Son balcon
SAISON 2024-2025
Aucun challenge culturel pour le moment
Mini Molières
1 290reçus
Bleu
Son classement : 257 / 6125
Avant lui

Virginie Grimbert
6 critiques
Après lui

Jean-Pierre Hervil
6 critiques
Niveau
3 / 20
3 / 20
6
critiques
filatures
3
1
Espions
Derniers curieux qui ont visité son profil
Actualités de ses filatures
J’ai adoré cette mis en scène moderne et musicale. Le texte d’Eugene Labiche est drôle et parfaitement mis au goût du jour.
Merci la compagnie Les Modits !
Merci la compagnie Les Modits !
Broadway en plein cœur de Paris !
Alexis Michalik nous présente sa nouvelle pépite, très différente de ses dernières créations. Les Producteurs est un musical complètement décalé et farfelu.
Commençons par le scénario : un producteur ruiné rencontre un comptable névrosé. Ensemble, ils décident d’adapter ce qui devra être la daube du siècle : une comédie musicale sur Hitler.
Le scénario est burlesque, les dialogues et tableaux légèrement grossiers et ont un peu mal vieilli (les blagues sur les homos maniérés et les cougars, un peu dépassés). Néanmoins, la magie opère : les costumes sont sublimes, les chorégraphies millimétrées et les décors (signés Juliette Azzopardi) sont absolument superbes. On est transportés en plein Broadway, et à ce titre Michalik n’a rien à envier aux grosses productions américaines. Les comédiens sont entraînants, bons chanteurs et bons danseurs, rien n’est laissé au hasard !
En définitive, si côté humour les répliques laissent parfois un peu à désirer, tous les ingrédients d’une bonne comédie musicale sont réunis. On passe un très bon moment avec ce spectacle débordant d’énergie !
Alexis Michalik nous présente sa nouvelle pépite, très différente de ses dernières créations. Les Producteurs est un musical complètement décalé et farfelu.
Commençons par le scénario : un producteur ruiné rencontre un comptable névrosé. Ensemble, ils décident d’adapter ce qui devra être la daube du siècle : une comédie musicale sur Hitler.
Le scénario est burlesque, les dialogues et tableaux légèrement grossiers et ont un peu mal vieilli (les blagues sur les homos maniérés et les cougars, un peu dépassés). Néanmoins, la magie opère : les costumes sont sublimes, les chorégraphies millimétrées et les décors (signés Juliette Azzopardi) sont absolument superbes. On est transportés en plein Broadway, et à ce titre Michalik n’a rien à envier aux grosses productions américaines. Les comédiens sont entraînants, bons chanteurs et bons danseurs, rien n’est laissé au hasard !
En définitive, si côté humour les répliques laissent parfois un peu à désirer, tous les ingrédients d’une bonne comédie musicale sont réunis. On passe un très bon moment avec ce spectacle débordant d’énergie !
Quelle thématique intéressante ! La place des femmes dans le monde de la peinture à l'époque où les grands noms étaient David et Greuze.
Le parcours est chronologique, simple à suivre. On se plait à déambuler au milieu de ces oeuvres délicates, parfois réalistes, inspirées des grandes Maitres.
Je reste un peu sur ma faim car l'exposition est très courte, le parcours simple mais très classique, la muséo sans grande innovation.
Le parcours est chronologique, simple à suivre. On se plait à déambuler au milieu de ces oeuvres délicates, parfois réalistes, inspirées des grandes Maitres.
Je reste un peu sur ma faim car l'exposition est très courte, le parcours simple mais très classique, la muséo sans grande innovation.
C’était le spectacle attendu de ce début d’année. La salle est comble pour Une histoire d’amour, nouvelle création du prodigieux Michalik. Si le genre est différent de ses précédentes pièces, on y retrouve la touche du metteur en scène.
Un scénario qui s’enchaîne à la vitesse d’un film, des rôles multiples pour chaque comédien, un savoureux mélange de performances scéniques.
Un scénario qui s’enchaîne à la vitesse d’un film, des rôles multiples pour chaque comédien, un savoureux mélange de performances scéniques.
Dans cette ambiance apocalyptique, Arnaud Desplechin use d’un dispositif théâtral original.
Partagée en deux, la scène accueille deux actions simultanées. Un split-screen très cinématographique. On se sent parfois comme au cinéma, les scènes sont rapides et la mise en scène use de nombreux écrans. On se trouve à Central Park ou devant la Fontaine Bethesda, comme en immersion.
Les Anges volent, apparaissent dans des nuages de fumée. Comme au cinéma, mais avec tous les charmes du théâtre : on voit un Ange délicatement se décrocher des câbles. Angels in America, c’est une scénographie complète et complexe. Presque autant que toutes les histoires qui s’entremêlent dans ce récit. Références religieuses, politiques ou historiques se mélangent.
Angels in America est une merveille, autant qu’un drame. A voir absolument à la Comédie Française.
Partagée en deux, la scène accueille deux actions simultanées. Un split-screen très cinématographique. On se sent parfois comme au cinéma, les scènes sont rapides et la mise en scène use de nombreux écrans. On se trouve à Central Park ou devant la Fontaine Bethesda, comme en immersion.
Les Anges volent, apparaissent dans des nuages de fumée. Comme au cinéma, mais avec tous les charmes du théâtre : on voit un Ange délicatement se décrocher des câbles. Angels in America, c’est une scénographie complète et complexe. Presque autant que toutes les histoires qui s’entremêlent dans ce récit. Références religieuses, politiques ou historiques se mélangent.
Angels in America est une merveille, autant qu’un drame. A voir absolument à la Comédie Française.