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Yves Poey
Yves Poey
Mini-Molière du Critique
120 ans
62 espions
espionner Ne plus espionner
Des critiques de théâtre, des interviews webradio, des coups de coeur, des coups de gueule.
Son blog : http://delacouraujardin.over-blog.com/
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Ses critiques

1005 critiques
Le Misanthrope ou la conquête du courage

Le Misanthrope ou la conquête du courage

7/10
29
Elle sort !
Il reste. Seul.


Pour Maxime Chazalet, la metteure en scène, et pour les membres de la Compagnie Stückthéâtre, Alceste est avant tout courageux.
En faut-il du courage pour renoncer sciemment au nom de ses principes, à son refus de toute compromissions face aux charmes de Célimène !
Sacrifier l'objet de son désir à sa soif d'absolu demande ce courage-là.


Cette pièce va nous poser une question fondamentale : de quel courage avons-nous besoin aujourd'hui, pour rester de la plus totale intransigeance avec ce à quoi l'on croit ?
Une question d'une brûlante actualité : il n'est qu'à constater combien de reniements de valeurs, de parole, sont à l'ordre du jour en ce moment.


J'en veux par exemple pour preuve très récente cet homme politique aux deux mêmes initiales qui jura naguère ses grands dieux socialistes de ne jamais se rallier à une ancienne ministre de la santé devenue candidate en marche aux municipales parisiennes, et qui s'empressa voici une petite semaine de la rejoindre sur sa liste.
Passons.

Ce misanthrope, c'est un misanthrope contemporain, donc.
Un très jeune misanthrope.
Il est réjouissant de constater comment une jeune génération de comédiens s'empare d'un chef d'œuvre classique.

Sur le plateau, ce sont des jeunes un peu bobos qui nous parlent. Ils semblent s'être habillés chez The Kooples, et résider dans le XIXème arrondissement de Paris, du côté du Canal Saint-Martin.

Les six entrent côté jardin, et nous fixent un long moment, l'air un peu étonné. Oui, oui, nous sommes-là.
Nous aussi, nous allons être partie prenante de la pièce.
Nous serons l'Humanité, les hommes et femmes à qui s'adresse le message de Molière.
Nous allons être très souvent pris à partie, par le regard ou par des adresses auxquelles nous avons parfois envie de répondre.
D'ailleurs, souvent, les comédiens s'adresseront, non pas à leur partenaire, mais au public, comme s'il était un personnage à part entière.

C'est Célimène qui va ouvrir le bal, en nous lisant un passage de... Musset.
Les confessions d'un enfant du siècle.
Le grand Alfred, dans ce roman autobiographique se pose en effet la question : « Qu'en pensez-vous ? Suis-je un misanthrope ? »
La problématique est clairement annoncée.
(Nous entendrons également des extraits d'Hölderlin et de Pasolini.

Sur le plateau, une petite table avec des chaises, une zone qui matérialise un espace scénique, un praticable au lointain.
Sarah Marcotte à la régie se trouve elle aussi sur le plateau, comme un ingénieur du son retours-plateau. Pour être au plus près des artistes, pour interagir avec eux.

La mise en scène de Maxime Chazalet est souvent physique, avec des chutes, des empoignades, des corps qui existent réellement en tant que tels. Un début de bagarre entre Alceste et Oronte doit être interrompu avant que le sang ne coule !

Des moments drôles émailleront la pièce. La scène du sonnet (avec les excellents Hugo Eymard dans le rôle titre et Justin Jaricot en Oronte qui s'en donnent à cœur joie), cette scène-là est par exemple très réussie.
Tout comme ce qui touche à l'affirmation haut et fort de certaines didascalies, ce qui nous fait rire. (Je vous laisse découvrir.)

Le distribution est très homogène.
Certes, on peut parfois remarquer pour chipoter que certaines tirades résonnent de façon encore un peu « verte ».
Cependant, l'alexandrin coule, fluide, à tel point que nous l'oublions très rapidement.

Philinte est interprété par Mademoiselle Lili Dupuis, qui assume très bien cette transformation transgenre du personnage. En legging bordeaux à rayures blanches et en chemisier noir, elle est tout à fait crédible. Son duo avec Hugo Eymard fonctionne à la perfection.

Au final, j'ai assisté à une bien intéressante adaptation de la pièce de M. Poquelin, qui donne vraiment la parole à tous les personnages, qui tous sont montrés dans une volonté de réel questionnement.

Un questionnement que chacun d'entre nous reprend à son compte.
Quel est la mesure de notre courage, au regard de celui d'Alceste ?
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Les contes immoraux - Partie 1 - Maison mère

Les contes immoraux - Partie 1 - Maison mère

9/10
28
Voici un spectacle fascinant !
Phia Ménard nous a donné hier soir aux Bouffes du Nord une performance singulière, onirique et à nulle autre pareille !

