Critiques pour l'événement En attendant Bojangles
Ayant lu le livre j'ai apprécié de voir les choix opérés pour la mise en scène. Elle s'avère astucieuse et on prend plaisir à écouter Nina Simone, c'est un plus par rapport à la lecture. On peut être déstabilisé par le choix de laisser l'interprète du petit garçon raconter l'histoire sous forme de monologue mais le comédien m'a agréablement surprise.
Le rôle phare est celui de la mère déjantée et il est très bien joué. Par contre je ne m'imaginais pas le père/mari incarné par ce comédien, j'aurais aimé un peu plus de peps dans son jeu mais c'est une question de point de vue !
Je conseille pour tous les amateurs de récits doux/déjantés/amers dans le style de Boris Vian !
Le rôle phare est celui de la mère déjantée et il est très bien joué. Par contre je ne m'imaginais pas le père/mari incarné par ce comédien, j'aurais aimé un peu plus de peps dans son jeu mais c'est une question de point de vue !
Je conseille pour tous les amateurs de récits doux/déjantés/amers dans le style de Boris Vian !
De mon côté, j'ai passé un moment agréable. La mise en scène m'a bien plu. J'ai apprécié le jeu des acteurs.
Par contre, j'ai eu plus de mal a accrocher aux nombreux monologues narratifs qui, à mon sens, ralentissaient l'action et le rythme de la pièce. Ma femme a, quant à elle, beaucoup plus apprécié que moi.
Elle a aimé le sujet de la pièce la réflexion autour de l'amour fou, de la maladie, du choix final.
Par contre, j'ai eu plus de mal a accrocher aux nombreux monologues narratifs qui, à mon sens, ralentissaient l'action et le rythme de la pièce. Ma femme a, quant à elle, beaucoup plus apprécié que moi.
Elle a aimé le sujet de la pièce la réflexion autour de l'amour fou, de la maladie, du choix final.
En attendant Bojangles d’après le roman d’Olivier Bourdeaut à La Pépinière théâtre.
Amour, folie, extravagance, dilettante mais aussi tendresse et chagrin tous ces sentiments voguant et dansant au son de Bojangles de Nina Simone.
Un petit garçon raconte ses souvenirs, sa vie tumultueuse, pittoresque, passionnante et pleine d’amour qu’il a vécue avec ses parents et qu’il nous livre avec élégance et douceur.
Entouré une mère excentrique, frivole mais aimant passionnément les siens et d’un père ayant consacré sa vie à rendre heureuse le joyau de son existence « son épouse ».
C’est gai, dynamique, amusant et touchant.
Malheureusement la vie n’est pas un long fleuve tranquille... Des épreuves vont survenir mais l’amour et la fantaisie vont les adoucir et les rendre plus légères et même parfois clownesques.
La fin est empreinte de poésie et de délicatesse qui nous laissent rêveurs et attendris.
La mise en scène dynamique et attrayante nous transporte agréablement dans les aventures de cette famille hors du commun.
Victor Bouleger est très émouvant dans ce rôle de petit garçon, je me souviens de l’avoir vu il y a quelques années dans Victor et les enfants au pouvoir, je l’avais déjà trouvé fantastique.
Les parents, parents hors du commun sont incarnés avec talent par Anne Charrier et Didier Brice.
Amour, folie, extravagance, dilettante mais aussi tendresse et chagrin tous ces sentiments voguant et dansant au son de Bojangles de Nina Simone.
Un petit garçon raconte ses souvenirs, sa vie tumultueuse, pittoresque, passionnante et pleine d’amour qu’il a vécue avec ses parents et qu’il nous livre avec élégance et douceur.
Entouré une mère excentrique, frivole mais aimant passionnément les siens et d’un père ayant consacré sa vie à rendre heureuse le joyau de son existence « son épouse ».
C’est gai, dynamique, amusant et touchant.
Malheureusement la vie n’est pas un long fleuve tranquille... Des épreuves vont survenir mais l’amour et la fantaisie vont les adoucir et les rendre plus légères et même parfois clownesques.
La fin est empreinte de poésie et de délicatesse qui nous laissent rêveurs et attendris.
La mise en scène dynamique et attrayante nous transporte agréablement dans les aventures de cette famille hors du commun.
Victor Bouleger est très émouvant dans ce rôle de petit garçon, je me souviens de l’avoir vu il y a quelques années dans Victor et les enfants au pouvoir, je l’avais déjà trouvé fantastique.
Les parents, parents hors du commun sont incarnés avec talent par Anne Charrier et Didier Brice.
Grosse déception après avoir lu le livre.
En bref, un garçon raconte l’histoire de ses parents. Toute la vie de la famille tourne autour de la mère qui est très excentrique. On apprend à la fin que son excentricité est en fait de la bipolarité. Sa famille rentre dans ses crises de folie pour la préserver.
