- Comédie Contemporaine
- Théâtre de la Madeleine
- Paris 8ème
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Dans les yeux de Monet
8,7/10
100%
- Théâtre de la Madeleine
- 19, rue de Surène
- 75008 Paris
- Madeleine (l.8, l.12, l.14)
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Nouveauté théâtrale incontournable, découvrez Dans les yeux de Monet, une pièce de Cyril Gely à La Madeleine ! Sur une mise en scène de Tristan Petitgirard, on retrouve sur les planches des comédiens d'exception : Clovis Cornillac, Maud Baecker et Eric prat.
En 1892, Claude Monet s'enferme plusieurs mois au-dessus d'une boutique de lingerie et modes à Rouen, pour peindre la Cathédrale. Mais l'obscurité et le doute l'ont envahi. Il est alors rejoint par une jeune modèle de la boutique venue passer un corset. Elle l'exaspère, elle l'insupporte. Mais peut-être saura-t-elle aussi lui rendre la grâce.
L'AVIS DE LA REDACTION : 9,5/10
Le maître de la lumière !
Nous sommes en 1892, Monet a 52 ans, des problèmes d'argent malgré le succès de la série des Peupliers.
Il vient de s'installer dans un atelier dont la verrière donne sur la cathédrale de Rouen, sujet qu'il a choisi pour ses prochaines toiles.
Et où la lumière, essentielle pour sa peinture, change au fil des heures.
Mais le chagrin d'avoir perdu sa femme, le doute sur ses talents de peintre, la dépression l'empêchent de se mettre au travail.
Jusqu'au moment où une jeune, belle et blonde mannequin, qui travaille dans la boutique de lingerie en dessous fait son apparition à l'improviste.
D'abord exaspéré, le peintre se laisse peu à peu apprivoiser par la jeune fille, dont le naturel et la bonne humeur finissent par sortir l'artiste de son abattement.
Un matin, la lumière est belle, la cathédrale rayonne...Monet redécouvre le goût de peindre !
Dès notre arrivée dans le théâtre, nous sommes séduits par le décor de ce lieu si réaliste sous les toits, ses poutres, son lit en fer, sa verrière, ses toiles et ses murs décrépits.
Puis la lumière s'éteint, le piano d'Erik Satie envahit la salle, tout est en place pour un moment de bonheur.
Car c'est bien du bonheur que va nous offrir toute l'équipe de ce superbe spectacle !
Le texte de Cyril Gély, à la fois profond et léger dresse un portrait intime et passionnant de Monet, et témoigne de toute la complexité de l'artiste.
La mise en scène de Tristan Petitgirard imprime un rythme tout en subtilité au déroulement de l'histoire.
Les jeux de lumière de Denis Schlepp, absolument féériques, couvrent les murs des célèbres touches impressionnistes.....Une merveille !
Quant aux comédiens, ils nous font oublier que tout ceci n'est qu'un jeu !
Eric Prat, délicieux dans son rôle de marchand de tableau et de mentor, et dont chaque apparition réjouit.
Maud Baecker qui charme aussi bien le spectateur que le maître, et qui donne une belle intensité à ce face à face entre les deux personnages.
Et puis il y a Clovis Cornillac.
Dix ans depuis sa sublime performance dans La Contrebasse.
Le comédien est époustouflant dans le rôle de Monet, rôle à la mesure de son talent dans lequel il nous offre une immense palette d'émotions dont chacune est d'une parfaite justesse.
A travers chaque mot, chaque posture, il est le créateur des Nymphéas.
Un superbe hommage à la création et à la lumière !
Nous sommes en 1892, Monet a 52 ans, des problèmes d'argent malgré le succès de la série des Peupliers.
Il vient de s'installer dans un atelier dont la verrière donne sur la cathédrale de Rouen, sujet qu'il a choisi pour ses prochaines toiles.
Et où la lumière, essentielle pour sa peinture, change au fil des heures.
Mais le chagrin d'avoir perdu sa femme, le doute sur ses talents de peintre, la dépression l'empêchent de se mettre au travail.
Jusqu'au moment où une jeune, belle et blonde mannequin, qui travaille dans la boutique de lingerie en dessous fait son apparition à l'improviste.
D'abord exaspéré, le peintre se laisse peu à peu apprivoiser par la jeune fille, dont le naturel et la bonne humeur finissent par sortir l'artiste de son abattement.
