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- Paris 14ème
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Le mystère Sunny

8,5/10
83%
- Théâtre Montparnasse
- 31, rue de la Gaîté
- 75014 Paris
- Edgard Quinet (l.6), Gaité (l.13)
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Dix ans après son acquittement - il était accusé du meurtre de sa femme, Sunny - Claus von Bulow retrouve à New York son ancien avocat, Alain Dershowitz.
C'est Noël.
Au delà du mystère qui entoure cette "Affaire", nous assistons surtout à une joute sans merci. Claus a t'il oui ou non tué sa femme ? Ces deux hommes de caratère tentent jusqu'au bout de sortir vainqueurs d'une rencontre au cours de laquelle tous les coups sont permis.
Ils sont manipulateurs, mégalomanes, comiques, vous allez les aimer.
L'AVIS DE LA REDACTION : 8,5/10
"Parfois l'art est plus réel que la vie"
Ainsi parle Claus Von Bülow (Patrick Chesnais) alors qu'il rend visite à son ancien avocat Alan Dershowitz (Nicolas Briançon) qui, dix ans auparavant, a obtenu son acquittement en appel, alors qu'il avait été condamné en première instance à 30 ans de prison pour le meurtre de sa femme Martha dite "Sunny", une richissime héritière.
Ainsi parle Claus Von Bülow (Patrick Chesnais) alors qu'il rend visite à son ancien avocat Alan Dershowitz (Nicolas Briançon) qui, dix ans auparavant, a obtenu son acquittement en appel, alors qu'il avait été condamné en première instance à 30 ans de prison pour le meurtre de sa femme Martha dite "Sunny", une richissime héritière.
Si cette rencontre qui forme la trame de la remarquable pièce d'Alain Teulié est sortie de l'imagination du dramaturge, les faits auxquels elle fait référence sont bien réels.
"L'affaire Von Bülow" qui contenait tous les ingrédients d'un soap opera - "money, sex and drugs" - a défrayé la chronique dans les années 80. Dershowitz en a tiré un livre "Reversal of fortune" qui a été adapté au cinéma par Barbet Shroeder en 1990 ("Le mystère Von Bülow")
"L'affaire Von Bülow" qui contenait tous les ingrédients d'un soap opera - "money, sex and drugs" - a défrayé la chronique dans les années 80. Dershowitz en a tiré un livre "Reversal of fortune" qui a été adapté au cinéma par Barbet Shroeder en 1990 ("Le mystère Von Bülow")
Dans la pièce donc, Dershowitz, devenu riche et célèbre à son tour, attend la visite de son ancien client, qui a quitté Rhode Island et les Etats-Unis pour s'exiler à Londres (où, nous l'apprendrons plus tard il lui arrive d'écrire... des critiques de théâtre).
Pourquoi cette visite un soir de Noël, dix ans après ? "J'espère qu'il n'a pas encore tué quelqu'un", ironise Dershowitz au téléphone avec sa femme.
La scénographie -parfaite- nous amène dans le luxueux bureau New-Yorkais de l'avocat. Un immense sapin de Noël cohabite avec quelques détails qui rappellent la judéité de Dershowitz, la mezouzah près de la porte, le chandelier de Hanoucca dans la bibliothèque. Von Bülow se fait annoncer sous le nom de Dracula, le ton est donné, l'affrontement peut commencer. Sous le badinage, sourdent les non-dits et les contentieux entre le germanique et oisif Von Bülow, qui se targue d'une parenté par alliance avec Wagner, et le juif qui a travaillé d'arrache-pieds pour passer de Brooklyn à Manhattan, mais aussi une forme d'admiration et de complicité.
Admirablement mis en scène et dirigés par Dominique Guillo (qui signe aussi la musique) Patrick Chesnais et Nicolas Briançon nous livrent une prestation dont le degré de maîtrise nous laisse à penser qu'effectivement "l'art est plus réel que la vie".
