- Théâtre de l'oeuvre
- Paris 9ème
Le Dernier Cèdre du Liban
À l'affiche du :
5 juillet 2025 au 28 décembre 2025
Jours et horaires
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Eva, très intelligente mais surtout très en colère est
une jeune pensionnaire du Centre d'Education
pour mineurs de Mont de Marsan.
Abandonnée à sa naissance,
elle ne connaît rien de ses parents.
Pourtant ce jour là, convoquée chez le notaire,
elle reçoit son héritage :
Des dizaines de micro cassettes et un dictaphone.
La voix de sa mère sur des heures et des heures d'enregistrement !
L'AVIS DE LA REDACTION : 9,5/10
Les chemins de la colère !
Ce spectacle coup de poing est mon coup de cœur du Festival !
J'y ai trouvé tout ce qui fait que l'on aime le théâtre.
L'histoire magnifique que nous raconte Aïda Asgharzadeh, les comédiens, la mise en scène de Nikola Carton.
L'authenticité. L'absence de pathos. La simplicité. La colère et la tendresse. L'humanité.
Dès les premières minutes, Eva la rebelle nous embarque.
Dès les premières minutes, Eva la rebelle nous embarque.
Aucune fioriture, c'est cash et c'est magnifique.
La jeune comédienne Maëlis Adalle est superbe ! Sans filtre, sans lamentations, mais tellement de choses à dire .....
Magali Genoud et Azeddine Benamara sont tout aussi incroyables.
Magali Genoud et Azeddine Benamara sont tout aussi incroyables.
Elle, Anna, en apparence détachée de tout, kamikaze de l'information, qui n'a pû ni avorter ni élever sa fille. Comment, pourquoi est elle arrivée là ?
Lui qui joue magnifiquement plusieurs rôles d'hommes forts, d'hommes tendres, d'hommes amoureux, d'hommes perdus .....
Aïda raconte la guerre, la transmission, les origines.
Et ceux qui sont sur scène portent sa voix haut et fort.
C'est grand, c'est beau, c'est puissant !
La pièce se jouera au théâtre de l'Oeuvre à partir du 11 septembre.
Sylvie Tuffier
Toutes les critiques
Il y a des pièces de théâtres qui se découvrent comme un film ou un bon roman. Aïda Asgarzadeh nous avait déjà livré ce sentiment avec ses Poupées persanes, ou La main de Leïla... une auteure qu'on retourne donc voir les yeux fermés mais le cœur bien ouvert, prêt à recevoir l'histoire et l'Histoire, tissées par des personnages vibrants et sincères.
C'est l'occasion de se glisser dans un univers méconnu, celui du journalisme de guerre, en traversant plusieurs évènements marquants, mais aussi des thématiques qui sont presque les codes de ce théâtre de fiction historique : la quête initiatique, le voyage, le hasard, les parents.
Des thèmes aspirants notre génération, troublants, émouvants mais sans jamais glisser vers le pathos.
Le rythme (palpitant) et la mise en scène (minimaliste) aussi participent à cet enveloppement des sens : on est tout de suite happé, sans temps mort, par cette alternance de réalisme et d'instants suspendus.
Le trio de comédiens (Magali Genoud, Maëlis Adalle, Azeddine Benamara) y est authentique et brillant.
C'est l'occasion de se glisser dans un univers méconnu, celui du journalisme de guerre, en traversant plusieurs évènements marquants, mais aussi des thématiques qui sont presque les codes de ce théâtre de fiction historique : la quête initiatique, le voyage, le hasard, les parents.
Des thèmes aspirants notre génération, troublants, émouvants mais sans jamais glisser vers le pathos.
Le rythme (palpitant) et la mise en scène (minimaliste) aussi participent à cet enveloppement des sens : on est tout de suite happé, sans temps mort, par cette alternance de réalisme et d'instants suspendus.
Le trio de comédiens (Magali Genoud, Maëlis Adalle, Azeddine Benamara) y est authentique et brillant.
Les chemins de la colère !
Ce spectacle coup de poing est mon coup de cœur du Festival !
J'y ai trouvé tout ce qui fait que l'on aime le théâtre.
L'histoire magnifique que nous raconte Aïda Asgharzadeh, les comédiens, la mise en scène de Nikola Carton.
L'authenticité. L'absence de pathos. La simplicité. La colère et la tendresse. L'humanité.
Dès les premières minutes, Eva la rebelle nous embarque.
Aucune fioriture, c'est cash et c'est magnifique.
La jeune comédienne Maëlis Adalle est superbe ! Sans filtre, sans lamentations, mais tellement de choses à dire .....
Magali Genoud et Azeddine Benamara sont tout aussi incroyables.
Elle, Anna, en apparence détachée de tout, kamikaze de l'information, qui n'a pû ni avorter ni élever sa fille. Comment, pourquoi est elle arrivée là ?
Lui qui joue magnifiquement plusieurs rôles d'hommes forts, d'hommes tendres, d'hommes amoureux, d'hommes perdus .....
Aïda raconte la guerre, la transmission, les origines.
Et ceux qui sont sur scène portent sa voix haut et fort.
C'est grand, c'est beau, c'est puissant !
Ce spectacle coup de poing est mon coup de cœur du Festival !
J'y ai trouvé tout ce qui fait que l'on aime le théâtre.
L'histoire magnifique que nous raconte Aïda Asgharzadeh, les comédiens, la mise en scène de Nikola Carton.
L'authenticité. L'absence de pathos. La simplicité. La colère et la tendresse. L'humanité.
Dès les premières minutes, Eva la rebelle nous embarque.
Aucune fioriture, c'est cash et c'est magnifique.
La jeune comédienne Maëlis Adalle est superbe ! Sans filtre, sans lamentations, mais tellement de choses à dire .....
Magali Genoud et Azeddine Benamara sont tout aussi incroyables.
Elle, Anna, en apparence détachée de tout, kamikaze de l'information, qui n'a pû ni avorter ni élever sa fille. Comment, pourquoi est elle arrivée là ?
Lui qui joue magnifiquement plusieurs rôles d'hommes forts, d'hommes tendres, d'hommes amoureux, d'hommes perdus .....
Aïda raconte la guerre, la transmission, les origines.
Et ceux qui sont sur scène portent sa voix haut et fort.
C'est grand, c'est beau, c'est puissant !
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