Critiques pour l'événement Les Poupées persanes
Une pièce très riche, servie par de très bons comédiens. Petit plus pour la musique, qui sert très bien le propos.
En revanche, la fin est à la fois trop rapide (enchainement de tableaux qui fait tourner la tete) et trop lente (bon venons-en au fait).
Une jolie pièce à voir !
En revanche, la fin est à la fois trop rapide (enchainement de tableaux qui fait tourner la tete) et trop lente (bon venons-en au fait).
Une jolie pièce à voir !
Frustré !!!
J'attendais tellement de cette pièce au regard des Molieres et des critiques dithyrambiques obtenus que je suis sorti de ce théâtre monégasque ( par ailleurs froid sans charme et impersonnel) totalement déçu et abasourdi !
Évidemment c'est une bonne pièce sur un sujet politique historique important... mais je n'ai jamais réussi à rentrer dans l'histoire ..
Totalement dérouté par ces allers retours entre 1999 et la période 1973/1979...je n'ai absolument pas compris l'intérêt de ces moments de vie à Avoriaz et visiblement je suis le seul vu que la salle était debout !
J'ai trouvé assez pénible le jeu des acteurs car surjoué...sans véritable émotions alors que le sujet de la pièce est vraiment très intéressant....
J'aurais préféré que l'auteur concentre sa pièce sur la période des révolutions iraniennes...qui est le cœur du sujet évoqué....
Bref je suis passé à côté de cette pièce et je ne comprends pas pourquoi car j'étais persuadé d'assister à une très grande pièce et malheureusement je n'ai ressenti que frustration incompréhension et déception !!!
J'attendais tellement de cette pièce au regard des Molieres et des critiques dithyrambiques obtenus que je suis sorti de ce théâtre monégasque ( par ailleurs froid sans charme et impersonnel) totalement déçu et abasourdi !
Évidemment c'est une bonne pièce sur un sujet politique historique important... mais je n'ai jamais réussi à rentrer dans l'histoire ..
Totalement dérouté par ces allers retours entre 1999 et la période 1973/1979...je n'ai absolument pas compris l'intérêt de ces moments de vie à Avoriaz et visiblement je suis le seul vu que la salle était debout !
J'ai trouvé assez pénible le jeu des acteurs car surjoué...sans véritable émotions alors que le sujet de la pièce est vraiment très intéressant....
J'aurais préféré que l'auteur concentre sa pièce sur la période des révolutions iraniennes...qui est le cœur du sujet évoqué....
Bref je suis passé à côté de cette pièce et je ne comprends pas pourquoi car j'étais persuadé d'assister à une très grande pièce et malheureusement je n'ai ressenti que frustration incompréhension et déception !!!
Une pièce bouleversante, tragi-comique et très bien jouée !
Du grand théâtre populaire et exigeant !
Bravo !
Du grand théâtre populaire et exigeant !
Bravo !
La magie des contes !
De ses origines perses, Aïda Azgharzadeh possède ce don merveilleux de savoir raconter.
Et nous offre ce drame magnifique dans lequel la grande Histoire écrase la petite.
Où la folie des Grands balaie le destin des hommes.
Une écriture romanesque dans laquelle l'immense empathie de l'auteur nous fait passer du rire aux larmes, de la légèreté à la gravité.
Jusqu'au dénouement, la mise en scène géniale de Régis Vallée nous tient en haleine, alternant les époques et les lieux, jouant avec le décor ingénieux et les costumes des personnages.
Les six comédiens, qui jouent tous plusieurs rôles avec fluidité, parviennent à nous transmettre à la fois une grande intensité et un vrai naturel.
Happés dès les premières minutes, nous sommes avec eux tout le long.
La musique, jouée sur un superbe luth, intensifie certains moments avec beaucoup d'à propos.
La salle se lève pour applaudir ....
Emotions garanties !
De ses origines perses, Aïda Azgharzadeh possède ce don merveilleux de savoir raconter.
Et nous offre ce drame magnifique dans lequel la grande Histoire écrase la petite.
Où la folie des Grands balaie le destin des hommes.
Une écriture romanesque dans laquelle l'immense empathie de l'auteur nous fait passer du rire aux larmes, de la légèreté à la gravité.
Jusqu'au dénouement, la mise en scène géniale de Régis Vallée nous tient en haleine, alternant les époques et les lieux, jouant avec le décor ingénieux et les costumes des personnages.
Les six comédiens, qui jouent tous plusieurs rôles avec fluidité, parviennent à nous transmettre à la fois une grande intensité et un vrai naturel.
Happés dès les premières minutes, nous sommes avec eux tout le long.
La musique, jouée sur un superbe luth, intensifie certains moments avec beaucoup d'à propos.
La salle se lève pour applaudir ....
Emotions garanties !
Quel est le point commun entre la légendaire histoire d’amour de Bijan et Manijeh, les héros d’un conte persan, avec quatre universitaires des années 70 à Téhéran entre la chute du shah et l’arrivée du régime islamique de Khomeiny et puis l’histoire d’une mère ‘Françoise’ et de ses deux filles, Bahar et Niloufar, en vacances à Avoriaz pour le nouvel an de l’an 2000 ?
Le point commun, c’est la petite histoire dans la grande Histoire d’un pays, l’histoire du peuple iranien vu à travers deux histoires qui se déroulent en parallèle sous nos yeux via une mise en scène astucieuse et fluide de Régis Vallée. Le spectateur sait toujours quand et où il se trouve.
