- Comédie Contemporaine
- Théâtre Rive Gauche
- Paris 14ème
top5 (1)
La famille Ortiz

Mis en scène par Jean-Philippe Daguerre
8,1/10
62%
- Théâtre Rive Gauche
- 6, rue de la Gaité
- 75014 Paris
- Edgard Quinet (l.6), Gaité (l.13)
Itinéraire
Billets de 20,00 à 45,00 €
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Une histoire fantastique sur les méandres de la famille et de ses secrets.
Une famille extraordinaire : un père insubmersible, une mère protectrice. En leur sein, une fratrie qui fête et savoure chaque instant au rythme de scènes fantasmées de jeu de combat, rituels nostalgiques du passé glorieux de leur père.
Un jour, pourtant, un acte manqué à plus d'un titre brisera leur équilibre. Ils feront tout pour éviter l’inéluctable... voire le pire.
C'est l'histoire de la famille Ortiz qui vit d’amour comme dans un rêve… jusqu'à ce que la réalité s'en mêle.
La nouvelle création de Jean-Philippe Daguerre, l’auteur et metteur en scène de «Adieu Monsieur Haffmann» (4 Molières 2018).
Toutes les critiques
Voici une agréable fable contemporaine, que nous propose Jean-Philippe Daguerre après le succès retentissant de son Monsieur Haffmann.
Le récit de ce conte moderne, ancré dans le Bordeaux des années 90, révèle l'histoire d'une famille où le père, ancien torero, la mère, infirmière, et leurs trois fils, vivent heureux dans une bulle poétique où les maîtres-mots sont l'épicurisme, l'amour et les encouragements.
Le choix de narration, bien amené, captive rapidement le spectateur, dans un rythme fluide. Cette famille et ses idéaux, on s'y sent bien, on aimerait les connaître et peut-être même avoir cette chance, de pouvoir communiquer avec la plus pure sincérité avec ses proches... jusqu'au jour où Pierre sera confronté au mensonge de l'un des siens.
Dans ce rôle qui paraît taillé sur mesure, Stéphane Dauch est juste et touchant, tout comme d'ailleurs, le reste de sa famille des planches.
L'intrigue un peu prévisible laisse surtout place au jeu et à l'émotion que libèrent dans toute la salle les six comédiens, jusqu'à l'épilogue doux-amer, et à un texte parsemé de métaphores et de bons mots.
Ajoutons à cela un décor efficace signé par la talentueuse Juliette Azzopardi, qui pousse encore davantage l'aspect lyrique de cette fable scénique.
Une bien douce parenthèse...
Le récit de ce conte moderne, ancré dans le Bordeaux des années 90, révèle l'histoire d'une famille où le père, ancien torero, la mère, infirmière, et leurs trois fils, vivent heureux dans une bulle poétique où les maîtres-mots sont l'épicurisme, l'amour et les encouragements.
Le choix de narration, bien amené, captive rapidement le spectateur, dans un rythme fluide. Cette famille et ses idéaux, on s'y sent bien, on aimerait les connaître et peut-être même avoir cette chance, de pouvoir communiquer avec la plus pure sincérité avec ses proches... jusqu'au jour où Pierre sera confronté au mensonge de l'un des siens.
Dans ce rôle qui paraît taillé sur mesure, Stéphane Dauch est juste et touchant, tout comme d'ailleurs, le reste de sa famille des planches.
L'intrigue un peu prévisible laisse surtout place au jeu et à l'émotion que libèrent dans toute la salle les six comédiens, jusqu'à l'épilogue doux-amer, et à un texte parsemé de métaphores et de bons mots.
Ajoutons à cela un décor efficace signé par la talentueuse Juliette Azzopardi, qui pousse encore davantage l'aspect lyrique de cette fable scénique.
Une bien douce parenthèse...
Une famille bien peu ordinaire, bercée par la tauromachie (ce qui n'a pas été pour me séduire), et un secret un peu tiré par les cheveux qui a bien du mal à s'installer.
Le propos était sensible, la mise en scène originale, les comédiens plutôt impliqués, mais néanmoins un je ne sais quoi qui m'a laissé suspendue en attente d'une étincelle !
Le propos était sensible, la mise en scène originale, les comédiens plutôt impliqués, mais néanmoins un je ne sais quoi qui m'a laissé suspendue en attente d'une étincelle !
Secret de famille, non-dits, Pierre est bien obligé de se replonger dans un passé douloureux, au fil de l’histoire on comprendra pourquoi il en veut à son père, et pourquoi il est obligé de se taire pour ses frères et sa mère.
Les comédiens sont parfaits, mais je n’ai pas adhéré à cette histoire, peut être à cause de scènes répétitives - repas, corrida, toujours le même protocole - qui m’ont paru bien longues.
Les comédiens sont parfaits, mais je n’ai pas adhéré à cette histoire, peut être à cause de scènes répétitives - repas, corrida, toujours le même protocole - qui m’ont paru bien longues.
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