Son balcon
SAISON 2025-2026
Aucun challenge culturel pour le moment
Mini Molières
44reçus
Critique débutante
Son classement : 703 / 6179
Avant elle

Francine Pittie
1 critique
Après elle

Parigote Théâtre
1 critique
Niveau
1 / 20
1 / 20
1
critique
filatures
1
0
Espions
Derniers curieux qui ont visité son profil
Actualités de ses filatures
De la tension, de l'ironie macabre, du dédain pathétique... Un matamore imbécile, un coupable idéal, une épouse désenchantée, un commissaire dans le doute.
Un jeu d'acteur au millimètre pour une pièce - et un sujet - des plus difficiles.
Un jeu d'acteur au millimètre pour une pièce - et un sujet - des plus difficiles.
Nouvelle venue sur la scène culturelle parisienne : La Cité de l’Économie !
Beaucoup de pédagogie, pleins de jeux ludiques pour comprendre l'économie, les relations entre les différents acteurs, les marchés, les crises et régulations...
Dans un écrin splendide : l'hôtel Gaillard !
Beaucoup de pédagogie, pleins de jeux ludiques pour comprendre l'économie, les relations entre les différents acteurs, les marchés, les crises et régulations...
Dans un écrin splendide : l'hôtel Gaillard !
Le football, caisse de résonance des tensions et des espoirs de la société : y compris (voire surtout) dans le monde arabe.
Le football comme outil d'émancipation, de revendication. Un exutoire à une vie morne. Le football, c'est l'anti déterminisme.
Sont abordées les questions identitaires (Palestine), religieuses (le Nejmeh SC multiconfessionnel au Liban), démocratiques (Algérie 1958-1962), sociétales (la place des femmes)... Les Ultras, par exemple en Égypte, sont souvent le fer de lance des revendications.
Et la France dans tout ça ? Pays de football et d'immigration, elle a connu Kopa, Platini, Zidane et aujourd'hui Mbappé... Symboles des heures de gloire de la FFF, qui fête ses 100 ans.
Que dire de plus ?
Une exposition qui reste néanmoins partielle, réalisée sur commande. On aurait voulu plus d'explications, mieux agencées.
Les deux plateaux consacrés au Qatar (coupe du monde 2022) et au PSG (tendance fashonista fluo) sont médiocres.
L'expo consacrée à la FFF est rapide mais vaut le détour.
Bref, pour y aller, il faut surtout aimer le football.
Ça ne vaut pas les 12 euros de ticket d'entrée. Sauf pour les fans. Ou sauf si c'est gratuit.
Le football comme outil d'émancipation, de revendication. Un exutoire à une vie morne. Le football, c'est l'anti déterminisme.
Sont abordées les questions identitaires (Palestine), religieuses (le Nejmeh SC multiconfessionnel au Liban), démocratiques (Algérie 1958-1962), sociétales (la place des femmes)... Les Ultras, par exemple en Égypte, sont souvent le fer de lance des revendications.
Et la France dans tout ça ? Pays de football et d'immigration, elle a connu Kopa, Platini, Zidane et aujourd'hui Mbappé... Symboles des heures de gloire de la FFF, qui fête ses 100 ans.
Que dire de plus ?
Une exposition qui reste néanmoins partielle, réalisée sur commande. On aurait voulu plus d'explications, mieux agencées.
Les deux plateaux consacrés au Qatar (coupe du monde 2022) et au PSG (tendance fashonista fluo) sont médiocres.
L'expo consacrée à la FFF est rapide mais vaut le détour.
Bref, pour y aller, il faut surtout aimer le football.
Ça ne vaut pas les 12 euros de ticket d'entrée. Sauf pour les fans. Ou sauf si c'est gratuit.
Les phénomènes migratoires sont aussi des flux culturels. La musique en fait partie intégrante. Émergence de différentes genres musicaux en France et au UK qui font de Paris et Londres des capitales multiculturelles : les maghrébins en France ; les Caraïbes, l'Inde et le Pakistan pour le UK.
