Critiques pour l'événement Oscar et la dame rose
J’ai adoré cette belle et triste histoire de ce petit garçon et sa garde malade.
Je n’avais pas lu le livre mais j’y ai remédié juste après la pièce.
L’émotion est vraiment présente et le comédien qui joue tous les rôles est juste et amène une certaine poésie, une douceur particulière.
Vraiment il faut la voir.
Je n’avais pas lu le livre mais j’y ai remédié juste après la pièce.
L’émotion est vraiment présente et le comédien qui joue tous les rôles est juste et amène une certaine poésie, une douceur particulière.
Vraiment il faut la voir.
La pièce est tirée du roman éponyme d'Eric Emmanuel Schmitt et c'est en prenant le point de vue d'Oscar que la metteuse en scène Lucie Muratet nous propose cette version. Auparavant j'avais déjà vu la pièce mais traitée du point de vue de la dame en rose. J'ai préféré cette nouvelle version qui m'a encore plus touchée.
Oscar raconte sa vie à l'hopital, les visites de ses parents, les copains convalescents comme lui et surtout ses conversations avec mamie Rose, l'ex catcheuse.
Seul sur scène, Pierre Matras joue tous les roles (copains, medecin, mamie Rose) mais il est surtout Oscar. Un Oscar de 10 ans, plus vrai que nature avec son crane rasé au milieu de sa chambre d'Hopital où tous les meubles ont été surdimmensionné pour qu'il paraisse plus petit. Pierre Matras nous émeut en tant qu'Oscar. Il est sensationnel car juste en changeant l'intonnation de sa voix et l'expression de son visage, il passe d'un personnage à l'autre en une fraction de seconde..
La mise en scène le fait se déplacer dans sa chambre uniquement et pourtant il nous transporte en imagination chez mamie Rose. C'est vraiment réussi !
L'histoire est faite de sourires, de moments d'angoisse, de pleurs : c'est fort en émotions et nous sommes tenus en haleine par la voix du comédien jusqu'au final.
Un beau moment de théâtre.
Oscar raconte sa vie à l'hopital, les visites de ses parents, les copains convalescents comme lui et surtout ses conversations avec mamie Rose, l'ex catcheuse.
Seul sur scène, Pierre Matras joue tous les roles (copains, medecin, mamie Rose) mais il est surtout Oscar. Un Oscar de 10 ans, plus vrai que nature avec son crane rasé au milieu de sa chambre d'Hopital où tous les meubles ont été surdimmensionné pour qu'il paraisse plus petit. Pierre Matras nous émeut en tant qu'Oscar. Il est sensationnel car juste en changeant l'intonnation de sa voix et l'expression de son visage, il passe d'un personnage à l'autre en une fraction de seconde..
La mise en scène le fait se déplacer dans sa chambre uniquement et pourtant il nous transporte en imagination chez mamie Rose. C'est vraiment réussi !
L'histoire est faite de sourires, de moments d'angoisse, de pleurs : c'est fort en émotions et nous sommes tenus en haleine par la voix du comédien jusqu'au final.
Un beau moment de théâtre.
Né sous la plume d’Eric-Emmanuel Schmitt en 2002, ce roman constitue aujourd’hui un classique pour les amoureux de belles histoires. Le théâtre ne tarde pas à s’en saisir puisque dès 2003, l’auteur, lui-même, en rédige une adaptation sur scène. Traditionnellement, la narration est réalisée par Mamie Rose.
Pour ce nouvel opus, la metteuse en scène, Lucie Muratet, adopte un point de vue différent en confiant le rôle à un homme, Pierre Matras. Plutôt les rôles dois-je, car à charge pour lui d’incarner Oscar, Mamie Rose, les parents, le médecin … Challenge ambitieux, mais payant. Sur les planches, le comédien s’avère absolument bluffant. Impressionnant de mimétisme. Inutile pour lui de faire œuvre de milliers d’artifices pour faire apparaître les différents personnages. Un simple sourire, la position des mains, l’attitude du corps, un changement dans le regard suffit à faire comprendre celui venant d’entrer en scène.
Performance brillante pour une pièce qui ne l’est pas moins. Autour d’un décor unique, à savoir une chambre d’hôpital, la mise en scène joue beaucoup sur les lumières afin de créer une atmosphère en adéquation avec les propos tenus. Bien vu !
Le texte, quant à lui, est une merveille d’émotions, allant du rire aux larmes. A cet égard, si tout du long l’humour est très présent, les dernières dizaines de minutes sont particulièrement poignantes. Pensez à vous munir de mouchoirs en papier …
En résumé, Oscar et la dame Rose est un spectacle plein d’humour, plein d’amour, dont chacun sortira bouleversé.
A voir sans hésiter.
Pour ce nouvel opus, la metteuse en scène, Lucie Muratet, adopte un point de vue différent en confiant le rôle à un homme, Pierre Matras. Plutôt les rôles dois-je, car à charge pour lui d’incarner Oscar, Mamie Rose, les parents, le médecin … Challenge ambitieux, mais payant. Sur les planches, le comédien s’avère absolument bluffant. Impressionnant de mimétisme. Inutile pour lui de faire œuvre de milliers d’artifices pour faire apparaître les différents personnages. Un simple sourire, la position des mains, l’attitude du corps, un changement dans le regard suffit à faire comprendre celui venant d’entrer en scène.
Performance brillante pour une pièce qui ne l’est pas moins. Autour d’un décor unique, à savoir une chambre d’hôpital, la mise en scène joue beaucoup sur les lumières afin de créer une atmosphère en adéquation avec les propos tenus. Bien vu !
Le texte, quant à lui, est une merveille d’émotions, allant du rire aux larmes. A cet égard, si tout du long l’humour est très présent, les dernières dizaines de minutes sont particulièrement poignantes. Pensez à vous munir de mouchoirs en papier …
En résumé, Oscar et la dame Rose est un spectacle plein d’humour, plein d’amour, dont chacun sortira bouleversé.
A voir sans hésiter.
Afficher les 2 commentaires
... Un spectacle extrêmement touchant, toujours digne, profondément prenant et remarquablement interprété. Je recommande vivement ce moment de théâtre.
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Les avis de la rédaction