Critiques pour l'événement Kim Schwarck, Des Papilles dans le ventre
Avec beaucoup de bonne humeur et d’énergie, Kim Schwarck nous raconte ses souvenirs d’enfance, sous l’angle culinaire.
Au départ, on se demande un peu où elle veut en venir, c’est sympathique, cela donne faim, il y a les fricadelles de Mamie Esther (dont elle nous donne la recette illustrée à la fin du spectacle), les cueillettes de framboises ou du cresson, mais aussi le bac à semoule de l’hôpital… et là, tout prend une autre dimension…
Car derrière la légèreté du début, se cache une enfance chaotique entre maladie et séparation des parents.
Alors si l’humour et le second degré sont très présents, l’émotion affleure aussi…
Et puis ses souvenirs font rejaillir les nôtres, des cabines à cartes téléphoniques aux chansons de Claude François avec lequel sa mère, chanteuse qui a représenté la France à l’Eurovision 1973 avec Sans Toi, avait partagé le duo Quelquefois…
Et nos souvenirs culinaires à nous, quels sont-ils ?
A qui nous rattachent-ils ?
Un spectacle qui ouvre l’appétit!
Au départ, on se demande un peu où elle veut en venir, c’est sympathique, cela donne faim, il y a les fricadelles de Mamie Esther (dont elle nous donne la recette illustrée à la fin du spectacle), les cueillettes de framboises ou du cresson, mais aussi le bac à semoule de l’hôpital… et là, tout prend une autre dimension…
Car derrière la légèreté du début, se cache une enfance chaotique entre maladie et séparation des parents.
Alors si l’humour et le second degré sont très présents, l’émotion affleure aussi…
Et puis ses souvenirs font rejaillir les nôtres, des cabines à cartes téléphoniques aux chansons de Claude François avec lequel sa mère, chanteuse qui a représenté la France à l’Eurovision 1973 avec Sans Toi, avait partagé le duo Quelquefois…
Et nos souvenirs culinaires à nous, quels sont-ils ?
A qui nous rattachent-ils ?
Un spectacle qui ouvre l’appétit!
C'est un spectacle absolument délicieux et gourmand. Elle nous donne faim. Faim de connaître sa vie et son désir permanent de manger.
Kim est absolument rayonnante dans ce seule en scène. C'est intelligent, drôle et surtout très bien écrit. Parfois elle s'écarte et elle nous rattrape aussitôt, en prenant toujours soin de nous. Merci pour ce doux moment.
Kim est absolument rayonnante dans ce seule en scène. C'est intelligent, drôle et surtout très bien écrit. Parfois elle s'écarte et elle nous rattrape aussitôt, en prenant toujours soin de nous. Merci pour ce doux moment.
Des Papilles dans le Ventre, c’est plus qu’un spectacle, c’est un tableau sensoriel et émotionnel, c’est un hommage à la vie, une envie de vivre féroce et contagieuse.
Seule sur la grande et belle scène des Béliers Parisiens, dans une salle correctement climatisée (c’est appréciable en ces temps de forte chaleur), Kim Schwarck nous fait partager les souvenirs de son enfance, entre sa mère, son père, ses grand-mères. Des souvenirs intemporels, ses souvenirs sont nos souvenirs, on a (presque) tous aimé l’odeur de l’essence à la station service, l’odeur du petit pot de colle, préféré les frites molles de la restauration collective, un plat fétiche qui nous renvoie aux odeurs de notre enfance (dans son cas, la fricadelle, le moment où sa grand mère goûte la fricadelle crue pour vérifier si c’est prêt, et crache parce que c’est pas bon… d’ailleurs nous sommes repartis avec la recette précise, une vraie recette de grand mère, sans proportions précises).
Chaque tableau est une émotion, que Kim Schwarck nous a fait partager très précisément, par ses gestes, ses mots, le jeu de son visage. A chaque tableau, donc, est associé un aliment, un plat, ça a marché à chaque fois, à la fin de chaque tableau, j’avais mon cœur empli de l’émotion, la bouche pleine du goût.
Sur certains tableaux, elle chante. Les chansons de sa mère, Martine Clémenceau, qui a représenté la France à l’Eurovision 1973 avec Sans Toi, accompagné Claude François sur Quelquefois, écrit Solitaire (qui sera ensuite repris par Laura Branigan), une chanson qu’elle a écrit.
De la même façon, elle évoque la maladie qui l’a envoyée, petite fille, dans un service d’hôpital dont on ne sortait pas forcément debout, qui lui a fait perdre ses cheveux et donné le goût de la ratatouille en conserve. Qui, peut-être, lui a donné une part de sa force, de son énergie, de sa joie de vivre contagieuse.