On a les larmes aux yeux et la seconde d'après on éclate de rire. Dans ce jeu de chat et souris, le seul qui est pris c'est le spectateur. On en arrive à croire, même en connaissant bien l'affaire, que, oui, la vérité va nous être révélée. À quelques blocks du bureau de Dershowitz, Sunny git dans une chambre d'hôpital, dans le coma depuis 16 ans.
Mais, et c'est peut-être cela la leçon de la pièce, il faut apprendre à vivre avec le doute.
La petite phrase citée en exergue est prononcée alors qu'un Von Bülow et un Dershowitz de fiction s'interrogent sur le choix de acteurs qui les ont incarnés à l'écran dans cette autre fictionnalisation qu'est le film de Barbet Shroeder. Peut-on rêver plus belle mise en abyme ?
Un exemple de ce que la fiction peut apporter à la réflexion sur ce qu'on a coutume d'appeler le "fait divers", quand elle nous ramène à nos propres questionnements, sans voyeurisme ou parti-pris.
Nathalie Trégouët
Toutes les critiques
Le bénéfice du doute.
Pour quelle raison Claus Von Bülow vient il rendre visite un soir de Noël à son avocat qui l'a fait acquitter 10 ans auparavant ?
C'est l'une des nombreuses questions qui resteront sans réponse tout au long de ce duel verbal passionnant écrit par Alain Teulié.
Le talentueux auteur a qui nous devons le très émouvant "Manteau de Janis".
Le mystère Von Bülow restera un mystère .....
Et si Claus rend visite à son avocat, ce n'est en tout cas pas pour lui révéler la vérité.
Mais au fil de leurs échanges brillants, se dessine le portrait d'un homme.
Patrick Chesnais est absolument épatant dans la peau de ce personnage énigmatique, insaisissable et vieillissant. Loin de son cabotinage habituel, il nous étonne et nous émeut, passant d'une émotion à l'autre avec une grande sincérité.
Face à lui, Nicolas Briançon, irrésistible avec sa perruque bouclée et son bagou, nous enchante tout autant. Tous ses efforts pour tirer les vers du nez du mari de Sunny sont vains, mais d'autres révélations vont surgir de cette confrontation.
Ainsi les deux hommes, mis en scène par Dominique Guillo, se provoquent et nous tiennent en haleine dans ce bureau New yorkais au décor magnifique.
Bien sûr, il faut aimer les mots....
Si c'est votre cas, alors, n'hésitez pas !
Pour quelle raison Claus Von Bülow vient il rendre visite un soir de Noël à son avocat qui l'a fait acquitter 10 ans auparavant ?
C'est l'une des nombreuses questions qui resteront sans réponse tout au long de ce duel verbal passionnant écrit par Alain Teulié.
Le talentueux auteur a qui nous devons le très émouvant "Manteau de Janis".
Le mystère Von Bülow restera un mystère .....
Et si Claus rend visite à son avocat, ce n'est en tout cas pas pour lui révéler la vérité.
Mais au fil de leurs échanges brillants, se dessine le portrait d'un homme.
Patrick Chesnais est absolument épatant dans la peau de ce personnage énigmatique, insaisissable et vieillissant. Loin de son cabotinage habituel, il nous étonne et nous émeut, passant d'une émotion à l'autre avec une grande sincérité.
Face à lui, Nicolas Briançon, irrésistible avec sa perruque bouclée et son bagou, nous enchante tout autant. Tous ses efforts pour tirer les vers du nez du mari de Sunny sont vains, mais d'autres révélations vont surgir de cette confrontation.
Ainsi les deux hommes, mis en scène par Dominique Guillo, se provoquent et nous tiennent en haleine dans ce bureau New yorkais au décor magnifique.
Bien sûr, il faut aimer les mots....
Si c'est votre cas, alors, n'hésitez pas !
