Ses critiques
41 critiques
7/10
Une pièce qui prend du temps à prendre son envol avant de monter en puissance pour finir en feu d'artifice d'absurdité dans une cérémonie funéraire improbable. Le duo fonctionne à merveille et est réjouissant.
Je dois préciser que le début de la pièce m'a provoqué quelques sueurs froides devant les ressorts comiques qui ne marchaient pas avant que le pouvoir comique des 2 comédiens prennent place.
Je dois préciser que le début de la pièce m'a provoqué quelques sueurs froides devant les ressorts comiques qui ne marchaient pas avant que le pouvoir comique des 2 comédiens prennent place.
7/10
Gelsomina est un monologue qui nous fait revivre le film poétique la Strada. La mise en scène nous donne l'occasion de revivre cette fable italienne parlant de la candide Gelsomina qui accompagne le "grand" Zampano.
Avec une mise en scène vivante tout en mouvement et en émotion l'actrice nous comte les émotions et le monde à travers le regard de cette tendre ingénue qui pourrait s'apparenter à l'idiote du village. Et c'est là le gros bémol, l'actrice s'en sort bien avec un texte beaucoup trop long mais n'incarne pas Gelsomina et encore moins Giuletta Masina. Les mots et les images chantent à nos oreilles mais notre coeur ne tressaille pas avec elle.
Le fait de narrer des événements passés créé une distance et ne nous fait pas vibrer. Le texte est sûrement aussi trop dense pour en laisser le temps d'en extraire sa beauté sur un temps si court. Pour finir, la pièce m'a donné envie de revoir La Strada en rentrant à la maison et de trouver le texte de cette pièce qui peut attendre des sommets.
Avec une mise en scène vivante tout en mouvement et en émotion l'actrice nous comte les émotions et le monde à travers le regard de cette tendre ingénue qui pourrait s'apparenter à l'idiote du village. Et c'est là le gros bémol, l'actrice s'en sort bien avec un texte beaucoup trop long mais n'incarne pas Gelsomina et encore moins Giuletta Masina. Les mots et les images chantent à nos oreilles mais notre coeur ne tressaille pas avec elle.
Le fait de narrer des événements passés créé une distance et ne nous fait pas vibrer. Le texte est sûrement aussi trop dense pour en laisser le temps d'en extraire sa beauté sur un temps si court. Pour finir, la pièce m'a donné envie de revoir La Strada en rentrant à la maison et de trouver le texte de cette pièce qui peut attendre des sommets.
6/10
Un spectacle de bonne facture surtout destiné aux tout petit, entre 4 et 10 ans.
Tom nous renvoie à ses premières de ses débuts de magicien dans le grenier paternel de bric et de broc de magiciens.
L'artiste fait preuve d'une réelle aisance et d'un humour qui fonctionne très bien avec les enfants. Le spectacle est intéractif et vivant, hormis le passage avec les 2 portraits qui parlent dont je n'ai pas compris l'intérêt.
J'aurais aussi apprécié un peu plus de "magie" poétique et émotionnelle dans le spectacle pour nous transporter complètement dans cette histoire initiatique.
Tom nous renvoie à ses premières de ses débuts de magicien dans le grenier paternel de bric et de broc de magiciens.
L'artiste fait preuve d'une réelle aisance et d'un humour qui fonctionne très bien avec les enfants. Le spectacle est intéractif et vivant, hormis le passage avec les 2 portraits qui parlent dont je n'ai pas compris l'intérêt.
J'aurais aussi apprécié un peu plus de "magie" poétique et émotionnelle dans le spectacle pour nous transporter complètement dans cette histoire initiatique.
4/10
Après les bons retours lus ici et là, j'attendais avec beaucoup d'impatience une bonne comédie, intelligente et fine.
La pièce se décompose en 4 évènements identifiables qui doivent s'apparenter aux catalyseurs comiques de la pièce : la rencontre, l'inavouable amour, la confrontation, le dénouement.
La rencontre et l'inavouable amour nous servent tous les poncifs sur l'opposition politique entre la gauche humaniste et l'extrême droite fachiste. Même si Thibault de Montalembert donne de la crédibilité et de la prestence à son rôle, cela ne suffit pas à rendre toute cette partie ennuyante par une troupe peu convaincante.
La confrontation à 4, dans un repas arrangé 2 contre 2 permet enfin de nous donner à sourire après presque 1h de pièce. La fin est inattendue et nous propose un moment d'émotion.
Au final, je suis resté déçu par le ton très banal de l'analyse politique et les ressorts comiques épuisés. De plus, le casting est trop inégal avec une Mado qui ne donne pas le change.
La pièce se décompose en 4 évènements identifiables qui doivent s'apparenter aux catalyseurs comiques de la pièce : la rencontre, l'inavouable amour, la confrontation, le dénouement.
La rencontre et l'inavouable amour nous servent tous les poncifs sur l'opposition politique entre la gauche humaniste et l'extrême droite fachiste. Même si Thibault de Montalembert donne de la crédibilité et de la prestence à son rôle, cela ne suffit pas à rendre toute cette partie ennuyante par une troupe peu convaincante.
La confrontation à 4, dans un repas arrangé 2 contre 2 permet enfin de nous donner à sourire après presque 1h de pièce. La fin est inattendue et nous propose un moment d'émotion.
Au final, je suis resté déçu par le ton très banal de l'analyse politique et les ressorts comiques épuisés. De plus, le casting est trop inégal avec une Mado qui ne donne pas le change.
5,5/10
La pièce m'a laissé cloué au sol moi aussi. Malgré une actrice qui se démène pour faire exister cette aviatrice passionnée, le texte ainsi que la mise en scène ne m'ont pas touché. Du coup, c'est avec beaucoup de distance que j'ai assisté à cette narration Mach 3 qui empêche l'actrice de donner corp à ses émotions et tout devient effectivement gris.
Cela aurait pu être une immersion du spectateur dans la frénésie grandissante de l'actrice, mais lorsque la passion doit nous emporter avec tout ce bleu si hardamment désiré, une fois de plus je reste au sol. Au final, la pièce fut trop longue et ne me fit pas chavirer. Bravo à la comédienne qui arrive tout de même à débiter un texte bien trop fourni avec qualité sur 1h20.
Cela aurait pu être une immersion du spectateur dans la frénésie grandissante de l'actrice, mais lorsque la passion doit nous emporter avec tout ce bleu si hardamment désiré, une fois de plus je reste au sol. Au final, la pièce fut trop longue et ne me fit pas chavirer. Bravo à la comédienne qui arrive tout de même à débiter un texte bien trop fourni avec qualité sur 1h20.