Le spectacle est bien écrit, les jeux de mots fusent sans abus, joué sur un rythme enlevé, les tableaux s’enchainent sans qu’elle ne perde l’attention du spectateur, ponctués de plaisanteries parfaitement graveleuses sans jamais être vulgaires (c’est aussi ça, la vie). Les petits détails, jetez un œil sur les boutons de sa robe, on dirait du Play Doh.
J’ai tout aimé dans Des Papilles dans le Ventre, le texte, bien sûr, la très belle mise en scène de Pierre Notte, le rythme, l’énergie de Kim Schwarck qui, à peine les applaudissements, est à la sortie de la salle, distribue la recette de la fricadelle, le flyer du spectacle aux passants.
Des Papilles dans le Ventre est un spectacle à aller voir entre amis, pour amortir les vagues d’émotions qui vous remueront pendant le spectacle, pour aller, ensuite, dîner ensemble, c’est un spectacle dont on sort en ayant faim.
Seule sur la grande et belle scène des Béliers Parisiens, dans une salle correctement climatisée (c’est appréciable en ces temps de forte chaleur), Kim Schwarck nous fait partager les souvenirs de son enfance, entre sa mère, son père, ses grand-mères. Des souvenirs intemporels, ses souvenirs sont nos souvenirs, on a (presque) tous aimé l’odeur de l’essence à la station service, l’odeur du petit pot de colle, préféré les frites molles de la restauration collective, un plat fétiche qui nous renvoie aux odeurs de notre enfance (dans son cas, la fricadelle, le moment où sa grand mère goûte la fricadelle crue pour vérifier si c’est prêt, et crache parce que c’est pas bon… d’ailleurs nous sommes repartis avec la recette précise, une vraie recette de grand mère, sans proportions précises).
Chaque tableau est une émotion, que Kim Schwarck nous a fait partager très précisément, par ses gestes, ses mots, le jeu de son visage. A chaque tableau, donc, est associé un aliment, un plat, ça a marché à chaque fois, à la fin de chaque tableau, j’avais mon cœur empli de l’émotion, la bouche pleine du goût.
Sur certains tableaux, elle chante. Les chansons de sa mère, Martine Clémenceau, qui a représenté la France à l’Eurovision 1973 avec Sans Toi, accompagné Claude François sur Quelquefois, écrit Solitaire (qui sera ensuite repris par Laura Branigan), une chanson qu’elle a écrit.
De la même façon, elle évoque la maladie qui l’a envoyée, petite fille, dans un service d’hôpital dont on ne sortait pas forcément debout, qui lui a fait perdre ses cheveux et donné le goût de la ratatouille en conserve. Qui, peut-être, lui a donné une part de sa force, de son énergie, de sa joie de vivre contagieuse.
Le spectacle est bien écrit, les jeux de mots fusent sans abus, joué sur un rythme enlevé, les tableaux s’enchainent sans qu’elle ne perde l’attention du spectateur, ponctués de plaisanteries parfaitement graveleuses sans jamais être vulgaires (c’est aussi ça, la vie). Les petits détails, jetez un œil sur les boutons de sa robe, on dirait du Play Doh.
J’ai tout aimé dans Des Papilles dans le Ventre, le texte, bien sûr, la très belle mise en scène de Pierre Notte, le rythme, l’énergie de Kim Schwarck qui, à peine les applaudissements, est à la sortie de la salle, distribue la recette de la fricadelle, le flyer du spectacle aux passants.
Des Papilles dans le Ventre est un spectacle à aller voir entre amis, pour amortir les vagues d’émotions qui vous remueront pendant le spectacle, pour aller, ensuite, dîner ensemble, c’est un spectacle dont on sort en ayant faim.
Une joie de vivre fabuleuse se dégage de ce spectacle. La faim de vivre de Kim est inattendue et rafraichissante.
Kim nous reçoit avec des framboises sur le bout des doigts qu'elle savoure avec gourmandise. Mais pourquoi aime t'elle aussi manger ? Elle nous raconte sa vie, nous parle de sa famille et nous donne des recettes familiales.
C'est frais, vivant et rigolo, totalement originale et il y a une belle hsistoire au fond.
On ressort avec le sourire, une fiche de recette des fricadelles et des After Eight.
Kim nous reçoit avec des framboises sur le bout des doigts qu'elle savoure avec gourmandise. Mais pourquoi aime t'elle aussi manger ? Elle nous raconte sa vie, nous parle de sa famille et nous donne des recettes familiales.
C'est frais, vivant et rigolo, totalement originale et il y a une belle hsistoire au fond.
On ressort avec le sourire, une fiche de recette des fricadelles et des After Eight.
Avec des framboises pleins les doigts, Kim m'a mise en appétit.
Le spectacle est très dynamique et l'artiste attachante (on a même droit à une recette à la sortie).
Le décor est simple mais marque bien les saisons de sa vie gourmande.
L'ensemble est très frais.
Le spectacle est très dynamique et l'artiste attachante (on a même droit à une recette à la sortie).
Le décor est simple mais marque bien les saisons de sa vie gourmande.
