- Théâtre contemporain
- Théâtre Libre - Comédia
- Paris 10ème
top5 (1)
L'Aquaboniste
7,3/10
75%
- Théâtre Libre - Comédia
- 4, boulevard de Strasbourg
- 75010 Paris
- Strasbourg Saint-Denis (l.4, l.8, l.9)
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À la suite d’un choc tant physique qu’émotionnel, un homme n’arrive plus à être présent dans sa propre vie.
Pour tenter de retrouver la lumière et la joie, il part à la recherche de celle qu’il aimait.
Cette quête lui permettra de vaincre ses peurs et d’aboutir à la découverte de lui-même et d’une étrange vérité ; dire à quoi bon à tout peut être la plus belle preuve d’amour.
« Un moment très fort qui réveille les consciences… Une véritable plongée dans l’intime…Le fil ténu de ce qui nous retient à la vie…Une formidable déclaration d’amour… »
Spectacle déconseillé aux moins de 14 ans.
Toutes les critiques
Un texte très faible et une question, « à quoi bon ? »
Olivier Bécaille se réveille mais découvre qu’il est mort. Il entend, ne peut pas bouger et ne peut donner signe de vie. Sa femme découvre son mari, s’affole et appelle les secours. Il se retrouve à la morgue où finalement, il reprendra une vie et s’enfuira. Il partira à la recherche de sa femme et retournera sur les lieux de son enfance et de sa vie passée.
Personnellement, je n’ai pas aimé l’histoire. Je ne suis pas rentrée dans ce conte. J’ai trouvé le texte plutôt plat. L’histoire est simpliste. Quelle sera la réaction des gens qui le connaissent ? Pourquoi attendre ? Je vais être dure, mais le bonheur est simple comme un coup de fil. Sûrement pas à l’époque de Zola mais on nous projette à aujourd’hui. J’y ai vu beaucoup de lenteur, beaucoup de survols, beaucoup de platitude. Bref, je n’ai pas aimé. Même la fin m’a laissée de marbre.
Dans ce texte sans grand relief, l’acteur, Bertrand Skol, se débat et se démène dans une interprétation intéressante pour porter un texte fragile. Cela donne un effet déséquilibré. J’ai pris peine de le voir tenir à bout de bras la pièce. Tout le mérite de la pièce revient à l’interprétation.
C’est dommage.
Olivier Bécaille se réveille mais découvre qu’il est mort. Il entend, ne peut pas bouger et ne peut donner signe de vie. Sa femme découvre son mari, s’affole et appelle les secours. Il se retrouve à la morgue où finalement, il reprendra une vie et s’enfuira. Il partira à la recherche de sa femme et retournera sur les lieux de son enfance et de sa vie passée.
Personnellement, je n’ai pas aimé l’histoire. Je ne suis pas rentrée dans ce conte. J’ai trouvé le texte plutôt plat. L’histoire est simpliste. Quelle sera la réaction des gens qui le connaissent ? Pourquoi attendre ? Je vais être dure, mais le bonheur est simple comme un coup de fil. Sûrement pas à l’époque de Zola mais on nous projette à aujourd’hui. J’y ai vu beaucoup de lenteur, beaucoup de survols, beaucoup de platitude. Bref, je n’ai pas aimé. Même la fin m’a laissée de marbre.
Dans ce texte sans grand relief, l’acteur, Bertrand Skol, se débat et se démène dans une interprétation intéressante pour porter un texte fragile. Cela donne un effet déséquilibré. J’ai pris peine de le voir tenir à bout de bras la pièce. Tout le mérite de la pièce revient à l’interprétation.
C’est dommage.
Olivier entend sa femme s’activer dans leur chambre, il a toute sa tête oui mais il n’arrive plus à bouger, il ne peut plus parler, ses yeux sont grands ouverts mais le corps ne répond pas. Sa jeune épouse terrifiée et malheureuse, le croit mort, ainsi que la voisine et surtout le médecin qui ne cherche pas plus loin. Le malheureux Olivier est donc envoyé à la morgue.
