Son balcon
Mini Molières
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Tomates
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Son classement : 120 / 4969
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Sylvain Verrecchia
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Alexandra ou Théâtrosaure
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Actualités de ses filatures
Merci. Merci au Marigny d'avoir pris le pari de faire rencontrer Fanny Brice et le public parisien.
Sous des airs désuets de musical des sixties, et dans le New York des années 10, le spectacle est pourtant plein de modernité et de valeurs actuelles.
On y parle des artistes, de ténacité, des femmes, et le joyau de cette couronne de thématiques en est l'incarnation, Fanny Brice, qui loin d'être simplement "funny", nous fait vibrer face à ses efforts pour percer, face à ses rencontres, face aux obstacles.
Et dans le rôle de Fanny Brice, qu'elle porte, qui la porte, Christina Bianco vibre, bouleverse, saisit.
Dès l'ouverture, elle agrippe le public et ne le lâchera plus. Virevoltante en chanteuse comique, troublante en jeune amoureuse, inspirante en future mère que rien n'arrête, elle est un peu des rêves de chaque spectatrice, et la standing ovation que la salle lui adresse au terme de cette épopée est amplement méritée.
Elle, et l'ensemble des interprètes, brillent de justesse et de talent, au travers de ces tableaux chantés, dansés, rythmés, millimétrés.
Les décors et accessoires changent rapidement l'atmosphère, dans une mise en scène précise et ingénieuse, et on ne se lasse pas de l'élégance des costumes, véritable voyage dans le temps.
En définitive pas un nuage n'oserait pleuvoir sur cette parade, un aller simple pour Broadway à réserver sans plus tarder.
Sous des airs désuets de musical des sixties, et dans le New York des années 10, le spectacle est pourtant plein de modernité et de valeurs actuelles.
On y parle des artistes, de ténacité, des femmes, et le joyau de cette couronne de thématiques en est l'incarnation, Fanny Brice, qui loin d'être simplement "funny", nous fait vibrer face à ses efforts pour percer, face à ses rencontres, face aux obstacles.
Et dans le rôle de Fanny Brice, qu'elle porte, qui la porte, Christina Bianco vibre, bouleverse, saisit.
Dès l'ouverture, elle agrippe le public et ne le lâchera plus. Virevoltante en chanteuse comique, troublante en jeune amoureuse, inspirante en future mère que rien n'arrête, elle est un peu des rêves de chaque spectatrice, et la standing ovation que la salle lui adresse au terme de cette épopée est amplement méritée.
Elle, et l'ensemble des interprètes, brillent de justesse et de talent, au travers de ces tableaux chantés, dansés, rythmés, millimétrés.
Les décors et accessoires changent rapidement l'atmosphère, dans une mise en scène précise et ingénieuse, et on ne se lasse pas de l'élégance des costumes, véritable voyage dans le temps.
En définitive pas un nuage n'oserait pleuvoir sur cette parade, un aller simple pour Broadway à réserver sans plus tarder.
Voici une agréable fable contemporaine, que nous propose Jean-Philippe Daguerre après le succès retentissant de son Monsieur Haffmann.
Le récit de ce conte moderne, ancré dans le Bordeaux des années 90, révèle l'histoire d'une famille où le père, ancien torero, la mère, infirmière, et leurs trois fils, vivent heureux dans une bulle poétique où les maîtres-mots sont l'épicurisme, l'amour et les encouragements.
Le choix de narration, bien amené, captive rapidement le spectateur, dans un rythme fluide. Cette famille et ses idéaux, on s'y sent bien, on aimerait les connaître et peut-être même avoir cette chance, de pouvoir communiquer avec la plus pure sincérité avec ses proches... jusqu'au jour où Pierre sera confronté au mensonge de l'un des siens.
Dans ce rôle qui paraît taillé sur mesure, Stéphane Dauch est juste et touchant, tout comme d'ailleurs, le reste de sa famille des planches.
L'intrigue un peu prévisible laisse surtout place au jeu et à l'émotion que libèrent dans toute la salle les six comédiens, jusqu'à l'épilogue doux-amer, et à un texte parsemé de métaphores et de bons mots.
