Critiques pour l'événement Rimbaud en feu
Voleur de feu.
Quelle dernière !
Jean Pierre Daroussin, transcendé par son personnage, nous a offert une prestation éblouissante.
En jogging, chaussette trouée, dans un décor d'hôpital psychiatrique.
Tour à tour illuminé, sarcastique ou nostalgique, parlant de cul comme de l'âme avec une égale conviction.
Tel un bateau ivre il tangue, se rééquilibre, avant de s'allonger, puis de tanguer à nouveau.
Poursuivi par les ombres de Verlaine, Ferré, Michaux et tant d'autres qui le suivent pas à pas.
Jean Michel Djian nous fait un cadeau puissant, vibrant, intelligent ....magnifique.
La mise en scène précise d'Anna Novion souligne de manière très juste la folie du poète sans jamais en faire trop.
Un hommage merveilleux.
Un moment rare !
Quelle dernière !
Jean Pierre Daroussin, transcendé par son personnage, nous a offert une prestation éblouissante.
En jogging, chaussette trouée, dans un décor d'hôpital psychiatrique.
Tour à tour illuminé, sarcastique ou nostalgique, parlant de cul comme de l'âme avec une égale conviction.
Tel un bateau ivre il tangue, se rééquilibre, avant de s'allonger, puis de tanguer à nouveau.
Poursuivi par les ombres de Verlaine, Ferré, Michaux et tant d'autres qui le suivent pas à pas.
Jean Michel Djian nous fait un cadeau puissant, vibrant, intelligent ....magnifique.
La mise en scène précise d'Anna Novion souligne de manière très juste la folie du poète sans jamais en faire trop.
Un hommage merveilleux.
Un moment rare !
J'ai beaucoup apprécié le découpage, la mise en scène et bien sûr la prestation de J-P Darroussin.
Il tient bien le spectateur en haleine tout au long du spectacle.
Il tient bien le spectateur en haleine tout au long du spectacle.
Très grosse performance de Jean-Pierre Darroussin qui campe Arthur Rimbaud selon Jean-Michel Djian.
Rimbaud qui dissèque au scalpel une époque (1924) qu'il n'a pas connu puisque décédé 30 ans plus tôt. Darroussin est habité par le personnage. Un texte difficile qu'il nous sert pendant plus d'une heure sans aucune faute note.
Attention : révisez vos classiques car il y a beaucoup de références littéraires qui pourraient vous gâcher le plaisir si elles vous sont inconnues. Spectacle en rodage en région avant de s'installer au théâtre Antoine en janvier.
Rimbaud qui dissèque au scalpel une époque (1924) qu'il n'a pas connu puisque décédé 30 ans plus tôt. Darroussin est habité par le personnage. Un texte difficile qu'il nous sert pendant plus d'une heure sans aucune faute note.
Attention : révisez vos classiques car il y a beaucoup de références littéraires qui pourraient vous gâcher le plaisir si elles vous sont inconnues. Spectacle en rodage en région avant de s'installer au théâtre Antoine en janvier.
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