Il parviendra à se sortir de sa léthargie, rechercher sa femme l’amour de sa vie. Difficile de retrouver une vie à peu près normale. Son « coma » l’aura fait réfléchir, peut-être aussi finira-t-il par effacer de son vocabulaire « A quoi bon ? » qui agaçait bon nombre de personnes !
Bertrand Skol interprète magistralement son rôle, il a une force psychique et physique incroyable.
D’après la nouvelle d’Emile Zola, Jean-Benoît Patricot en livre un texte actuel et une mise en scène poignante !
Il parviendra à se sortir de sa léthargie, rechercher sa femme l’amour de sa vie. Difficile de retrouver une vie à peu près normale. Son « coma » l’aura fait réfléchir, peut-être aussi finira-t-il par effacer de son vocabulaire « A quoi bon ? » qui agaçait bon nombre de personnes !
Bertrand Skol interprète magistralement son rôle, il a une force psychique et physique incroyable.
D’après la nouvelle d’Emile Zola, Jean-Benoît Patricot en livre un texte actuel et une mise en scène poignante !
L'aquaboniste, le titre de ce spectacle interroge ; qu'allons-nous voir et entendre ?
Librement inspiré de la nouvelle de Emile Zola, le texte de Jean-Benoît Patricot nécessite d’être interprété par un comédien puissant et fort.
Bertrand Skol nous a plus habitué à des comédies plus ou moins légères, et là c'est un seul en scène...
Mais par sa présence, il habite, que dis-je, il envahit les lieux ; il vit le texte et nous fait vivre à son rythme.
Sa voix, son interprétation, sa respiration vous prennent, vous emportent tout au long du spectacle et jusqu'à son dernier mot.
Pas de temps mort, juste des secondes, des silences pour s'imprégner, on reste accroché au souffle de l'interprète, nos yeux ne peuvent le quitter.
Pourtant le sujet n'est pas facile, et pourrait en rebuter plus d'un, mais, Bertrand Skol se saisit du texte et le rend vivant, le fait vibrer et nous fait pénétrer au plus profond de notre être.
La mort parviendra t’elle à le séparer d’Anaïs tant aimée ?
C'est une très belle histoire d'amour, certes très particulière, mais tellement éternelle !
La sensibilité du comédien, son jeu de scène apportent toute la valeur ajoutée à ce très beau texte.
Je ne saurais que recommander d'aller le voir, car enfin vous assisterez à un spectacle vivant, qui tend à nous faire réfléchir positivement à notre façon d'aimer et notre devenir au plus profond de notre propre fort-intérieur.
L'amour plus fort que tout...
Librement inspiré de la nouvelle de Emile Zola, le texte de Jean-Benoît Patricot nécessite d’être interprété par un comédien puissant et fort.
Bertrand Skol nous a plus habitué à des comédies plus ou moins légères, et là c'est un seul en scène...
Mais par sa présence, il habite, que dis-je, il envahit les lieux ; il vit le texte et nous fait vivre à son rythme.
Sa voix, son interprétation, sa respiration vous prennent, vous emportent tout au long du spectacle et jusqu'à son dernier mot.
Pas de temps mort, juste des secondes, des silences pour s'imprégner, on reste accroché au souffle de l'interprète, nos yeux ne peuvent le quitter.
Pourtant le sujet n'est pas facile, et pourrait en rebuter plus d'un, mais, Bertrand Skol se saisit du texte et le rend vivant, le fait vibrer et nous fait pénétrer au plus profond de notre être.
La mort parviendra t’elle à le séparer d’Anaïs tant aimée ?
C'est une très belle histoire d'amour, certes très particulière, mais tellement éternelle !
La sensibilité du comédien, son jeu de scène apportent toute la valeur ajoutée à ce très beau texte.
Je ne saurais que recommander d'aller le voir, car enfin vous assisterez à un spectacle vivant, qui tend à nous faire réfléchir positivement à notre façon d'aimer et notre devenir au plus profond de notre propre fort-intérieur.
L'amour plus fort que tout...
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