"Parfois l'art est plus réel que la vie"
Ainsi parle Claus Von Bülow (Patrick Chesnais) alors qu'il rend visite à son ancien avocat Alan Dershowitz (Nicolas Briançon) qui, dix ans auparavant, a obtenu son acquittement en appel, alors qu'il avait été condamné en première instance à 30 ans de prison pour le meurtre de sa femme Martha dite "Sunny", une richissime héritière. Si cette rencontre qui forme la trame de la remarquable pièce d'Alain Teulié est sortie de l'imagination du dramaturge, les faits auxquels elle fait référence sont bien réels.
"L'affaire Von Bülow" qui contenait tous les ingrédients d'un soap opera - "money, sex and drugs" - a défrayé la chronique dans les années 80. Dershowitz en a tiré un livre "Reversal of fortune" qui a été adapté au cinéma par Barbet Shroeder en 1990 ("Le mystère Von Bülow")
Dans la pièce donc, Dershowitz, devenu riche et célèbre à son tour, attend la visite de son ancien client, qui a quitté Rhode Island et les Etats-Unis pour s'exiler à Londres (où, nous l'apprendrons plus tard il lui arrive d'écrire... des critiques de théâtre). Pourquoi cette visite un soir de Noël, dix ans après ? "J'espère qu'il n'a pas encore tué quelqu'un", ironise Dershowitz au téléphone avec sa femme.
La scénographie -parfaite- nous amène dans le luxueux bureau New-Yorkais de l'avocat. Un immense sapin de Noël cohabite avec quelques détails qui rappellent la judéité de Dershowitz, la mezouzah près de la porte, le chandelier de Hanoucca dans la bibliothèque. Von Bülow se fait annoncer sous le nom de Dracula, le ton est donné, l'affrontement peut commencer. Sous le badinage, sourdent les non-dits et les contentieux entre le germanique et oisif Von Bülow, qui se targue d'une parenté par alliance avec Wagner, et le juif qui a travaillé d'arrache-pieds pour passer de Brooklyn à Manhattan, mais aussi une forme d'admiration et de complicité.
Admirablement mis en scène et dirigés par Dominique Guillo (qui signe aussi la musique) Patrick Chesnais et Nicolas Briançon nous livre une prestation dont le degré de maîtrise nous laisse à penser qu'effectivement "l'art est plus réel que la vie". On a les larmes aux yeux et la seconde d'après on éclate de rire. Dans ce jeu de chat et souris, le seul qui est pris c'est le spectateur. On en arrive à croire, même en connaissant bien l'affaire, que, oui, la vérité va nous être révélée. À quelques blocks du bureau de Dershowitz, Sunny git dans une chambre d'hôpital, dans le coma depuis 16 ans.
Mais, et c'est peut-être cela la leçon de la pièce, il faut apprendre à vivre avec le doute.
La petite phrase citée en exergue est prononcée alors qu'un Von Bülow et un Dershowitz de fiction s'interrogent sur le choix de acteurs qui les ont incarnés à l'écran dans cette autre fictionnalisation qu'est le film de Barbet Shroeder. Peut-on rêver plus belle mise en abyme ?
Un exemple de ce que la fiction peut apporter à la réflexion sur ce qu'on a coutume d'appeler le "fait divers", quand elle nous ramène à nos propres questionnements, sans voyeurisme ou parti-pris.
Ainsi parle Claus Von Bülow (Patrick Chesnais) alors qu'il rend visite à son ancien avocat Alan Dershowitz (Nicolas Briançon) qui, dix ans auparavant, a obtenu son acquittement en appel, alors qu'il avait été condamné en première instance à 30 ans de prison pour le meurtre de sa femme Martha dite "Sunny", une richissime héritière. Si cette rencontre qui forme la trame de la remarquable pièce d'Alain Teulié est sortie de l'imagination du dramaturge, les faits auxquels elle fait référence sont bien réels.
