Ses critiques
6 critiques
5/10
Un pièce en demi-teinte.
Un jeu d'acteur propre, une idée originale mais un texte qui manque de subtilité, des parallèles avec la période actuelle mal amenés.
Un vrai bémol sur l'utilisation de femmes potiches dans la pièce.
Cette pièce laisse un sentiment indécis et on l'oublie aussi rapidement que le trajet de retour en métro.
Un jeu d'acteur propre, une idée originale mais un texte qui manque de subtilité, des parallèles avec la période actuelle mal amenés.
Un vrai bémol sur l'utilisation de femmes potiches dans la pièce.
Cette pièce laisse un sentiment indécis et on l'oublie aussi rapidement que le trajet de retour en métro.
8/10
Glaçant : Neil LaBute ne juge pas, il décrit la violence ordinaire, celle que l’on ne veut pas voir, celle que l’on se refuse à croire.
Il nous donne à constater la banalité du mal, ces bourreaux de tous les jours, collègues, amis qui sans culpabilité commettent l’irréparable.
On sort de la dialectique, pour se faire « Basher » par des monologues exposant un monde sans repère où l’horreur n’est que la conséquence d’un destin irréversible que l’on subit.
Un théâtre différent qui ne laisse pas indifférent.
Il nous donne à constater la banalité du mal, ces bourreaux de tous les jours, collègues, amis qui sans culpabilité commettent l’irréparable.
On sort de la dialectique, pour se faire « Basher » par des monologues exposant un monde sans repère où l’horreur n’est que la conséquence d’un destin irréversible que l’on subit.
Un théâtre différent qui ne laisse pas indifférent.
5/10
Dommage, j’avais découvert Kheiron il y a quelques années avec un vrai potentiel d’improvisation, quelques années plus tard, ce spectacle laisse un gout d’inachevé.
Les blagues sont faciles, l’humour vole bas et on se sent presque obligé d’intervenir dans le spectacle pour créer l’interactivité tout en sachant par avance que l’on va se faire ridiculiser.
Ce spectacle ressemble plus à la succession de bonnes vannes lors d’un dîner entre copains qu’à un one man show.
Les blagues sont faciles, l’humour vole bas et on se sent presque obligé d’intervenir dans le spectacle pour créer l’interactivité tout en sachant par avance que l’on va se faire ridiculiser.
Ce spectacle ressemble plus à la succession de bonnes vannes lors d’un dîner entre copains qu’à un one man show.
9/10
C’est excellent ! Françoise Cadol est extraordinaire, elle nous tient en haleine durant tout le spectacle. Elle magnifie ce texte dont le thème peut paraître banal pour en faire une pépite. Elle réussit la prouesse de nous transporter dans deux histoires sans jamais nous y perdre. On sourit, on s’émeut, on se sent gêné, on compatit tout au long de ce monologue.
La mise en scène est à soulignée, l’ingéniosité du jeu de lumière nous transporte 100 ans en arrière en une fraction de seconde.
Il n’y a pas grande chose à rajouter quand c’est de cette qualité, à part MERCI.
La mise en scène est à soulignée, l’ingéniosité du jeu de lumière nous transporte 100 ans en arrière en une fraction de seconde.
Il n’y a pas grande chose à rajouter quand c’est de cette qualité, à part MERCI.
2/10
En effet cette pièce ne ressemble à aucune autre et TANT MIEUX !
Le concept qui m’avait alléché, c’est trouvé être mis en scène de manière catastrophique…jamais je n’avais vu autant de vulgarité et de stéréotypes en aussi peu de temps.
Si par interactivité on entend se faire hurler dessus alors oui, c’est interactif
Si par original on pense coiffeur gay, bimbo écervelée, blonde vénale et un cadre-dirigeant gominé, alors oui c’est très original.
Si par fraîcheur et actualité, on entend blagues faciles sur Hollande et blagues vaseuses sur les femmes/coiffeurs/policiers/…alors oui c’est une pièce follement rafraîchissante.
Et pour finir si participatif rime avec reluquer les fesses d’un grand gaillard vêtu d’un «poum-poum» short jaune, alors oui j’ai participé à cette grande mascarade creuse et infantilisante.
Je suis triste qu’une telle idée puisse donner lieu à si peu de chose au final !
Le concept qui m’avait alléché, c’est trouvé être mis en scène de manière catastrophique…jamais je n’avais vu autant de vulgarité et de stéréotypes en aussi peu de temps.
Si par interactivité on entend se faire hurler dessus alors oui, c’est interactif
Si par original on pense coiffeur gay, bimbo écervelée, blonde vénale et un cadre-dirigeant gominé, alors oui c’est très original.
Si par fraîcheur et actualité, on entend blagues faciles sur Hollande et blagues vaseuses sur les femmes/coiffeurs/policiers/…alors oui c’est une pièce follement rafraîchissante.
Et pour finir si participatif rime avec reluquer les fesses d’un grand gaillard vêtu d’un «poum-poum» short jaune, alors oui j’ai participé à cette grande mascarade creuse et infantilisante.
Je suis triste qu’une telle idée puisse donner lieu à si peu de chose au final !
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