Ajoutons à cela un décor efficace signé par la talentueuse Juliette Azzopardi, qui pousse encore davantage l'aspect lyrique de cette fable scénique.
Une bien douce parenthèse...
Le récit de ce conte moderne, ancré dans le Bordeaux des années 90, révèle l'histoire d'une famille où le père, ancien torero, la mère, infirmière, et leurs trois fils, vivent heureux dans une bulle poétique où les maîtres-mots sont l'épicurisme, l'amour et les encouragements.
Le choix de narration, bien amené, captive rapidement le spectateur, dans un rythme fluide. Cette famille et ses idéaux, on s'y sent bien, on aimerait les connaître et peut-être même avoir cette chance, de pouvoir communiquer avec la plus pure sincérité avec ses proches... jusqu'au jour où Pierre sera confronté au mensonge de l'un des siens.
Dans ce rôle qui paraît taillé sur mesure, Stéphane Dauch est juste et touchant, tout comme d'ailleurs, le reste de sa famille des planches.
L'intrigue un peu prévisible laisse surtout place au jeu et à l'émotion que libèrent dans toute la salle les six comédiens, jusqu'à l'épilogue doux-amer, et à un texte parsemé de métaphores et de bons mots.
Ajoutons à cela un décor efficace signé par la talentueuse Juliette Azzopardi, qui pousse encore davantage l'aspect lyrique de cette fable scénique.
Une bien douce parenthèse...
Paul Signac, Maximilien Luce, Georges Seurat... J’ai beaucoup apprécié les peintures de ces artistes que je ne connaissais pas.
Les oeuvres qui m’ont le plus marqué dans cette petite exposition sont celles du courant néo-impressionniste. Un peu lassé par l’impressionnisme, dont j’ai vu et revu les tableaux, cette nouvelle vague revisite ce style de manière surprenante.
La scénographie est simple et les textes sont instructifs.
Une belle visite !
Les oeuvres qui m’ont le plus marqué dans cette petite exposition sont celles du courant néo-impressionniste. Un peu lassé par l’impressionnisme, dont j’ai vu et revu les tableaux, cette nouvelle vague revisite ce style de manière surprenante.
La scénographie est simple et les textes sont instructifs.
Une belle visite !
Toulouse-Lautrec a beaucoup peint ou dessiné des affiches et des scènes de bals, de cabarets.
L’exposition a un vrai intérêt historique car elle nous montre le monde de la fête dans la seconde partie du XIXe siècle.
C’est très personnel, mais le style du peintre ne m’a pas fait ressentir grand chose.
La scénographie très laide, dans le choix des couleurs, des écritures, dans la mise en lumière, n’aide pas à apprécier l’exposition.
Sans parler des textes explicatifs, assez décevants.
Je n’ai pas aimé.
L’exposition a un vrai intérêt historique car elle nous montre le monde de la fête dans la seconde partie du XIXe siècle.
C’est très personnel, mais le style du peintre ne m’a pas fait ressentir grand chose.
La scénographie très laide, dans le choix des couleurs, des écritures, dans la mise en lumière, n’aide pas à apprécier l’exposition.
Sans parler des textes explicatifs, assez décevants.
Je n’ai pas aimé.
J’ai beaucoup aimé le jeu de Franck Desmedt, sa diction si particulière, sa grande présence, mais je n’ai pas été séduit par le texte.
Les propos sont très descriptifs, différentes histoires s’entremêlent dans cette exode pendant la guerre. Étant fatigué de ma journée, j’ai parfois eu du mal à bien suivre, les changements de personnages étant nombreux.
Avec peu d’objets et un décor minimaliste, la mise en scène est soignée.
Même si je n’ai pas été transporté, je comprends que ce seul en scène suscite l’enthousiasme.
Les propos sont très descriptifs, différentes histoires s’entremêlent dans cette exode pendant la guerre. Étant fatigué de ma journée, j’ai parfois eu du mal à bien suivre, les changements de personnages étant nombreux.
Avec peu d’objets et un décor minimaliste, la mise en scène est soignée.
Même si je n’ai pas été transporté, je comprends que ce seul en scène suscite l’enthousiasme.