"L'affaire Von Bülow" qui contenait tous les ingrédients d'un soap opera - "money, sex and drugs" - a défrayé la chronique dans les années 80. Dershowitz en a tiré un livre "Reversal of fortune" qui a été adapté au cinéma par Barbet Shroeder en 1990 ("Le mystère Von Bülow")
Dans la pièce donc, Dershowitz, devenu riche et célèbre à son tour, attend la visite de son ancien client, qui a quitté Rhode Island et les Etats-Unis pour s'exiler à Londres (où, nous l'apprendrons plus tard il lui arrive d'écrire... des critiques de théâtre). Pourquoi cette visite un soir de Noël, dix ans après ? "J'espère qu'il n'a pas encore tué quelqu'un", ironise Dershowitz au téléphone avec sa femme.
La scénographie -parfaite- nous amène dans le luxueux bureau New-Yorkais de l'avocat. Un immense sapin de Noël cohabite avec quelques détails qui rappellent la judéité de Dershowitz, la mezouzah près de la porte, le chandelier de Hanoucca dans la bibliothèque. Von Bülow se fait annoncer sous le nom de Dracula, le ton est donné, l'affrontement peut commencer. Sous le badinage, sourdent les non-dits et les contentieux entre le germanique et oisif Von Bülow, qui se targue d'une parenté par alliance avec Wagner, et le juif qui a travaillé d'arrache-pieds pour passer de Brooklyn à Manhattan, mais aussi une forme d'admiration et de complicité.
Admirablement mis en scène et dirigés par Dominique Guillo (qui signe aussi la musique) Patrick Chesnais et Nicolas Briançon nous livre une prestation dont le degré de maîtrise nous laisse à penser qu'effectivement "l'art est plus réel que la vie". On a les larmes aux yeux et la seconde d'après on éclate de rire. Dans ce jeu de chat et souris, le seul qui est pris c'est le spectateur. On en arrive à croire, même en connaissant bien l'affaire, que, oui, la vérité va nous être révélée. À quelques blocks du bureau de Dershowitz, Sunny git dans une chambre d'hôpital, dans le coma depuis 16 ans.
Mais, et c'est peut-être cela la leçon de la pièce, il faut apprendre à vivre avec le doute.
La petite phrase citée en exergue est prononcée alors qu'un Von Bülow et un Dershowitz de fiction s'interrogent sur le choix de acteurs qui les ont incarnés à l'écran dans cette autre fictionnalisation qu'est le film de Barbet Shroeder. Peut-on rêver plus belle mise en abyme ?
Un exemple de ce que la fiction peut apporter à la réflexion sur ce qu'on a coutume d'appeler le "fait divers", quand elle nous ramène à nos propres questionnements, sans voyeurisme ou parti-pris.
Un vrai beau moment de théâtre si on aime les comédiens! Qualité de jeu exceptionnelle! Que c'est plaisant!
Un spectacle à l'anglo-saxonne! Bien produit (décors et costumes somptueux), bien monté, et merveilleusement joué.
La pièce se perd parfois un peu mais les comédiens emportent tout. Je me suis senti à New-York pendant une heure trente...
Du bon théâtre, classique certes, mais que c'est agréable!
Il y a beaucoup de spectacles à Paris qui flirtent un peu avec l'amateurisme, ça n'est pas le cas ici. Et ça fait du bien.
De la bel ouvrage!
Un spectacle à l'anglo-saxonne! Bien produit (décors et costumes somptueux), bien monté, et merveilleusement joué.
La pièce se perd parfois un peu mais les comédiens emportent tout. Je me suis senti à New-York pendant une heure trente...
Du bon théâtre, classique certes, mais que c'est agréable!
Il y a beaucoup de spectacles à Paris qui flirtent un peu avec l'amateurisme, ça n'est pas le cas ici. Et ça fait du bien.
De la bel ouvrage!
Un petit bijou.
Si on aime les grands personnages, les affrontements, les joutes, les duels, le suspens... Alors cette pièce est pour vous.