La musique comme moyen d'expression, de revendication et d'émancipation. La bande son de la révolte, devant laquelle les services et les médias ne comprennent rien. Au UK, au côté des sédicieux The Beatles, The Rolling Stones, The Animals, The Who, The Kinks, The Clash s'affirment. Pour l'éternité. En France, les Yéyé sont un vent de ferveur, terreau à certains mouvements contestataires des années 1970.
Des jeunes occidentaux, branchés sur le rock'n'roll, se mélangent à des enfants d'immigrés (reggae et ska jamaïcains, raï algérien, afrobeat nigérian ou rap). Les luttes sociales et antiracistes foisonnent, au côté d'idées politiques et de groupes et d'artistes devenus mythiques.
En immersion visuelle et sonore durant tout le temps de l'exposition (2h30).
La musique comme moyen d'expression, de revendication et d'émancipation. La bande son de la révolte, devant laquelle les services et les médias ne comprennent rien. Au UK, au côté des sédicieux The Beatles, The Rolling Stones, The Animals, The Who, The Kinks, The Clash s'affirment. Pour l'éternité. En France, les Yéyé sont un vent de ferveur, terreau à certains mouvements contestataires des années 1970.
Des jeunes occidentaux, branchés sur le rock'n'roll, se mélangent à des enfants d'immigrés (reggae et ska jamaïcains, raï algérien, afrobeat nigérian ou rap). Les luttes sociales et antiracistes foisonnent, au côté d'idées politiques et de groupes et d'artistes devenus mythiques.
En immersion visuelle et sonore durant tout le temps de l'exposition (2h30).
Expo intéressante qui parle de l'idéal soviétique par et pour les arts, de la révolution (1917) à la mort de Staline (1953).
L'adhésion au projet communiste prend des formats variés et touchent tous les arts : peinture, théâtre, cinéma, haute couture, architecture...
Les arts pour mobiliser les masses, promouvoir la révolution, raconter le quotidien des travailleurs, etc.
Le photomontage sert l'agit-prop, l'architecture sert à transformer le mode de vie, forger l'homme nouveau...
Mais le stalinisme fourvoie l'idéalisme originel. Certains artistes sont déclarés ennemis de classe et du peuple. La terreur et la militarisation des masses s'imposent à l'art. L'injonction au réalisme soviétique se répand.
L'art sert à la propagande antifasciste, dans une lutte idéologique contre l'impérialisme. Ainsi, divers organismes sont créés pour promouvoir, encadrer les artistes révolutionnaires.
Une exposition tres bien agencée, dans le cadre parfait du Grand Palais. Mais peut-être un peu elitiste car il faut aimer la période, le thème abordé. A conseiller néanmoins.
14 euros plein tarif pour 2h sur place.
L'adhésion au projet communiste prend des formats variés et touchent tous les arts : peinture, théâtre, cinéma, haute couture, architecture...
Les arts pour mobiliser les masses, promouvoir la révolution, raconter le quotidien des travailleurs, etc.
Le photomontage sert l'agit-prop, l'architecture sert à transformer le mode de vie, forger l'homme nouveau...
Mais le stalinisme fourvoie l'idéalisme originel. Certains artistes sont déclarés ennemis de classe et du peuple. La terreur et la militarisation des masses s'imposent à l'art. L'injonction au réalisme soviétique se répand.
L'art sert à la propagande antifasciste, dans une lutte idéologique contre l'impérialisme. Ainsi, divers organismes sont créés pour promouvoir, encadrer les artistes révolutionnaires.
Une exposition tres bien agencée, dans le cadre parfait du Grand Palais. Mais peut-être un peu elitiste car il faut aimer la période, le thème abordé. A conseiller néanmoins.
14 euros plein tarif pour 2h sur place.