Critiques pour l'événement Oublie-moi
Déjà, c'est très bien joué. C'est comme si deux amis vous racontaient l'histoire dans votre salon. Rien n'est surjoué, on est emmené.
Ensuite, le décor et la mise en scène (lumière, déplacements, ...) collent parfaitement : on est avec eux de la 1ere minute à la dernière c'est rythmé.
Surtout, c'est intéressant. Le sujet nous interpelle quand il ne nous préoccupe pas ... On ressort en réflexion sur la vieillesse, la maladie, l'amour, ... LE théâtre quoi !
Alors pourquoi pas 10 ? parce que j'ai toujours une réticence sur les pièces avec des micros ; on gagne en intimité (forcément) mais on perd un peu ce qui fait le théâtre, selon moi. Et puis, un petit côté scolaire avec les sessions chez le médecin. Seule fois où je me suis un peu sorti de la pièce (je crois que j'avais compris sans me le répéter 3 ou 4 fois)
Ensuite, le décor et la mise en scène (lumière, déplacements, ...) collent parfaitement : on est avec eux de la 1ere minute à la dernière c'est rythmé.
Surtout, c'est intéressant. Le sujet nous interpelle quand il ne nous préoccupe pas ... On ressort en réflexion sur la vieillesse, la maladie, l'amour, ... LE théâtre quoi !
Alors pourquoi pas 10 ? parce que j'ai toujours une réticence sur les pièces avec des micros ; on gagne en intimité (forcément) mais on perd un peu ce qui fait le théâtre, selon moi. Et puis, un petit côté scolaire avec les sessions chez le médecin. Seule fois où je me suis un peu sorti de la pièce (je crois que j'avais compris sans me le répéter 3 ou 4 fois)
Words don't come easy !
Cà démarre comme un conte de fées.
C'est un drame romantique et cruel à la fois, une histoire drôle et poignante où tout le monde se retrouve.
Une histoire simple de maladie, d'amour, de courage, de peur aussi .....
Ce qui est beau dans ce spectacle, c'est le refus du pathos malgré la tristesse.
C'est aussi une magnifique complicité entre 2 comédiens, un jeu sans aucune affectation, un naturel époustouflant.
Le sourire de Thierry Lopez crève l'écran, Marie Julie Baup est solaire.
Leur mise en scène leur colle parfaitement à la peau, ils se caressent, s'effleurent et s'embrassent même et surtout quand c'est dur.
On y croit, on y croit tellement !
Cà démarre comme un conte de fées.
C'est un drame romantique et cruel à la fois, une histoire drôle et poignante où tout le monde se retrouve.
Une histoire simple de maladie, d'amour, de courage, de peur aussi .....
Ce qui est beau dans ce spectacle, c'est le refus du pathos malgré la tristesse.
C'est aussi une magnifique complicité entre 2 comédiens, un jeu sans aucune affectation, un naturel époustouflant.
Le sourire de Thierry Lopez crève l'écran, Marie Julie Baup est solaire.
Leur mise en scène leur colle parfaitement à la peau, ils se caressent, s'effleurent et s'embrassent même et surtout quand c'est dur.
On y croit, on y croit tellement !
« Oublie-moi » d’après In Other Words de Matthew Seager, adaptée et mise en scène par Marie-Julie Baup et Thierry Lopez au théâtre Actuel est une ode à l’Amour qui va marquer à jamais la belle histoire du Off.
Avec légèreté et humour dans une conjugaison parfaite, le sujet délicat de la maladie pour les uns et absorbant pour les autres, vogue sur les vagues d’un océan ravageur aux lames de fond puissantes, que notre couple d’amoureux traverse dans une communion bouleversante.
Pomme, labrador, gazon
Dans un décor aux couleurs acidulées, changeantes comme les couleurs d’un pommeau de douche qui vous annonce la température, Jeanne et Arthur dans des allers et retours rythmés au son de la musique pop, sur un ton joyeux, nous racontent leur rencontre jusqu’à l’épuisement d’une maladie qui vous ronge de l’intérieur sans pouvoir la contrôler.
Une maladie avec ses différents stades, à l’évolution inexorable qui s’affiche sous le nom terrifiant d’Alzheimer.