L'ensemble est très frais.
"Des papilles dans le ventre" : un formidable premier seul-en-scène pour Kim Schwarck qui nous propose un spectacle que je ne peux que vous recommander et qui donne envie de croquer la vie à pleines dents !
"Des papilles dans le ventre" est l'histoire d'une jeune femme gourmande et pleine de vie. Kim y évoque ses pulsions gourmandes depuis toute petite, son enfance, sa famille, plusieurs anecdotes ainsi que quelques épreuves vécues. Une des particularités de son récit, qui fait également l'originalité du spectacle, est l'emploi du vocabulaire culinaire qui amène une touche poétique à ce seul-en-scène brillamment interprété.
Avec ce spectacle, la comédienne fait preuve d'une grande générosité, sincérité, elle nous emmène dans un spectacle très personnel qui ne ressemble à aucun autre. Voici ici un très bon choix d'avoir rassemblé ce récit et sa passion pour la gourmandise, qui nous fait voir les choses différemment, nous donnant une très jolie leçon de vie.
Alors, pour combler votre appétit théâtral, il ne vous reste plus qu'à succomber à la tentation et à vous rendre au théâtre pour une escapade culinaire entre rire et émotion avec la très talentueuse et pétillante Kim Schwarck !
"Des papilles dans le ventre" est l'histoire d'une jeune femme gourmande et pleine de vie. Kim y évoque ses pulsions gourmandes depuis toute petite, son enfance, sa famille, plusieurs anecdotes ainsi que quelques épreuves vécues. Une des particularités de son récit, qui fait également l'originalité du spectacle, est l'emploi du vocabulaire culinaire qui amène une touche poétique à ce seul-en-scène brillamment interprété.
Avec ce spectacle, la comédienne fait preuve d'une grande générosité, sincérité, elle nous emmène dans un spectacle très personnel qui ne ressemble à aucun autre. Voici ici un très bon choix d'avoir rassemblé ce récit et sa passion pour la gourmandise, qui nous fait voir les choses différemment, nous donnant une très jolie leçon de vie.
Alors, pour combler votre appétit théâtral, il ne vous reste plus qu'à succomber à la tentation et à vous rendre au théâtre pour une escapade culinaire entre rire et émotion avec la très talentueuse et pétillante Kim Schwarck !
Je me suis régalée dans tous les sens du terme !
Comment décrire Kim et son spectacle... Ça me rappelle ces bonbons que je mangeais enfant et qui explosaient sur mon palais... Kim, c'est un peu ça. Tout de rose vêtue tel un bonbon, sourire éclatant, énergie débordante, elle explose tout sur scène. Investissant complètement l'espace, dans son décor sobre et rétro, cette excellente comédienne nous transmet sa passion, que dis-je, son addiction pour la bouche... euh pour la bouffe... d'une manière totalement inattendue.
Un récit au cours duquel elle nous livre ses émotions à la vue du moindre aliment ou pour la moindre saveur... Et même pour des choses qui ne se mangent pas mais dont l'apparence donne faim.
C'est original, drôle, pétillant et même parfois sensuel... mais aussi touchant car si Kim nous faire beaucoup rire, on découvre aussi un épisode plus sombre au cœur de cette enfance remplie de gourmandise.
On ressort de ce spectacle avec cette envie de croquer tout ce qui se mange car Kim ravit nos papilles et nous donne faim, il faut bien le dire mais surtout avec l'envie de croquer la vie à pleine dent et de faire des obstacles de la vie une force ! Une belle leçon de vie. A voir et revoir sans risquer la moindre indigestion ! Bravo Kim et merci !
Comment décrire Kim et son spectacle... Ça me rappelle ces bonbons que je mangeais enfant et qui explosaient sur mon palais... Kim, c'est un peu ça. Tout de rose vêtue tel un bonbon, sourire éclatant, énergie débordante, elle explose tout sur scène. Investissant complètement l'espace, dans son décor sobre et rétro, cette excellente comédienne nous transmet sa passion, que dis-je, son addiction pour la bouche... euh pour la bouffe... d'une manière totalement inattendue.
Un récit au cours duquel elle nous livre ses émotions à la vue du moindre aliment ou pour la moindre saveur... Et même pour des choses qui ne se mangent pas mais dont l'apparence donne faim.
C'est original, drôle, pétillant et même parfois sensuel... mais aussi touchant car si Kim nous faire beaucoup rire, on découvre aussi un épisode plus sombre au cœur de cette enfance remplie de gourmandise.
On ressort de ce spectacle avec cette envie de croquer tout ce qui se mange car Kim ravit nos papilles et nous donne faim, il faut bien le dire mais surtout avec l'envie de croquer la vie à pleine dent et de faire des obstacles de la vie une force ! Une belle leçon de vie. A voir et revoir sans risquer la moindre indigestion ! Bravo Kim et merci !