- Théâtre contemporain
- Lucernaire
- Paris 6ème
Le gorille

Mis en scène par Alejandro Jodorowsky
Avec Brontis Jodorowsky
- Brontis Jodorowsky
7,3/10
86%
- Lucernaire
- 53, rue Notre-Dame-des-Champs
- 75006 Paris
- Notre-Dame-des-Champs (l.12)
Itinéraire
Billets de 20,00 à 35,00 €
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Alejandro Jodorowsky, réalisateur, scénariste et romancier, met en avant l'humour de Kafka pour souligner le tragique de cette fable autour de la difficulté de s'adapter à une société absurde et soi-disant tolérante.
Seule en scène, métamorphosé, Brontis Jodorowsky, vient incarner ce texte drôle, caustique et universel.
Toutes les critiques
Bête de scène !
Mimétisme animal et folie humaine, perte de liberté et d'authenticité, droit à la différence ....c'est de tout cela dont il est question dans cette nouvelle Kafkaïenne.
Une histoire universelle qui résonne toujours autant aujourd'hui.
Mais au delà du texte, c'est vraiment la performance physique du comédien qui est époustouflante.
Sans jamais tomber dans le travers de la planète des singes, il est véritablement mi homme - mi gorille.
Sa gestuelle, ses postures, tout son travail sur le corps forcent l'admiration.
Quelle métamorphose !!
Mimétisme animal et folie humaine, perte de liberté et d'authenticité, droit à la différence ....c'est de tout cela dont il est question dans cette nouvelle Kafkaïenne.
Une histoire universelle qui résonne toujours autant aujourd'hui.
Mais au delà du texte, c'est vraiment la performance physique du comédien qui est époustouflante.
Sans jamais tomber dans le travers de la planète des singes, il est véritablement mi homme - mi gorille.
Sa gestuelle, ses postures, tout son travail sur le corps forcent l'admiration.
Quelle métamorphose !!
Au premier abord ce n'est pas très motivant ! Belle performance de comédien, Brontis JODOROWSKY nous fait entrer dans son univers et nous fait oublier que l'on est au théâtre !! Ce gorille attachant, plus humain dans sa réflexion que l'Homme qui se comporte souvent de façon plus animal que les animaux. !?!
Alejandro et Brontis Jodorowsky reviennent à Paris au Lucernaire pour reprendre ‘Le Gorille’, là où tout a commencé il y a quelques années. Entre temps, la pièce a tourné avec un succès non démenti en France et à l’étranger.
Tiré d’un roman de Franz Kafka ‘Rapport pour une académie’, Alejandro Jodorowsky propose et met en scène un texte à la puissance animale qui pose un regard acerbe sur notre monde moderne.
L’histoire : un gorille capturé en Afrique est embarqué sur un navire vers l’Europe. Progressivement, l’animal imite les humains et devient une star de music-hall.
Au-delà de l’histoire de ce gorille, c’est un constat acide sur l’hypocrite société des hommes qui courent après une image du bonheur qui est totalement surfaite, un modèle de réussite sociale dépassé. Notre gorille l’a bien compris lui !
Il faut saluer l’impressionnante performance physique de Brontis Jodorowsky, qui en plus de proposer un jeu très convaincant, est paré d’un maquillage fort réussi pour rappeler les traits simiesques. Dès son arrivée sur la scène du Lucernaire, nous sommes captivés par sa prestation et j’ai eu du mal à reconnaitre le comédien derrière son maquillage et sa tenue : C’est vraiment bluffant !
La mise en scène d’Alejandro le père (pour lequel j’ai une admiration depuis de nombreuses années grâce, notamment, à ses scénarii de bandes dessinées), souligne le propos du texte avec pertinence.
Un spectacle fort à voir en cette rentrée théâtrale pour bien démarrer la saison.
Tiré d’un roman de Franz Kafka ‘Rapport pour une académie’, Alejandro Jodorowsky propose et met en scène un texte à la puissance animale qui pose un regard acerbe sur notre monde moderne.
L’histoire : un gorille capturé en Afrique est embarqué sur un navire vers l’Europe. Progressivement, l’animal imite les humains et devient une star de music-hall.
Au-delà de l’histoire de ce gorille, c’est un constat acide sur l’hypocrite société des hommes qui courent après une image du bonheur qui est totalement surfaite, un modèle de réussite sociale dépassé. Notre gorille l’a bien compris lui !
Il faut saluer l’impressionnante performance physique de Brontis Jodorowsky, qui en plus de proposer un jeu très convaincant, est paré d’un maquillage fort réussi pour rappeler les traits simiesques. Dès son arrivée sur la scène du Lucernaire, nous sommes captivés par sa prestation et j’ai eu du mal à reconnaitre le comédien derrière son maquillage et sa tenue : C’est vraiment bluffant !
La mise en scène d’Alejandro le père (pour lequel j’ai une admiration depuis de nombreuses années grâce, notamment, à ses scénarii de bandes dessinées), souligne le propos du texte avec pertinence.
Un spectacle fort à voir en cette rentrée théâtrale pour bien démarrer la saison.
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