Pomme, labrador, gazon
Une comédie romantique pour deux êtres solaires qui avaient tout pour être heureux : un vrai conte de fées qui nous emporte dans une joie communicative, à la jalousie naissante.
Sur une drague musicale des plus lourdes, Arthur fait la connaissance de sa future, Jeanne, dans un bar en la provoquant par le simple geste de lui jeter à la figure le contenu de son verre.
Une approche pas très conventionnelle, romantique, me direz-vous, mais apparemment efficace puisque ce jet a scellé leur union.
Le point de départ d’une très belle histoire d’amour, rayonnante de joie, qui procure de la dopamine à profusion mais qui se transformera en endorphine.
Pomme, labrador, gazon
Qui y-a-t-il de plus compliqué que d’aller acheter du lait et un timbre ?
Car Jeanne n’aime son thé qu’avec une larme de lait et doit expédier une carte de vœux.
Eh bien pour Arthur, c’est le début d’un périple qui va progressivement l’amener à combattre l’oubli.
Un état sournois qui avance à petits pas sans jamais vous brusquer. Un état qui vous rend vulnérable, dépendant.
Pomme, labrador, gazon
C’est dans un langage de tous les jours, d’une génération dont on pourrait penser qu’elle est à l’abri que nos deux amoureux à l’orée de leurs vies vont nous communiquer avec humour et tendresse les différents stades de cette maladie qui vous bouffe lentement de l’intérieur sans pouvoir en mesurer sciemment les effets, interférant de plus en plus dans les tâches quotidiennes, pour ne plus pouvoir au final les maîtriser.
Du stade 1 avec aucune déficience notoire au stade 7 caractérisé par un déficit cognitif très sévère, Jeanne et Arthur vont dans un amour inconditionnel, traverser toutes ces épreuves.
Une Jeanne tellement amoureuse qu’elle ne baisse pas les bras et qu’elle soutient comme elle peut cet Arthur attendrissant aux yeux de cocker qui malgré tout, lui, lui apporte une étincelle de vie dans ses yeux reconnaissants.
Pomme, labrador, gazon, oui bon on a compris, compris quoi ? Trois simples mots que vous avez depuis longtemps retenus au point de plus y faire attention, au point même de vous agacer. Eh bien pour Arthur ces trois simples mots vont devenir au fil du temps avec ses rencontres du médecin qui le suit un vrai problème de mémoire. Un fil conducteur qui pourrait bien éteindre le sourire si gratifiant d’Arthur.
D’une simple mauvaise grippe qui aurait pu laisser penser que ces compréhensibles oublis seraient dus à la fatigue, au stress de la vie, eh bien les tests pratiqués vont aller à l’encontre de ce diagnostic des familles. Le MCI fait son apparition pour s’implanter de façon définitive et les Post-it aussi.
Beaucoup d’émotions dans le jeu solaire de Marie-Julie Baup et Thierry Lopez. On ne s’ennuie pas un seconde, on rit, on est en admiration devant une telle complicité, on a les poils qui se dressent, les larmes qui pointent le bout de leur nez (ah Bernard quand tu nous tiens !).
Un vrai bonheur que d’assister à cette rencontre foudroyante de plaisir. Un uppercut en pleine figure qui fait apprécier la vie à sa juste valeur, celle de tous les jours avec ses imperfections mais qui est tellement belle quand la maladie ne vient pas s’insinuer dans son sillage.
Une mise en scène très cartoon et un jeu sublimés par les costumes de Michel Dussarat dans une scénographie de Bastien Forestier éclairée par Moïse Hill et sur une partition musicale qui dans ce cas de figure tient une place essentielle, celle de Clément Léotard.
Pauline Tricot en support de cette mise en scène donnera la touche finale à cette très belle histoire d’amour qui restera gravée dans nos cœurs.
Une pépite de vie, d’amour, qu’il ne faut sous aucun prétexte passer à côté dans ce festival d’Avignon Off saluée par une ovation debout plus que méritée !
Avec légèreté et humour dans une conjugaison parfaite, le sujet délicat de la maladie pour les uns et absorbant pour les autres, vogue sur les vagues d’un océan ravageur aux lames de fond puissantes, que notre couple d’amoureux traverse dans une communion bouleversante.
