Ses critiques
60 critiques
7/10
Féerique et vulgaire.
Tous les codes du genre ou presque sont là. Une parodie très appréciable (dans le même esprit, mais en mieux que Thé à la menthe ou t'es citron) tout à fait digne de l'esprit original de la troupe du Splendid.
Quelques situations et blagues très bien trouvées.
Le bémol, est peut être là. On assiste à des "blagues" bien dites, certes, mais sans grand intérêt. L'histoire aurait pu être mieux écrite, plus forte, plus intense, faire appel à plus de véritables émotions, tant chez les comédiens que chez les spectateurs.
Tous les codes du genre ou presque sont là. Une parodie très appréciable (dans le même esprit, mais en mieux que Thé à la menthe ou t'es citron) tout à fait digne de l'esprit original de la troupe du Splendid.
Quelques situations et blagues très bien trouvées.
Le bémol, est peut être là. On assiste à des "blagues" bien dites, certes, mais sans grand intérêt. L'histoire aurait pu être mieux écrite, plus forte, plus intense, faire appel à plus de véritables émotions, tant chez les comédiens que chez les spectateurs.
8,5/10
Besoin de rien, envie d'amour.
Une très très belle surprise que ce spectacle. Une mise en scène inventive qui rappelle celle de Catherine Verlaguet et Olivier Letellier pour "Oh, boy !".
Ici aussi, l'histoire est à la base, celle d'un livre, lui même une histoire vraie. Une quête initiatique, proche de celle de "Little Miss Sunshine". Ce voyage mènera de Montargis à Venise, mais ne passera pas par Londres.
Le texte est remarquable. La mise en scène est efficace. A la manière du théâtre d'objet, rien n'est laissé au hasard. Bien qu'assez sobre, le jeu très expressif de Thomas Solivérès, nous permet d'entrer dans l'imaginaire de l'adolescence très vite et facilement.
J'ai particulièrement apprécié la façon dont est traitée la romance. Mais d'après les rires dans la salle, je pense que le côté comédie est très apprécié aussi.
On sent un véritable travail derrière.
Qu'est ce que c'est agréable à regarder !
Une très très belle surprise que ce spectacle. Une mise en scène inventive qui rappelle celle de Catherine Verlaguet et Olivier Letellier pour "Oh, boy !".
Ici aussi, l'histoire est à la base, celle d'un livre, lui même une histoire vraie. Une quête initiatique, proche de celle de "Little Miss Sunshine". Ce voyage mènera de Montargis à Venise, mais ne passera pas par Londres.
Le texte est remarquable. La mise en scène est efficace. A la manière du théâtre d'objet, rien n'est laissé au hasard. Bien qu'assez sobre, le jeu très expressif de Thomas Solivérès, nous permet d'entrer dans l'imaginaire de l'adolescence très vite et facilement.
J'ai particulièrement apprécié la façon dont est traitée la romance. Mais d'après les rires dans la salle, je pense que le côté comédie est très apprécié aussi.
On sent un véritable travail derrière.
Qu'est ce que c'est agréable à regarder !
8/10
Exposition très complète.
Voyage au cœur de la vie de l'artiste, très bien construit. Explications sous certaines œuvres très intéressantes. Parcours intelligible, œuvres choisies intelligentes.
Une belle découverte.
Voyage au cœur de la vie de l'artiste, très bien construit. Explications sous certaines œuvres très intéressantes. Parcours intelligible, œuvres choisies intelligentes.
Une belle découverte.
7/10
Assez proche de l'exposition proposée il y a quelques années à la Cinémathèque Française, sur les Enfants du Paradis, le spectacle donne une nouvelle manière d'aborder la préparation du film et le tournage.
Alexandre Brasseur interprète avec brio son grand-père ; mais aussi Carné, Prévert...
Il sait occuper l'espace et matérialiser les personnages.
Ce seul en scène aurait mérité peut être d'être un peu plus complet au niveau de la mise en scène et plus riche au niveau des anecdotes. Mais c'est une belle expérience, qui donne à voir sur scène la construction d'un film qui voulait rendre hommage au théâtre.
Alexandre Brasseur interprète avec brio son grand-père ; mais aussi Carné, Prévert...
Il sait occuper l'espace et matérialiser les personnages.
Ce seul en scène aurait mérité peut être d'être un peu plus complet au niveau de la mise en scène et plus riche au niveau des anecdotes. Mais c'est une belle expérience, qui donne à voir sur scène la construction d'un film qui voulait rendre hommage au théâtre.
7/10
Il n'y a pas particulièrement de fil conducteur, si ce n'est celui du Second Empire (en deux mots).
Les œuvres exposées sont pour la plupart des pièces importantes, faites par des artistes incontournables. On ne peut négliger l'aspect mobilier : l'exposition contient bon nombre de meubles. Le berceau du futur roi est d'ailleurs une pièce maîtresse considérée comme un des meubles majeurs du Second Empire.
Cependant l'éclairage laisse à désirer. Les cartels, explications et descriptions de tableaux sont difficilement accessibles, et peu voyants. De plus, je crois ne jamais avoir autant entendu crier : "Pas de photos". Au bout d'un moment c'est irritant. Surtout que selon les salles il peut y avoir un fond sonore bien travaillé.
Je suis, pour ma part, tombé amoureux de la salle des portraits. Regorgeant d’œuvres iconiques, la pièce permet aussi d'obtenir des informations précieuses grâces aux petites explications. On comprend ainsi, un peu mieux, cette période charnière dans l'art.
Les œuvres exposées sont pour la plupart des pièces importantes, faites par des artistes incontournables. On ne peut négliger l'aspect mobilier : l'exposition contient bon nombre de meubles. Le berceau du futur roi est d'ailleurs une pièce maîtresse considérée comme un des meubles majeurs du Second Empire.
Cependant l'éclairage laisse à désirer. Les cartels, explications et descriptions de tableaux sont difficilement accessibles, et peu voyants. De plus, je crois ne jamais avoir autant entendu crier : "Pas de photos". Au bout d'un moment c'est irritant. Surtout que selon les salles il peut y avoir un fond sonore bien travaillé.
Je suis, pour ma part, tombé amoureux de la salle des portraits. Regorgeant d’œuvres iconiques, la pièce permet aussi d'obtenir des informations précieuses grâces aux petites explications. On comprend ainsi, un peu mieux, cette période charnière dans l'art.