Deux immenses comédiens. Mention spéciale à Nicolas Briançon qui nous surprend dans ce rôle d'avocat new-yorkais.
Le décor de Jean Haas est somptueux. Et oui, parfois on ne comprend pas tout ce que dit Patrick Chesnais mais on s'en fout parce que le comédien reste magique.
C'est une belle soirée de théâtre. Classique et passionnante.
Si on aime les grands personnages, les affrontements, les joutes, les duels, le suspens... Alors cette pièce est pour vous.
Deux immenses comédiens. Mention spéciale à Nicolas Briançon qui nous surprend dans ce rôle d'avocat new-yorkais.
Le décor de Jean Haas est somptueux. Et oui, parfois on ne comprend pas tout ce que dit Patrick Chesnais mais on s'en fout parce que le comédien reste magique.
C'est une belle soirée de théâtre. Classique et passionnante.
Première de la pièce au théâtre Montparnasse.
Claus von Bülow a été accusé du meurtre de sa femme dans un premier jugement. Dans un second jugement, il prend comme avocat un jeune avocat, Alan Dershowitz. Celui-ci, jeune professeur de droit, obtiendra l'acquittement et obtiendra sa renommée grâce à ce jugement.
Claus von Bülow revient le voir 10 ans plus tard un soir de Noël. Est-il coupable? Pourquoi revient-il? Pourquoi à Noël?
La pièce sera la joute verbale de ces deux personnages.
Personnellement, je n'ai pas accroché à la proposition. La réponse aux questions ne m'a absolument pas tenue en haleine, loin de là...
C'est le genre d'affrontement d'hommes qu'on a vu tellement de fois. C'est tellement classique. L'écriture n'est pas d'une grande profondeur. Est-il ou pas coupable? C'est du réchauffé pour moi. Rien de nouveau sous le soleil de la rentrée!
Si Nicolas Briançon tient son rôle, le jeu est très déséquilibré avec le jeu de Patrick Chesnais. Nicolas Briançon porte à bout de bras une pièce sans rythme, sans surprise, sans grand intérêt. Les jeux sont vraiment déséquilibrés.
Mise en scène classique avec la neige de Noël à NY et la vue sur les gratte-ciel. Aucune audace, aucune surprise non plus.
Le tout est plat dans une salle qui applaudit respectueusement et mollement à la fin.
Le décor est très travaillé.
Démarrage bien décevant.
Dommage!!
Claus von Bülow a été accusé du meurtre de sa femme dans un premier jugement. Dans un second jugement, il prend comme avocat un jeune avocat, Alan Dershowitz. Celui-ci, jeune professeur de droit, obtiendra l'acquittement et obtiendra sa renommée grâce à ce jugement.
Claus von Bülow revient le voir 10 ans plus tard un soir de Noël. Est-il coupable? Pourquoi revient-il? Pourquoi à Noël?
La pièce sera la joute verbale de ces deux personnages.
Personnellement, je n'ai pas accroché à la proposition. La réponse aux questions ne m'a absolument pas tenue en haleine, loin de là...
C'est le genre d'affrontement d'hommes qu'on a vu tellement de fois. C'est tellement classique. L'écriture n'est pas d'une grande profondeur. Est-il ou pas coupable? C'est du réchauffé pour moi. Rien de nouveau sous le soleil de la rentrée!
Si Nicolas Briançon tient son rôle, le jeu est très déséquilibré avec le jeu de Patrick Chesnais. Nicolas Briançon porte à bout de bras une pièce sans rythme, sans surprise, sans grand intérêt. Les jeux sont vraiment déséquilibrés.
Mise en scène classique avec la neige de Noël à NY et la vue sur les gratte-ciel. Aucune audace, aucune surprise non plus.
Le tout est plat dans une salle qui applaudit respectueusement et mollement à la fin.
Le décor est très travaillé.
Démarrage bien décevant.
Dommage!!
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