Pomme, labrador, gazon
Dans un décor aux couleurs acidulées, changeantes comme les couleurs d’un pommeau de douche qui vous annonce la température, Jeanne et Arthur dans des allers et retours rythmés au son de la musique pop, sur un ton joyeux, nous racontent leur rencontre jusqu’à l’épuisement d’une maladie qui vous ronge de l’intérieur sans pouvoir la contrôler.
Une maladie avec ses différents stades, à l’évolution inexorable qui s’affiche sous le nom terrifiant d’Alzheimer.
Pomme, labrador, gazon
Une comédie romantique pour deux êtres solaires qui avaient tout pour être heureux : un vrai conte de fées qui nous emporte dans une joie communicative, à la jalousie naissante.
Sur une drague musicale des plus lourdes, Arthur fait la connaissance de sa future, Jeanne, dans un bar en la provoquant par le simple geste de lui jeter à la figure le contenu de son verre.
Une approche pas très conventionnelle, romantique, me direz-vous, mais apparemment efficace puisque ce jet a scellé leur union.
Le point de départ d’une très belle histoire d’amour, rayonnante de joie, qui procure de la dopamine à profusion mais qui se transformera en endorphine.
Pomme, labrador, gazon
Qui y-a-t-il de plus compliqué que d’aller acheter du lait et un timbre ?
Car Jeanne n’aime son thé qu’avec une larme de lait et doit expédier une carte de vœux.
Eh bien pour Arthur, c’est le début d’un périple qui va progressivement l’amener à combattre l’oubli.
Un état sournois qui avance à petits pas sans jamais vous brusquer. Un état qui vous rend vulnérable, dépendant.
Pomme, labrador, gazon
C’est dans un langage de tous les jours, d’une génération dont on pourrait penser qu’elle est à l’abri que nos deux amoureux à l’orée de leurs vies vont nous communiquer avec humour et tendresse les différents stades de cette maladie qui vous bouffe lentement de l’intérieur sans pouvoir en mesurer sciemment les effets, interférant de plus en plus dans les tâches quotidiennes, pour ne plus pouvoir au final les maîtriser.
Du stade 1 avec aucune déficience notoire au stade 7 caractérisé par un déficit cognitif très sévère, Jeanne et Arthur vont dans un amour inconditionnel, traverser toutes ces épreuves.
Une Jeanne tellement amoureuse qu’elle ne baisse pas les bras et qu’elle soutient comme elle peut cet Arthur attendrissant aux yeux de cocker qui malgré tout, lui, lui apporte une étincelle de vie dans ses yeux reconnaissants.
Pomme, labrador, gazon, oui bon on a compris, compris quoi ? Trois simples mots que vous avez depuis longtemps retenus au point de plus y faire attention, au point même de vous agacer. Eh bien pour Arthur ces trois simples mots vont devenir au fil du temps avec ses rencontres du médecin qui le suit un vrai problème de mémoire. Un fil conducteur qui pourrait bien éteindre le sourire si gratifiant d’Arthur.
D’une simple mauvaise grippe qui aurait pu laisser penser que ces compréhensibles oublis seraient dus à la fatigue, au stress de la vie, eh bien les tests pratiqués vont aller à l’encontre de ce diagnostic des familles. Le MCI fait son apparition pour s’implanter de façon définitive et les Post-it aussi.
Beaucoup d’émotions dans le jeu solaire de Marie-Julie Baup et Thierry Lopez. On ne s’ennuie pas un seconde, on rit, on est en admiration devant une telle complicité, on a les poils qui se dressent, les larmes qui pointent le bout de leur nez (ah Bernard quand tu nous tiens !).
Un vrai bonheur que d’assister à cette rencontre foudroyante de plaisir. Un uppercut en pleine figure qui fait apprécier la vie à sa juste valeur, celle de tous les jours avec ses imperfections mais qui est tellement belle quand la maladie ne vient pas s’insinuer dans son sillage.
Une mise en scène très cartoon et un jeu sublimés par les costumes de Michel Dussarat dans une scénographie de Bastien Forestier éclairée par Moïse Hill et sur une partition musicale qui dans ce cas de figure tient une place essentielle, celle de Clément Léotard.
