Critiques pour l'événement Le Cid
Magnifique spectacle !
Vibrant, inspiré. On est pris par l'action, porté par cette histoire d'amour mythique !
Une mise en scène pleine d'inventions et de lyrisme ! Les chefs d'oeuvre sont éternels ! "Rodrigue as tu du cœur ? "
Ce spectacle en a beaucoup du cœur ...et du talent !
!!! Bravo !
Vibrant, inspiré. On est pris par l'action, porté par cette histoire d'amour mythique !
Une mise en scène pleine d'inventions et de lyrisme ! Les chefs d'oeuvre sont éternels ! "Rodrigue as tu du cœur ? "
Ce spectacle en a beaucoup du cœur ...et du talent !
!!! Bravo !
Je dois bien l'avouer, je n'avais jamais lu ni vu Le Cid et cette production de l'Artistic Athévains est une bien belle introduction !
Le texte de Corneille bien sûr est un délice et nous rappelle qu'il fut un temps, le mot honneur avait un sens.
La scénographie quasi minimaliste, ses jeux de lumières et reflets suggèrent plus qu'ils ne montrent le cadre de ces scènes tragiques.
Les interprètes sont inégaux, Cédric Colas et Philippe Lebas sont excellents.
Le texte de Corneille bien sûr est un délice et nous rappelle qu'il fut un temps, le mot honneur avait un sens.
La scénographie quasi minimaliste, ses jeux de lumières et reflets suggèrent plus qu'ils ne montrent le cadre de ces scènes tragiques.
Les interprètes sont inégaux, Cédric Colas et Philippe Lebas sont excellents.
- Vas, je ne te hais point.
- Tu le dois.
- Je ne puis...
En ces temps glorieux où l'honneur dictait les conduites, où l'on lavait l'affront dans le sang, oui, Chimène se devait de haïr Rodrigue. Mais comment haïr celui pour qui son cœur soupire ?
Magnifique spectacle. Scénographie inventive et esthétique.
Le jeu des comédiens est juste et à la hauteur de la langue de Corneille que l'on retrouve et savoure à l'envie.
- Tu le dois.
- Je ne puis...
En ces temps glorieux où l'honneur dictait les conduites, où l'on lavait l'affront dans le sang, oui, Chimène se devait de haïr Rodrigue. Mais comment haïr celui pour qui son cœur soupire ?
Magnifique spectacle. Scénographie inventive et esthétique.
Le jeu des comédiens est juste et à la hauteur de la langue de Corneille que l'on retrouve et savoure à l'envie.
Je t'aime moi non plus .....
C'est à une bien belle surprise que nous convie l'Artistic Athévains avec cette formidable version du Cid.
Honneur familial, amour individuel, querelles et pouvoir, voici réunis les ingrédients de la tragédie classique telle que nous l'aimons depuis des siècles.
Une langue somptueuse bien sûr, mais aussi une formidable adaptation que nous devons à Frédérique Lazarini qui a modernisé la pièce culte du grand Corneille juste ce qu'il faut, sans la dénaturer.
Une heure trente parfaitement rythmés, accessible à tous, pendant laquelle les alexandrins, qui pourraient en effrayer certains, sonnent parfaitement clairs et justes.
Ainsi sont réconciliés les fervents du classique et ceux qui le sont moins.
La scénographie est absolument magnifique, mettant en valeur, avec des jeux de lumières précis et quelques accessoires baroques, aussi bien les mots que les corps.
Les comédiens, richement vêtus, jouent aussi bien des rimes que de leurs épées, nous régalant de quelques passes d'armes fort bien exécutées.
Chimène, au milieu de tous ces hommes, est très touchante dans sa fragilité, qui cache néanmoins une grande force.
Rodrigue - Arthur Guézennec - nous a particulièrement convaincus avec sa jeunesse fougueuse et son jeu puissant.
Je sens couler des pleurs que je veux retenir
Le passé me tourmente et je crains l'avenir ....
C'est à une bien belle surprise que nous convie l'Artistic Athévains avec cette formidable version du Cid.
Honneur familial, amour individuel, querelles et pouvoir, voici réunis les ingrédients de la tragédie classique telle que nous l'aimons depuis des siècles.
Une langue somptueuse bien sûr, mais aussi une formidable adaptation que nous devons à Frédérique Lazarini qui a modernisé la pièce culte du grand Corneille juste ce qu'il faut, sans la dénaturer.
Une heure trente parfaitement rythmés, accessible à tous, pendant laquelle les alexandrins, qui pourraient en effrayer certains, sonnent parfaitement clairs et justes.
Ainsi sont réconciliés les fervents du classique et ceux qui le sont moins.
La scénographie est absolument magnifique, mettant en valeur, avec des jeux de lumières précis et quelques accessoires baroques, aussi bien les mots que les corps.
Les comédiens, richement vêtus, jouent aussi bien des rimes que de leurs épées, nous régalant de quelques passes d'armes fort bien exécutées.
Chimène, au milieu de tous ces hommes, est très touchante dans sa fragilité, qui cache néanmoins une grande force.
Rodrigue - Arthur Guézennec - nous a particulièrement convaincus avec sa jeunesse fougueuse et son jeu puissant.
Je sens couler des pleurs que je veux retenir
Le passé me tourmente et je crains l'avenir ....
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