Ses critiques
80 critiques
7/10
Un spectacle plutôt marrant et agréable.
On peut néanmoins regretter un humour assez lourd, très classique et surtout une absence quasi totale de renouvellement.
On peut néanmoins regretter un humour assez lourd, très classique et surtout une absence quasi totale de renouvellement.
6,5/10
Du rythme et des acteurs qui se donnent à fond. On ne s'ennuie pas et la soirée n'est pas désagréable. Certes, on peut trouver que les acteurs surjouent mais n'est-ce pas inhérent à ce genre de pièces à l'intrigue limitée ?
En effet, l'histoire ne tient pas vraiment la route et plus la pièce avance plus l’invraisemblance empire.
Pour une soirée où l'on ne veut pas trop réfléchir, c'est parfait.
En effet, l'histoire ne tient pas vraiment la route et plus la pièce avance plus l’invraisemblance empire.
Pour une soirée où l'on ne veut pas trop réfléchir, c'est parfait.
7/10
Un texte puissant avec de multiples interprétations possibles.
Plus que le récit d'un homme qui sombre dans la folie, il s'agit, selon moi, d'une réflexion sur l'homme, son destin et son libre arbitre. Le spectateur peut vite être entraîné dans une profonde réflexion sur lui-même, c'est pourquoi je suis en partie d'accord avec Pierre G, cette pièce n'est pas anodine.
A noter, l'interprétation de Florent Aumaitre qui est de grande qualité.
Plus que le récit d'un homme qui sombre dans la folie, il s'agit, selon moi, d'une réflexion sur l'homme, son destin et son libre arbitre. Le spectateur peut vite être entraîné dans une profonde réflexion sur lui-même, c'est pourquoi je suis en partie d'accord avec Pierre G, cette pièce n'est pas anodine.
A noter, l'interprétation de Florent Aumaitre qui est de grande qualité.
7,5/10
Plus que la maladie, c'est la vie que l'on retient de cette pièce dont on ne ressort pas indemne. La tranche de vie d'une jeune femme qui bascule d'un monde heureux à un monde parsemé d'obstacles.
Des tranches de vie multiples car en arrière plan, on ressent aussi l'angoisse des proches, ce malaise qui les pousse à des maladresses. Le parcours des soins et ces intervenants sont également décrits avec justesse.
Dans ce monologue très personnel, l'émotion est présente mais jamais on ne tombe dans l’apitoiement.
Des tranches de vie multiples car en arrière plan, on ressent aussi l'angoisse des proches, ce malaise qui les pousse à des maladresses. Le parcours des soins et ces intervenants sont également décrits avec justesse.
Dans ce monologue très personnel, l'émotion est présente mais jamais on ne tombe dans l’apitoiement.
7,5/10
L’œuvre est respectée dans cette mise en scène de Galin Stoev. L'anachronisme vestimentaire m'a un peu choqué de prime abord mais finalement c'est une manière intelligente et inventive de souligner les différences de mœurs.
La distribution est de grande qualité.
Claude Mathieu (madame Pernelle), Anna Cervinka (Mariane), Elsa Lepoivre (Elmire), Nâzim Boudjenah (Valère) et Denis Podalydès (Cléante) jouent à la perfection. Michel Vuillermoz (Tartuffe) trouve une nouvelle fois un rôle qui lui va à ravir même si au final son personnage est assez peu présent.
Mention particulière à Didier Sandre qui joue un Orgon particulièrement attachant dans ses contradictions.
La distribution est de grande qualité.
Claude Mathieu (madame Pernelle), Anna Cervinka (Mariane), Elsa Lepoivre (Elmire), Nâzim Boudjenah (Valère) et Denis Podalydès (Cléante) jouent à la perfection. Michel Vuillermoz (Tartuffe) trouve une nouvelle fois un rôle qui lui va à ravir même si au final son personnage est assez peu présent.
Mention particulière à Didier Sandre qui joue un Orgon particulièrement attachant dans ses contradictions.