Pauline Tricot en support de cette mise en scène donnera la touche finale à cette très belle histoire d’amour qui restera gravée dans nos cœurs.
Une pépite de vie, d’amour, qu’il ne faut sous aucun prétexte passer à côté dans ce festival d’Avignon Off saluée par une ovation debout plus que méritée !
Super pièce tragique, allez-y!
En bref, un couple amoureux découvre que Arthur est atteint d'altzeimer entre 25 et 30. Nous suivons la rencontre du couple, puis la découverte de la maladie, et enfin la progression de la maladie.
Ce qui m'a plu :
- la mise en scène est géniale, notamment le jogging de Jeanne en arrière fond
- les comédiens sont très talentueux, j'ai adoré le jeu de Jeanne, rien de plus crédible comme couple qui se rencontre et s'aime à une époque moderne
- l'auteur termine l'évolution de la maladie à la phase 7, alors que je pensais qu'il irait jusqu'à la phase 10, ca m'a rassuré, car je n'étais pas prête pour les dernières phases
Sur la maladie, le texte montre bien :
- lors de la découverte de la maladie : la volonté des proches d'aborder le problème de manière scolaire, de se battre en mettant en place "ce que disent les médecins" (ex : sur la stimulation intellectuelle, Jeanne met en place des "débats" pour stimuler Arthur) elle met en place un plan d'action contre la maladie
- "l'exaspération" des proches face à la maladie : Arthur oublie tout, et c'est un enfer pour les proches qui parfois perdent leur sang froid
- la fuite en avant du patient, qui "ment" à son médecin
Super pièce, qui sait tourner en joie les sujets les plus lourds.
En bref, un couple amoureux découvre que Arthur est atteint d'altzeimer entre 25 et 30. Nous suivons la rencontre du couple, puis la découverte de la maladie, et enfin la progression de la maladie.
Ce qui m'a plu :
- la mise en scène est géniale, notamment le jogging de Jeanne en arrière fond
- les comédiens sont très talentueux, j'ai adoré le jeu de Jeanne, rien de plus crédible comme couple qui se rencontre et s'aime à une époque moderne
- l'auteur termine l'évolution de la maladie à la phase 7, alors que je pensais qu'il irait jusqu'à la phase 10, ca m'a rassuré, car je n'étais pas prête pour les dernières phases
Sur la maladie, le texte montre bien :
- lors de la découverte de la maladie : la volonté des proches d'aborder le problème de manière scolaire, de se battre en mettant en place "ce que disent les médecins" (ex : sur la stimulation intellectuelle, Jeanne met en place des "débats" pour stimuler Arthur) elle met en place un plan d'action contre la maladie
- "l'exaspération" des proches face à la maladie : Arthur oublie tout, et c'est un enfer pour les proches qui parfois perdent leur sang froid
- la fuite en avant du patient, qui "ment" à son médecin
Super pièce, qui sait tourner en joie les sujets les plus lourds.
Elle, c’est Jeanne, lui, c’est Arthur et leur histoire aurait pu durer longtemps si lui n’était pas tombé malade. La pièce est une adaptation du roman de Matthew Seager, In other words dans lequel l’auteur explore la cruauté de la maladie d’Alzheimer à travers l’observation de la vie d’un couple. Nous regardons leur heureux mariage imploser lentement alors qu’Arthur commence à perdre la mémoire.
La pièce débute comme une comédie romantique, drôle et tendre. Une histoire racontée avec humour et dérision, Ils se regardent, s’attirent, c’est le coup de foudre, et le spectateur est témoin de ce début d’amour charmant sur fond de « Words (Don’t come easy) ». Et puis petit à petit, de stade en stade, la situation se dégrade, heureusement l’amour est toujours là, intact, malgré les difficultés et les obstacles. L’humour également persiste et c’est aussi ce qui les fait tenir, de prendre cela avec philosophie et en gardant le sourire et les étoiles dans les yeux.
Difficile de trouver une pièce ou rires et larmes alternent en un clin d’œil. Probablement parce que ce drame est truffé de fantaisie et d’espoir malgré tout. C’est raconté sans pathos, sans détour, ce n’est jamais trop, toujours juste. On assiste à la frustration, la colère, la douleur, mais surtout au courage et à la force de ce couple exemplaire et solaire.
