Ses critiques
79 critiques
7/10
Juste La Fin du Monde est une pièce émouvante percutante et incandescente. Une très grande pièce.
Le Pays Lointain en est la version longue. Le même texte avec des personnages (les fantômes) supplémentaires. Moins efficace que la première, plus dense, elle est tout aussi émouvante.
Rarement une pièce sur la famille, les liens fraternels et les origines aura atteint de tels sommets.
La production mise en scène par Hervieu Léger est assez classique et nous touche surtout dans la deuxième partie. Il faut s’accrocher dans la première partie.
Le décor n’a pas beaucoup de sens mais est quand même très beau.
Mention spéciale à Audrey Bonnet, Vincent Dissez et Aymeline Alix
Le Pays Lointain en est la version longue. Le même texte avec des personnages (les fantômes) supplémentaires. Moins efficace que la première, plus dense, elle est tout aussi émouvante.
Rarement une pièce sur la famille, les liens fraternels et les origines aura atteint de tels sommets.
La production mise en scène par Hervieu Léger est assez classique et nous touche surtout dans la deuxième partie. Il faut s’accrocher dans la première partie.
Le décor n’a pas beaucoup de sens mais est quand même très beau.
Mention spéciale à Audrey Bonnet, Vincent Dissez et Aymeline Alix
6,5/10
Sur le papier l’idée est excellente.
Un Opéra... Porno.
Pierre Guillois est brillant.
Son gros sa vache et son menate est un chef d’oeuvre.
Ici légère déception.
Ici, point d’opéra, à l’exception de l’actrice principale, ça ne chante pas très bien.
Ici, question cul, on est servi. Des le début la barre est mise très haute, et ensuite c’est un peu « lourd ».
Un Opéra... Porno.
Pierre Guillois est brillant.
Son gros sa vache et son menate est un chef d’oeuvre.
Ici légère déception.
Ici, point d’opéra, à l’exception de l’actrice principale, ça ne chante pas très bien.
Ici, question cul, on est servi. Des le début la barre est mise très haute, et ensuite c’est un peu « lourd ».
7,5/10
La sujet de la pièce n’est pas extraordinaire, certaines répliques sont un peu lourdes mais ce boulevard se tient !
Victoria Abril est une véritable machine de guerre sur scène... elle est drôle sensible puissante folle autoritaire sexy gracieuse ... bref merveilleuse.
J’en suis tombé amoureuse.
Prisca Demarez est également formidable.
Victoria Abril est une véritable machine de guerre sur scène... elle est drôle sensible puissante folle autoritaire sexy gracieuse ... bref merveilleuse.
J’en suis tombé amoureuse.
Prisca Demarez est également formidable.
9/10
Remarquable comédie musicale ! Foncez !
Les moyens techniques sont au rendez vous pour l’adaptation française de cette production australienne.
C’est visuellement ébouriffant et vocalement parfait.
La pièce (comme le film) est drôle, osée, décalée et politiquement incorrecte. Très émouvante et magnifiquement interprétée.
Bravo à tous les artistes sur scène : danseurs, chanteurs et comédiens.
Allez passer une soirée vivifiante et revigorante au Casino de Paris, vous ne le regretterez pas !
Les moyens techniques sont au rendez vous pour l’adaptation française de cette production australienne.
C’est visuellement ébouriffant et vocalement parfait.
La pièce (comme le film) est drôle, osée, décalée et politiquement incorrecte. Très émouvante et magnifiquement interprétée.
Bravo à tous les artistes sur scène : danseurs, chanteurs et comédiens.
Allez passer une soirée vivifiante et revigorante au Casino de Paris, vous ne le regretterez pas !
7/10
Michel Fau est maitre dans l'art d'exhumer des pièces d'auteurs célèbres tombées dans l'oubli. Il est maitre également dans l'art de les interpréter (il fut magistral chez Roussin, Barillet Gredy ou encore Montherland).
Il est ici brillantissime de le rôle de ce mari cynique ! La vivacité de son jeu, ses ruptures ! Avec un détachement incarné, une incarnation détachée, on écoute que lui.
Melanie Doutey est également remarquable, même si quand Fau disparait, il faut l'admettre, on s'ennuie.
La pièce est quelque peu bavarde mais néanmoins intéressante.
Il est ici brillantissime de le rôle de ce mari cynique ! La vivacité de son jeu, ses ruptures ! Avec un détachement incarné, une incarnation détachée, on écoute que lui.
Melanie Doutey est également remarquable, même si quand Fau disparait, il faut l'admettre, on s'ennuie.
La pièce est quelque peu bavarde mais néanmoins intéressante.