Elle est là, au lointain, qui nous attend, la performeuse. De pied ferme !
Nous allons voir ce que nous allons voir !
En costume de super-héroïne, un loup noir sur la figure, blouson usé sans manches en cuir rouge, corset-bustier à balconnets cloutés, jupette en matière caoutchouteuse, collants à larges mailles filées, bottes à haut talon, elle patiente. Immobile et guerrière.

A ses côtés, ses armes, ses sceptres : des sortes de piques plus ou moins longues.



Nous allons voir ce que nous allons voir !

Devant elle, une étendue de différents cartons ondulés qui occupe une bonne partie de la scène.
Et nous de comprendre très vite.

Cette super-héroïne, cette déesse de cuir est venue apprendre à l'Homme à bâtir sa maison, son abri, son temple personnel.

Ces cartons, elle n'aura de cesse durant une bonne heure et quart de les assembler, grâce à ses mains et à ses piques, pour en faire une grande bâtisse plus haute qu'elle. Quatre murs et un toit.
Le tout sans qu'un seul mot ne sorte de sa bouche !

Une vraie performance, vous dis-je ! (Elle finit trempée de sueur.)

Ce faisant, Phia Ménard va mettre en place toute une épatante série d'interactions dramaturgiques avec les spectateurs qui vont nous permettre de réagir intellectuellement mais aussi physiquement.

Nous souffrons avec elle, de la voir s'activer : on la voit peiner, souffler, les lois de la physique et la pesanteur sont souvent contre elle.
Melle Ménard est jongleuse de formation. Son rapport avec l'objet à manier et à faire bouger est particulier. Le geste, même s'il fait mine d'être hésitant, est à la fois ample, sûr et beau.

C'est également une comédienne qui se tient devant nous : nous rions également de constater ses difficultés, ses mimiques de fatigue, de rage ou de fierté devant sa construction.
Et puis le dernier accessoire-outil utilisé nous amusera beaucoup !

Nous avons peur, parfois. Les premiers rangs pourraient fort bien recevoir ces cartons sur le coin de la figure... On y pense...

Et puis surtout, nous avons envie de l'aider, ce personnage, d'aller lui apporter notre soutien. Oui, j'ai failli courir vers elle sur le plateau pour maintenir certains éléments de la construction.
Une vraie forme d'empathie envers elle se dégage alors.

Ils sont rares, finalement, ces spectacles (d'autant que celui ci est « muet »), qui nous permettent de ressentir cette large palette d'émotions poussant à interagir avec l'interprète.

Et puis, la construction aboutie, nous allons comprendre.
Ce qu'elle a mis une heure et quart à construire sera détruit. Impitoyablement.
L'eau va inonder le plateau, la fumée va envahir tout le théâtre. Nous n'y verrons pratiquement plus rien. Sauf apercevoir des ruines.

Melle Ménard nous raconte en fait une tragédie familiale.
Son grand-père est décédé en septembre 1943, à Nantes, dans son domicile et sous un tapis de bombes alliées, larguées pour permettre le futur engagement de troupes au sol.


Le « plan Marshall » mettra en œuvre la reconstruction de maisons préfabriquées, des « maisons mères » en attente d'une future et inexorable démolition par d'autres hommes.
L'Homme destructeur de son propre génie bâtisseur. L'Homme annihilant d'autres hommes.
Une mise en abyme.

Ce spectacle est également une remarquable œuvre sonore.
Durant toute sa durée, Ivan Roussel, derrière sa console et ses appareils électroniques, va composer et jouer en direct une véritable partition de musique contemporaine concrète, à base de sons étranges et de nappes sonores bizarres pré-enregistrées, et surtout en samplant en direct et en diffusant sur les enceintes L-Acoustics de la salle, avec un léger delay et autres effets, les bruits générés par la bâtisseuse.


C'est ainsi que sont rediffusés en loops le bruit des talons, le scotch qui se déchire, qui se dévide du rouleau, la main qui passe sur le carton ondulé, le son de l'outil final, (non, vous n'en saurez pas plus), etc...

Si j'avais le temps, je retournerais assister au spectacle les yeux bandés, pour mieux apprécier encore cette création sonore. Ce n'est pas tous les jours que nous avons la chance d'assister en direct à la fabrication d'une partition musicale de cette qualité.
Tout ceci participe pleinement au caractère étrange, onirique de la soirée.

Cette performance, qui peut être à certains égards déroutante, est passionnante.
Ce spectacle vivant d'une remarquable qualité, co-écrit par Jean-Luc Beaujault, permet d'être étonné, sidéré, amusé, peut-être parfois un peu secoué, mais ne laisse jamais indifférent.
Au contraire, il nous pousse en permanence à vouloir extérioriser ce que nous ressentons.