On est touché par la beauté et l’intelligence de cette pièce qui évite brillamment tous les écueils sur le sujet.
Les deux comédiens sont à l’aise, naturel, connectés, complices, incroyable de justesse, c’est du pur bonheur. La mise en scène fluide et intelligente et la superbe scénographie monochrome viennent compléter cette réussite. C’est brillant !
Je suis comme tout le monde bouleversée et les mouchoirs autour de moi sont sortis discrètement, à la fin, le public applaudit à tout rompre, debout, conquis, personne ne s’y trompe, c’est une pépite !
Une histoire d’amour lumineuse et sensible que l’on n’oubliera pas ! Un coup de cœur sans réserve !
La pièce débute comme une comédie romantique, drôle et tendre. Une histoire racontée avec humour et dérision, Ils se regardent, s’attirent, c’est le coup de foudre, et le spectateur est témoin de ce début d’amour charmant sur fond de « Words (Don’t come easy) ». Et puis petit à petit, de stade en stade, la situation se dégrade, heureusement l’amour est toujours là, intact, malgré les difficultés et les obstacles. L’humour également persiste et c’est aussi ce qui les fait tenir, de prendre cela avec philosophie et en gardant le sourire et les étoiles dans les yeux.
Difficile de trouver une pièce ou rires et larmes alternent en un clin d’œil. Probablement parce que ce drame est truffé de fantaisie et d’espoir malgré tout. C’est raconté sans pathos, sans détour, ce n’est jamais trop, toujours juste. On assiste à la frustration, la colère, la douleur, mais surtout au courage et à la force de ce couple exemplaire et solaire.
On est touché par la beauté et l’intelligence de cette pièce qui évite brillamment tous les écueils sur le sujet.
Les deux comédiens sont à l’aise, naturel, connectés, complices, incroyable de justesse, c’est du pur bonheur. La mise en scène fluide et intelligente et la superbe scénographie monochrome viennent compléter cette réussite. C’est brillant !
Je suis comme tout le monde bouleversée et les mouchoirs autour de moi sont sortis discrètement, à la fin, le public applaudit à tout rompre, debout, conquis, personne ne s’y trompe, c’est une pépite !
Une histoire d’amour lumineuse et sensible que l’on n’oubliera pas ! Un coup de cœur sans réserve !
Un bijou ! immanquable.
Jeu des acteurs incroyable, scénographie magique.
je n'ai jamais eu un tel coup de cœur ....courrez-y
Jeu des acteurs incroyable, scénographie magique.
je n'ai jamais eu un tel coup de cœur ....courrez-y
Bravo, chapeau bas !
Quand les lumières s"éteignent, la salle est immobile figée par l'émotion. Un temps long et chargé entre le dernier mot et les premiers applaudissements....
J'ai rarement vu une aussi bonne pièce et j'ai commencé ma carrière par le théâtre. Tout est bien : des acteurs excellents, une mise en scène simple sans être simpliste dont tout les éléments sont bien pensés (le son, les couleurs...) et le texte qui dit beaucoup en peu de mots. Très juste, il passe de l'humour, du rire à une profonde émotion.
Une vraie réussite qui mériterait d'être tout en haut de la liste des pièces à voir !
Quand les lumières s"éteignent, la salle est immobile figée par l'émotion. Un temps long et chargé entre le dernier mot et les premiers applaudissements....
J'ai rarement vu une aussi bonne pièce et j'ai commencé ma carrière par le théâtre. Tout est bien : des acteurs excellents, une mise en scène simple sans être simpliste dont tout les éléments sont bien pensés (le son, les couleurs...) et le texte qui dit beaucoup en peu de mots. Très juste, il passe de l'humour, du rire à une profonde émotion.
Une vraie réussite qui mériterait d'être tout en haut de la liste des pièces à voir !
Jeanne et Arthur forment un couple amoureux qui se soutient dans la vie. On découvre leur rencontre et on les voit avancer dans la vie quand peu à peu tout sera bouleversé par la découverte d’une pathologie grave pour Arthur.