Un matin, la lumière est belle, la cathédrale rayonne...Monet redécouvre le goût de peindre !
Dès notre arrivée dans le théâtre, nous sommes séduits par le décor de ce lieu si réaliste sous les toits, ses poutres, son lit en fer, sa verrière, ses toiles et ses murs décrépits.
Puis la lumière s'éteint, le piano d'Erik Satie envahit la salle, tout est en place pour un moment de bonheur.
Car c'est bien du bonheur que va nous offrir toute l'équipe de ce superbe spectacle !
Le texte de Cyril Gély, à la fois profond et léger dresse un portrait intime et passionnant de Monet, et témoigne de toute la complexité de l'artiste.
La mise en scène de Tristan Petitgirard imprime un rythme tout en subtilité au déroulement de l'histoire.
Les jeux de lumière de Denis Schlepp, absolument féériques, couvrent les murs des célèbres touches impressionnistes.....Une merveille !
Quant aux comédiens, ils nous font oublier que tout ceci n'est qu'un jeu !
Eric Prat, délicieux dans son rôle de marchand de tableau et de mentor, et dont chaque apparition réjouit.
Maud Baecker qui charme aussi bien le spectateur que le maître, et qui donne une belle intensité à ce face à face entre les deux personnages.
Et puis il y a Clovis Cornillac.
Dix ans depuis sa sublime performance dans La Contrebasse.
Le comédien est époustouflant dans le rôle de Monet, rôle à la mesure de son talent dans lequel il nous offre une immense palette d'émotions dont chacune est d'une parfaite justesse.
A travers chaque mot, chaque posture, il est le créateur des Nymphéas.
Un superbe hommage à la création et à la lumière !
Sylvie Tuffier
Toutes les critiques
Alors le décor et les costumes sont absolument superbes ! (Je commence par ca, parce que vraiment on y est).
Clovis Cornillac incarne un Monet plus vrai que nature (et franchement j'etais pas du tout partie gagnante), bougon, égocentrique et attachant.
Maud Baecker est lumineuse en un modèle à la fois pétillant, titilleur (vous voyez ce que je veux dire non ?) et vif.
Et Eric Prat est tout en délicatesse, abnégation...et soutien financier (très Durant-Ruel).
Un texte intéressant sans être inoubliable, tout est dans la lumière, les décors et le jeu des comédiens !
Clovis Cornillac incarne un Monet plus vrai que nature (et franchement j'etais pas du tout partie gagnante), bougon, égocentrique et attachant.
Maud Baecker est lumineuse en un modèle à la fois pétillant, titilleur (vous voyez ce que je veux dire non ?) et vif.
Et Eric Prat est tout en délicatesse, abnégation...et soutien financier (très Durant-Ruel).
Un texte intéressant sans être inoubliable, tout est dans la lumière, les décors et le jeu des comédiens !
Le maître de la lumière !
Nous sommes en 1892, Monet a 52 ans, des problèmes d'argent malgré le succès de la série des Peupliers.
Il vient de s'installer dans un atelier dont la verrière donne sur la cathédrale de Rouen, sujet qu'il a choisi pour ses prochaines toiles.
Et où la lumière, essentielle pour sa peinture, change au fil des heures.
Mais le chagrin d'avoir perdu sa femme, le doute sur ses talents de peintre, la dépression l'empêchent de se mettre au travail.
Jusqu'au moment où une jeune, belle et blonde mannequin, qui travaille dans la boutique de lingerie en dessous fait son apparition à l'improviste.
D'abord exaspéré, le peintre se laisse peu à peu apprivoiser par la jeune fille, dont le naturel et la bonne humeur finissent par sortir l'artiste de son abattement.
Un matin, la lumière est belle, la cathédrale rayonne...Monet redécouvre le goût de peindre !
Dès notre arrivée dans le théâtre, nous sommes séduits par le décor de ce lieu si réaliste sous les toits, ses poutres, son lit en fer, sa verrière, ses toiles et ses murs décrépits.
Puis la lumière s'éteint, le piano d'Erik Satie envahit la salle, tout est en place pour un moment de bonheur.
Car c'est bien du bonheur que va nous offrir toute l'équipe de ce superbe spectacle !
