Ses critiques
17 critiques
7,5/10
« Rien ne se perd » le titre annonce quelque peu la couleur. Un peu comme un pari. Un univers à part. Une sorte de patchwork théâtral.
Pourtant le schéma narratif est des plus simples il y a : une reine, une princesse, un prince, une courtisane et un « traître ». La Reine veut marier sa fille au Prince mais le Traître, qui a des vues sur la Princesse, va se servir de la Courtisane pour arriver à ses fins. Rien d’excentrique et pourtant…
Les costumes d’une originalité subtilement respectueuse de l’environnement habillent une récupération d’environs 120 pièces de théâtre allant de l’extrait de quelques mots jusqu’à de bonnes parts de tirades fameuses et célèbres. Il s’agit davantage d’une « parodie » car ici, cette joyeuse troupe, veut nous faire rire ! Et cela arrive inéluctablement. C’est frais, c’est enlevé, la scénographie simple est un plaisir pour les yeux. On pense un peu aux Robins des Bois…
Certes certains grands « moments » de textes de théâtre perdent de leur« véracité » par leur nouvelle utilisation arrachée de la pièce mère mais ce puzzle mis bout à bout nous délivre une histoire qui peut plaire à tous, de tous âges, que l’on soit néophyte ou connaisseur de théâtre. Cette jeune compagnie que l’on a pu voir précédemment dans une adaptation de l’Ecume des jours de Boris Vian, a définitivement un style et une patte bien à elle, qui vaut le coup d’œil.
On peut conclure que rien n’est à jeter dans « Rien ne se perd ». Bien au contraire.
Pourtant le schéma narratif est des plus simples il y a : une reine, une princesse, un prince, une courtisane et un « traître ». La Reine veut marier sa fille au Prince mais le Traître, qui a des vues sur la Princesse, va se servir de la Courtisane pour arriver à ses fins. Rien d’excentrique et pourtant…
Les costumes d’une originalité subtilement respectueuse de l’environnement habillent une récupération d’environs 120 pièces de théâtre allant de l’extrait de quelques mots jusqu’à de bonnes parts de tirades fameuses et célèbres. Il s’agit davantage d’une « parodie » car ici, cette joyeuse troupe, veut nous faire rire ! Et cela arrive inéluctablement. C’est frais, c’est enlevé, la scénographie simple est un plaisir pour les yeux. On pense un peu aux Robins des Bois…
Certes certains grands « moments » de textes de théâtre perdent de leur« véracité » par leur nouvelle utilisation arrachée de la pièce mère mais ce puzzle mis bout à bout nous délivre une histoire qui peut plaire à tous, de tous âges, que l’on soit néophyte ou connaisseur de théâtre. Cette jeune compagnie que l’on a pu voir précédemment dans une adaptation de l’Ecume des jours de Boris Vian, a définitivement un style et une patte bien à elle, qui vaut le coup d’œil.
On peut conclure que rien n’est à jeter dans « Rien ne se perd ». Bien au contraire.
9/10
Moment intense. Une écriture d'une finesse, d'une précision...
Ce "coup de poing" est un coup de maître. On voudrait qu'on nous raconte encore de ces histoires sordides jusqu'à plus soif. On est ému, on est touché, on est choqué, on est outré... Qu'est ce qu'on peut éprouver devant ce jeu d'acteurs parfait !
Je suis assez partisane, des mises en scène épurées. "Qu'importe le flacon... Pourvu qu'on ai l'ivresse."
Et effectivement on est plus que grisé...
Ce "coup de poing" est un coup de maître. On voudrait qu'on nous raconte encore de ces histoires sordides jusqu'à plus soif. On est ému, on est touché, on est choqué, on est outré... Qu'est ce qu'on peut éprouver devant ce jeu d'acteurs parfait !
Je suis assez partisane, des mises en scène épurées. "Qu'importe le flacon... Pourvu qu'on ai l'ivresse."
Et effectivement on est plus que grisé...
9/10
On ne se lasse pas des créations d'Alexis Michalik. Déjà dans Le porteur d'Histoire, nous étions happés tels des enfants face à un conte merveilleux. Avec le cercle des illusionnistes on rêve encore car il s'agit de magie, des milieux du spectacle, du théâtre et enfin du cinéma... Et l'on est séduit par l'écriture de ce raconteur d'histoires.
Les acteurs sont précis et touchent à nos cordes de sensibilité. Et puis on se cultive car Michalik, très certainement féru de l'Histoire nous transmet sa passion.
On ressort ravis, optimistes et joyeux. C'est beau, c'est beau, c'est réjouissant. Nos rêves pour la nuit suivante sont assurés !!!!
Les acteurs sont précis et touchent à nos cordes de sensibilité. Et puis on se cultive car Michalik, très certainement féru de l'Histoire nous transmet sa passion.
On ressort ravis, optimistes et joyeux. C'est beau, c'est beau, c'est réjouissant. Nos rêves pour la nuit suivante sont assurés !!!!
7,5/10
On commence à s'habituer à la présence dans le paysage de l'un des excellents comédiens de notre pays : Gregory Gadebois. N'étant pas, à la base, un sex-symbol, il s'avère que par sa maîtrise, son intelligence et son instinct de jeu mêlés, sa présence si rassurante et particulière le rendent infiniment beau.
On s'attache à ce personnage fragile qu'est Charly. Un enfant presque... Le texte et l'interprétation touche à la finesse de la dentelle. Un très beau moment empreint de l'élégance d'une mise en scène épurée mais précise et sur-mesure.
On s'attache à ce personnage fragile qu'est Charly. Un enfant presque... Le texte et l'interprétation touche à la finesse de la dentelle. Un très beau moment empreint de l'élégance d'une mise en scène épurée mais précise et sur-mesure.
6,5/10
Au grand risque de surprendre, j'ai été assez déçue. Les lectures même maitrisées, me laissent un goût amer de non satisfaction totale. Il est vrai Que Galabru est "impressionnant" mais fatigué quand on prend en compte son âge conséquent (pour moi la performance ne se situe pas au niveau de l'âge mais bien du jeu).
Ça manque de peps'. Le texte est farfelu et plus vraiment à découvrir tant c'est aujourd'hui un "classique" des programmations... Le texte fonctionne, on rit... C'est bien mais ... Il manque un "je-ne-sais-quoi"...
Ça manque de peps'. Le texte est farfelu et plus vraiment à découvrir tant c'est aujourd'hui un "classique" des programmations... Le texte fonctionne, on rit... C'est bien mais ... Il manque un "je-ne-sais-quoi"...