L’histoire est celle d’une personne souffrant de troubles cognitifs et l’évolution terrible qu’implique la maladie. Le couple fait face. L’amour de Jeanne est indéfectible. La souffrance de l’accompagnant est magnifiquement décrite. On suit l’évolution vers une affection très profonde avec la douleur d’Arthur qui perd peu à peu ses moyens et Jeanne qui accompagne l’amour de sa vie dans cet enfer.
Nous passons d’acte en acte en voyant l’évolution. Les actes s’arrêteront au moment juste afin de ne pas rentrer dans une fin inutile. On est très ému de suivre ce couple. Le point de vue du malade et celui de l’accompagnant sont magnifiquement exprimés. Chaque parole est juste, précise. Il n’y a aucun superflu. Le texte est poignant.
Le jeu des deux acteurs est parfait. Arthur est incarné avec une grande justesse jusque sur son visage qui change. Chacun est tourné vers l’autre. C’est une magnifique interprétation des deux acteurs.
La mise en scène est minutieuse, très bien pensée. Le rose prédominant renforce la notion de vie parfaite qui aurait dû exister, de l’amour de ce couple.
Tout est intelligent dans cette pièce sur un sujet difficile à traiter. Cependant, l’interprétation est vraiment ce qui m’a impressionné. Je suis ressortie avec le sentiment que tout était extrêmement juste et que rien n’était de trop. Cette pièce bouleverse tous les spectateurs.
L’histoire est celle d’une personne souffrant de troubles cognitifs et l’évolution terrible qu’implique la maladie. Le couple fait face. L’amour de Jeanne est indéfectible. La souffrance de l’accompagnant est magnifiquement décrite. On suit l’évolution vers une affection très profonde avec la douleur d’Arthur qui perd peu à peu ses moyens et Jeanne qui accompagne l’amour de sa vie dans cet enfer.
Nous passons d’acte en acte en voyant l’évolution. Les actes s’arrêteront au moment juste afin de ne pas rentrer dans une fin inutile. On est très ému de suivre ce couple. Le point de vue du malade et celui de l’accompagnant sont magnifiquement exprimés. Chaque parole est juste, précise. Il n’y a aucun superflu. Le texte est poignant.
Le jeu des deux acteurs est parfait. Arthur est incarné avec une grande justesse jusque sur son visage qui change. Chacun est tourné vers l’autre. C’est une magnifique interprétation des deux acteurs.
La mise en scène est minutieuse, très bien pensée. Le rose prédominant renforce la notion de vie parfaite qui aurait dû exister, de l’amour de ce couple.
Tout est intelligent dans cette pièce sur un sujet difficile à traiter. Cependant, l’interprétation est vraiment ce qui m’a impressionné. Je suis ressortie avec le sentiment que tout était extrêmement juste et que rien n’était de trop. Cette pièce bouleverse tous les spectateurs.
Une merveille !!
Je crois que cette pièce restera longtemps gravée dans ma mémoire.
Elle m'a bouleversée tout comme l'ensemble des spectateurs.
Nous étions tous et durant toute la pièce alternant sourire béat et larmichette. Et pourtant je suis un coeur dur.
Tout est beau et intelligent.
L'adaptation impeccable, la mise en scène originale et pertinente, le jeu incroyable des deux comédiens, le texte d'une grande sensibilité sans mièvrerie si drôle et pourtant si percutant, tout est fin, tout est parfait.
Je souhaite à tout le monde de voir une merveille pareille.
Le théâtre devrait être toujours comme ça.
El l'académie des Molières ne s'y est pas trompée.
Je crois que cette pièce restera longtemps gravée dans ma mémoire.
Elle m'a bouleversée tout comme l'ensemble des spectateurs.
Nous étions tous et durant toute la pièce alternant sourire béat et larmichette. Et pourtant je suis un coeur dur.
Tout est beau et intelligent.
L'adaptation impeccable, la mise en scène originale et pertinente, le jeu incroyable des deux comédiens, le texte d'une grande sensibilité sans mièvrerie si drôle et pourtant si percutant, tout est fin, tout est parfait.
Je souhaite à tout le monde de voir une merveille pareille.
Le théâtre devrait être toujours comme ça.
El l'académie des Molières ne s'y est pas trompée.
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