J’avais beaucoup d’attente sur cette pièce après avoir adoré le livre. Je pense que globalement les déceptions ont été les suivantes :
- Le jeu des comédiens : jai trouve que tant le père que le fils poussaient trop fort le trait, ils sonnaient faux. Ils parlent également très vite
- Le décor : peu d’éléments de décor ; or le livre insiste beaucoup sur l’univers fou de l’appartement familial
- Les crises de la mère ne suivent pas (dans le jeu) les moments de folie, j’ai trouvé qu’il n’y avait pas d’équilibre entre les hauts et les bas de la mère, la pièce n’insiste que sur les moments euphoriques
L’intérêt de la pièce et du livre ont été à mes yeux la réflexion sur la folie, et la norme. Pendant tout le début de la pièce, on se demande si la mère est folle ou excentrique. Est-ce que c’est à travers notre regard de société contemporaine française, que nous trouvons la mère folle ? Ou uniquement, est ce qu’elle ne déplace pas la norme un tout petit peu plus haut ? J’ai eu envie de m’interroger sur la folie !
Je vous souhaite une bonne pièce tout de même.
En bref, un garçon raconte l’histoire de ses parents. Toute la vie de la famille tourne autour de la mère qui est très excentrique. On apprend à la fin que son excentricité est en fait de la bipolarité. Sa famille rentre dans ses crises de folie pour la préserver.
J’avais beaucoup d’attente sur cette pièce après avoir adoré le livre. Je pense que globalement les déceptions ont été les suivantes :
- Le jeu des comédiens : jai trouve que tant le père que le fils poussaient trop fort le trait, ils sonnaient faux. Ils parlent également très vite
- Le décor : peu d’éléments de décor ; or le livre insiste beaucoup sur l’univers fou de l’appartement familial
- Les crises de la mère ne suivent pas (dans le jeu) les moments de folie, j’ai trouvé qu’il n’y avait pas d’équilibre entre les hauts et les bas de la mère, la pièce n’insiste que sur les moments euphoriques
L’intérêt de la pièce et du livre ont été à mes yeux la réflexion sur la folie, et la norme. Pendant tout le début de la pièce, on se demande si la mère est folle ou excentrique. Est-ce que c’est à travers notre regard de société contemporaine française, que nous trouvons la mère folle ? Ou uniquement, est ce qu’elle ne déplace pas la norme un tout petit peu plus haut ? J’ai eu envie de m’interroger sur la folie !
Je vous souhaite une bonne pièce tout de même.
Georges rencontre une étrange et fascinante jeune femme au cours d’une soirée assez assommante, elle est extravagante et c’est le coup de foudre ! Elle ne lui donne pas son prénom, alors il en invente un tous les jours !
Si elle respire la joie de vivre et l'exubérance, certains de ces comportements ne laissent pas de doute quant à sa santé mentale. Georges est amoureux et entre dans son jeu. Et la fête continue, avec Nina Simone et M. Bojangles.
Leur fils, 10 ans sera le narrateur de cet amour fou. Il entend sa mère réprimander l’institutrice, et sort vite de l’école où d’après sa mère il n’apprend rien, il est le témoin de la scène qu’elle fait à l’inspecteur des impôts et aussi à une dame dans la rue, s’offusquant de voir promener “Mlle Superfétatoire”, une grue qu’ils ont rapportée d’un voyage, et qui se balade en toute liberté dans l’appartement.
Mais la mère divague un peu trop et dangereusement. Et les rires se feront plus rares...
C’est une jolie fable, loufoque, excessive, menée tambour battant par un trio de comédiens investis et crédibles dans leurs personnages. J’ai trouvé l’adaptation fidèle au roman.
Une histoire bien romantique pour commencer une soirée.
Si elle respire la joie de vivre et l'exubérance, certains de ces comportements ne laissent pas de doute quant à sa santé mentale. Georges est amoureux et entre dans son jeu. Et la fête continue, avec Nina Simone et M. Bojangles.
Leur fils, 10 ans sera le narrateur de cet amour fou. Il entend sa mère réprimander l’institutrice, et sort vite de l’école où d’après sa mère il n’apprend rien, il est le témoin de la scène qu’elle fait à l’inspecteur des impôts et aussi à une dame dans la rue, s’offusquant de voir promener “Mlle Superfétatoire”, une grue qu’ils ont rapportée d’un voyage, et qui se balade en toute liberté dans l’appartement.
Mais la mère divague un peu trop et dangereusement. Et les rires se feront plus rares...
C’est une jolie fable, loufoque, excessive, menée tambour battant par un trio de comédiens investis et crédibles dans leurs personnages. J’ai trouvé l’adaptation fidèle au roman.
Une histoire bien romantique pour commencer une soirée.
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