C'est véritablement une performance à laquelle il faut assister !
Vivement les deuxième et troisième parties de la trilogie envisagée par Phia Ménard et Jean-Luc Beaujault !
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Les ritals

Les ritals

10/10
32
Quand Bruno rencontre François.
Quand un comédien nous donne une leçon de théâtre en adaptant pour le plateau la très riche et merveilleuse langue du grand, de l'immense Cavanna.
Quand ces deux-là vous font rire, pleurer et au final applaudir à vous en rougir les mains.

Tout avait commencé à Toulouse, voici un peu plus de deux années, par une lecture musicale de ces Ritals, organisée par la revue locale « Radici ». L'un de ses membres, Rocco Femia eut l'excellente idée de réunir Bruno Putzulu, dont le père naquit en Sardaigne, et l'accordéoniste Grégory Daltin, rejeton d'un papa trévisan.
La lecture terminée, il fut alors logique, comme une évidence, de continuer à dire et jouer sur scène les mots du co-fondateur de Hara-Kiri et Charlie.
Mario Putzulu signerait la mise en scène.

Sur scène, justement, une table recouverte d'une toile cirée, aux grandes fleurs. Trois chaises.
Une simple ampoule éclaire le tout.

Deux hommes entrent à cour. L'accordéonniste et un petit garçon.
Ce petit garçon, c'est François, qu'incarne Bruno Putzulu.
À jardin, un bleu de travail. Une veste d'ouvrier suspendue des cintres.

Le comédien va nous raconter, certes, l'enfance de l'écrivain, il va incarner la vibrante humanité qui émane des personnages du roman, mais il va surtout mettre en évidence et en tout premier lieu la qualité de l'écriture de Cavanna.

Une écriture et un style avant tout proches de l'oralité.
Une écriture limpide, sans chichis, une écriture aux formules singulières, uniques, reconnaissables entre toutes et au lyrisme humaniste.

Les mots de Cavanna le fin lettré, le passionné de littérature, ces mots-là passent en effet remarquablement au gueuloir.

Bruno Putzulu va nous les dire et les interpréter de façon merveilleuse, ces mots.

Il va incarner de façon remarquable et bouleversante les personnages du roman.
Le jeune François, bien entendu, mais également son père, une mère-maquerelle, un instit, des copains, Jojo, et j'en passe.

Les passages inoubliables du livre nous sont mis en images et en voix, avec des scènes remarquables, drôles ou bouleversantes...
Le père qui se mouche, les deux copains sur leur vélo, le verre de vermouth, le banquet des garibaldiens, le départ de la maison, et bien d'autres...

Le comédien fait vivre ces saynètes avec une énergie folle (la chemise est trempée à la fin du spectacle), avec une formidable délicatesse, ainsi qu'une incroyable appropriation.
Lui aussi, son papa était italien et sa maman française, là-bas, dans l'Eure.

Il prend des accents, des intonations, des mimiques réjouissants. C'est bien simple, les spectateurs ont en face d'eux tous les personnages qu'ils connaissant bien, pour la plupart.

Il imite les célébrités citées dans le roman. Je n'en dis pas plus, c'est très réussi et drôlissime.

Moi, je dois l'avouer, je pleurais, en voyant ce petit garçon marcher au bras de son père, ne sachant pas qui était le plus fier des deux.
Bouleversant, vous dis-je...

Et puis bien entendu, Bruno Putzulu nous dit la condition, les tourments, les difficultés de l'Emigré, cet être humain qui a dû quitter sa terre natale pour s'installer ailleurs.
L'ailleurs souvent hostile, l'autre part qui vous juge, vous méprise, vous accuse de venir manger le pain local.

Tout ce qui nous ramène à notre actualité, l'immigration des Ritals d'alors ayant fait place à celle des Algériens, Marocains, Tunisiens...

La cathophobie d'alors (le passage du livre est évoqué sur le plateau) ayant fait place à l'islamophobie de maintenant.
Rien de nouveau sous le soleil... Hélas...

Et nous de comprendre l'engagement de Cavanna : « je n'ai plus jamais supporté que l'on humilie quelqu'un », nous dit Putzulu.

Mention est faite également du remerciement adressé aux enseignants qui ont fait en sorte d'enseigner et de communiquer la passion des bouquins au petit François.

Un accordéoniste talentueux, en l'occurrence hier, Aurélien Noël, fait beaucoup plus qu'accompagner le comédien.
C'est un complice, incarnant lui aussi différents personnages.

Le duo fonctionne à la perfection.

Bruno Putzulu terminera le spectacle en s'appropriant et en adaptant cette phrase du roman : « J'étais parti pour vous raconter les Ritals, je crois qu'en fin de compte, j'ai surtout raconté Papa ».