Le texte de Cyril Gély, à la fois profond et léger dresse un portrait intime et passionnant de Monet, et témoigne de toute la complexité de l'artiste.
La mise en scène de Tristan Petitgirard imprime un rythme tout en subtilité au déroulement de l'histoire.
Les jeux de lumière de Denis Schlepp, absolument féériques, couvrent les murs des célèbres touches impressionnistes.....Une merveille !
Quant aux comédiens, ils nous font oublier que tout ceci n'est qu'un jeu !
Eric Prat, délicieux dans son rôle de marchand de tableau et de mentor, et dont chaque apparition réjouit.
Maud Baecker qui charme aussi bien le spectateur que le maître, et qui donne une belle intensité à ce face à face entre les deux personnages.
Et puis il y a Clovis Cornillac.
Dix ans depuis sa sublime performance dans La Contrebasse.
Le comédien est époustouflant dans le rôle de Monet, rôle à la mesure de son talent dans lequel il nous offre une immense palette d'émotions dont chacune est d'une parfaite justesse.
A travers chaque mot, chaque posture, il est le créateur des Nymphéas.
Un superbe hommage à la création et à la lumière !
Nous sommes en 1892, Monet a 52 ans, des problèmes d'argent malgré le succès de la série des Peupliers.
Il vient de s'installer dans un atelier dont la verrière donne sur la cathédrale de Rouen, sujet qu'il a choisi pour ses prochaines toiles.
Et où la lumière, essentielle pour sa peinture, change au fil des heures.
Mais le chagrin d'avoir perdu sa femme, le doute sur ses talents de peintre, la dépression l'empêchent de se mettre au travail.
Jusqu'au moment où une jeune, belle et blonde mannequin, qui travaille dans la boutique de lingerie en dessous fait son apparition à l'improviste.
D'abord exaspéré, le peintre se laisse peu à peu apprivoiser par la jeune fille, dont le naturel et la bonne humeur finissent par sortir l'artiste de son abattement.
Un matin, la lumière est belle, la cathédrale rayonne...Monet redécouvre le goût de peindre !
Dès notre arrivée dans le théâtre, nous sommes séduits par le décor de ce lieu si réaliste sous les toits, ses poutres, son lit en fer, sa verrière, ses toiles et ses murs décrépits.
Puis la lumière s'éteint, le piano d'Erik Satie envahit la salle, tout est en place pour un moment de bonheur.
Car c'est bien du bonheur que va nous offrir toute l'équipe de ce superbe spectacle !
Le texte de Cyril Gély, à la fois profond et léger dresse un portrait intime et passionnant de Monet, et témoigne de toute la complexité de l'artiste.
La mise en scène de Tristan Petitgirard imprime un rythme tout en subtilité au déroulement de l'histoire.
Les jeux de lumière de Denis Schlepp, absolument féériques, couvrent les murs des célèbres touches impressionnistes.....Une merveille !
Quant aux comédiens, ils nous font oublier que tout ceci n'est qu'un jeu !
Eric Prat, délicieux dans son rôle de marchand de tableau et de mentor, et dont chaque apparition réjouit.
Maud Baecker qui charme aussi bien le spectateur que le maître, et qui donne une belle intensité à ce face à face entre les deux personnages.
Et puis il y a Clovis Cornillac.
Dix ans depuis sa sublime performance dans La Contrebasse.
Le comédien est époustouflant dans le rôle de Monet, rôle à la mesure de son talent dans lequel il nous offre une immense palette d'émotions dont chacune est d'une parfaite justesse.
A travers chaque mot, chaque posture, il est le créateur des Nymphéas.
Un superbe hommage à la création et à la lumière !
Un atelier d'artiste plus vrai que nature. On sent même l'odeur du bois des vieilles poutres.
C'est très beau, minutieux, élégant.
On découvre l'artiste Monet sous un angle inédit qu'interprete un Clovis Cornillac puissant.
La mise en scène est pleine de trouvailles, très belle, dynamique,
Une belle mise en avant des comédiens qui sont tous les 3 épatants.
Un texte fort, intéressant !
C'est très beau, minutieux, élégant.
On découvre l'artiste Monet sous un angle inédit qu'interprete un Clovis Cornillac puissant.
La mise en scène est pleine de trouvailles, très belle, dynamique,
Une belle mise en avant des comédiens qui sont tous les 3 épatants.
Un texte fort, intéressant !
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