur une œuvre écrite presque 100 ans plus tôt.
Et puis bien sûr, on fout un mec qui torée un taureau imaginaire...