Papa.

C'est un spectacle qu'il ne faut surtout pas manquer.
Un spectacle qui a du cœur.
Enormément. Passionnément.
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Droite Gauche

Droite Gauche

3/10
20
Non, non, non et non !

L'idée de départ était formidable.
Remonter la généalogie d'une famille pour analyser "l'ethos" politique : pourquoi est-on de droite ou de gauche ?

Mais voilà, metteur en scène, dramaturge, scénographe, ce sont des métiers !
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Melle Julie, meurtre d'âme

Melle Julie, meurtre d'âme

8,5/10
31
Fais-nous mal, Julie, Julie, Julie, envoie-nous en Suède...

A la Saint-Jean, pas évident d'être amants...

Au théâtre de La Girandole, à Montreuil, Moni Grégo nous propose une libre adaptation de la pièce d'August Strindberg.
Une sorte de palimpseste destiné à mettre en évidence, en lumière crue, Melle Julie et son Jean de valet, ces deux êtres en errance et en souffrance.

Cette variation sur un thème donné va nous raconter cette histoire d'amour, cette histoire de mort.
Une passion pulsionnelle, des pulsions passionnées.

Les Julie et Jean de Moni Grégo sont avant tout des corps.
Ici, cette histoire est avant tout physique, avec d'être intellectualisée.
Parce que l'amour, la mort, Eros et Thanatos, ce sont avant tout des corps qui s'attirent, se repoussent, s'étreignent, se caressent, se frappent, s'allongent, se chevauchent.

La passion selon Moni, les amours, la haine seront charnelles, les sentiments passeront par les corps des comédiens.

Le couple va exécuter devant nous une véritable chorégraphie subtile, à la fois simple et compliquée.
Une danse de mort, une valse fatale.

Roxane Borgna a mis en scène tous ces sentiments exacerbés avec fureur et intensité.
Le ton est donné dès la première scène, rouge, couleur de sang, de mort.
Elle incarne elle-même Julie, en robe de soirée écrue, les épaules dénudées.

De son personnage, va émaner en permanence le besoin de hurler ses sentiments, de les exprimer haut et fort, comme s'il n'était plus possible de les contenir en elle.
Pas de demi-mesure, pas de faux-semblants, plus de non-dits. Ce qui doit être dit sera énoncé avec la plus grande force et parfois une grande violence. Nous entendrons des rires et des cris très sonores.

La comédienne va également faire preuve d'une folle sensualité.

Durant cette heure et quart, Melle Borgna incarne véritablement le plus intense des désirs.
Le corps, encore le corps qui parle et qui s'exprime, grâce notamment au travail de la chorégraphe Mitia Fédotenko.

En mêlant ces deux aspects dramaturgiques, elle confère à son personnage une épaisseur on ne peut plus intéressante et prenante.
J'ai pu vraiment mesurer ceci lorsque la comédienne fixe les spectateurs en général et votre serviteur en particulier lors de la tirade de la haine des hommes, les lumières de la salle rallumées. Impossible de détourner alors le regard, subjugués que nous sommes.

Jean est incarné par Jacques Descorde.
La raison opposée à la passion. Lui nous montre parfaitement que son personnage ne voudra pas prendre le risque de se perdre.

Le duo fonctionne à la perfection.
Nous, les spectateurs, comprenons sans peine la douleur, la souffrance contenue dans cette histoire d'amour impossible, et son inexorable aboutissement.

Un troisième personnage se retrouve sur la scène.
Qui est-il, cet homme qui filme de très près les comédiens, qui les éclaire avec des lampes torches (qui feront figure d'armes, ou encore d'objets phalliques), avec également un pico-projecteur, et qui les fera danser en interprétant une langoureuse chanson ?
L'auteur Strindberg en personne, ou bien le père de Julie ? A vous de vous faire votre propre opinion.

C'est Laurent Rojol qui est cet homme-là.
C'est lui qui a produit les très belles images vidéo projetées sur quatre grand lés blancs.
Parfois, il diffuse également en direct des gros plans des visages des comédiens, ce qui renforce le sentiment de proximité des passions.
Ces images souvent en noir-et-blanc sont elles aussi torturées, avec un montage très rapide, créant presque un sentiment d'oppression, renforcé par un univers sonore lui aussi torturé de Eric Guennou.

Ainsi donc, voici une passionnante relecture de cette pièce.
Le travail de Moni Grégo et de Roxanne Borgna nous permet d'aborder l'œuvre de Strindberg avec un regard nouveau, comme une façon de redécouvrir et d'approfondir ce qui constitue la fibre propre de ces deux amants terribles.
Une plongée introspective dans la profondeur de leur être et de leur âme.
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