La pièce d’Aïda Azgharzadeh est une belle histoire oscillant entre comédie et drame avec un équilibre parfait. Elle nous conte avec ferveur l’histoire du pays de ses racines. La pièce commence d’ailleurs par l’équivalent iranien de ‘Il était une fois…’
C’est la même équipe (auteur, metteur en scène, technique et comédiens) qui a déjà proposé ‘La Main de Leïla’ et cela se ressent : la complicité des comédiens est palpable. Aïda Azgharzadeh est présente sur scène, elle irradie dans les rôles de Bahar et Manijeh. Face à elle, il y a, entre autres, Kamel Isker déjà remarqué dans ‘Marco Polo et l’hirondelle du Khan’ et dans ‘La famille Ortiz’ et Ariane Mourier (Molière révélation féminine pour le Banquet) qui sont eux aussi très justes dans leur interprétation.
La pièce dure 1h50 environ et c’est un beau voyage qui nous est proposé.
Le point commun, c’est la petite histoire dans la grande Histoire d’un pays, l’histoire du peuple iranien vu à travers deux histoires qui se déroulent en parallèle sous nos yeux via une mise en scène astucieuse et fluide de Régis Vallée. Le spectateur sait toujours quand et où il se trouve.
La pièce d’Aïda Azgharzadeh est une belle histoire oscillant entre comédie et drame avec un équilibre parfait. Elle nous conte avec ferveur l’histoire du pays de ses racines. La pièce commence d’ailleurs par l’équivalent iranien de ‘Il était une fois…’
C’est la même équipe (auteur, metteur en scène, technique et comédiens) qui a déjà proposé ‘La Main de Leïla’ et cela se ressent : la complicité des comédiens est palpable. Aïda Azgharzadeh est présente sur scène, elle irradie dans les rôles de Bahar et Manijeh. Face à elle, il y a, entre autres, Kamel Isker déjà remarqué dans ‘Marco Polo et l’hirondelle du Khan’ et dans ‘La famille Ortiz’ et Ariane Mourier (Molière révélation féminine pour le Banquet) qui sont eux aussi très justes dans leur interprétation.
La pièce dure 1h50 environ et c’est un beau voyage qui nous est proposé.
Deux histoires évoluent en parallèle : une histoire de quatre jeunes en Iran lors des révoltes contre le shah et l'arrivée de Khomeini, une autre d'un séjour au ski à Noël en France.
On comprend que les histoires vont se rejoindre.
On vit la répression des quatre jeunes iraniens par les deux régimes. Des images sont diffusées sur cette cette page de l'histoire moderne du pays (arrivée de Khomeini en héros dans un avion Air France).
Peu à peu les histoires convergent et on comprend les liens au fur et à mesure.
L'histoire est bien menée avec toutes les successions de flash back, la présence des acteurs du présent et du passé. C'est bien monté, fluide. Une histoire douloureuse nous est dévoilée peu à peu.
Une belle évocation de la culture iranienne.
J'ai aussi beaucoup aimé les face à face des acteurs tournés vers le public.
La mise en scène est joliment faite. Les acteurs sont impeccables.
L'histoire est passionnante. On rit, on pleure avec eux.
Je me suis laissée embarquer jusqu'au bout de cette histoire.
Très beau spectacle, surement le spectacle de la rentrée pour le moment.
On comprend que les histoires vont se rejoindre.
On vit la répression des quatre jeunes iraniens par les deux régimes. Des images sont diffusées sur cette cette page de l'histoire moderne du pays (arrivée de Khomeini en héros dans un avion Air France).
Peu à peu les histoires convergent et on comprend les liens au fur et à mesure.
L'histoire est bien menée avec toutes les successions de flash back, la présence des acteurs du présent et du passé. C'est bien monté, fluide. Une histoire douloureuse nous est dévoilée peu à peu.
Une belle évocation de la culture iranienne.
J'ai aussi beaucoup aimé les face à face des acteurs tournés vers le public.
La mise en scène est joliment faite. Les acteurs sont impeccables.
L'histoire est passionnante. On rit, on pleure avec eux.
Je me suis laissée embarquer jusqu'au bout de cette histoire.
Très beau spectacle, surement le spectacle de la rentrée pour le moment.
On ne change pas une équipe qui gagne.
Aïda Asgharzadeh (La main de Leïla) l'a bien compris, en créant ses Poupées persanes, et en rappelant à la mise en scène Régis Vallée.
C'est la magie d'un conte, d'un voyage, d'une fiction historique entre Téhéran à la fin des années 70, et la station de ski d'Avoriaz, à l'aube de l'an 2000.
Régis Vallée parvient à nous livrer cette magie par un décor minimaliste mais efficace, et un équilibre constant entre le rire et les larmes, le réalisme et la poésie.
Le choix de la musique, envoûtante et très présente dans certaines scènes, mais aussi de projections vidéos, renforcent ces passages d'une émotion à une autre.
La distribution est simplement parfaite : Kamel Isker, Azize Kabouche, Toufan Manoutcheri, Sylvain Mossot, Ariane Mourier, mais aussi l'auteure elle-même, trouvent leurs places, en incarnant plusieurs personnages avec une fluidité incroyable.
Le texte est porté, magistralement, et dévoile toute sa richesse de moments forts en notes légères, de références perses à découvrir, et d'anecdotes pétillantes et familières pour la génération Y française.
On se laisse happer sans hésitation dans l'histoire, ces destins liés, ces secrets de famille, ces sentiments intenses, autant que dans l'Histoire, avec ce bond intimiste dans la révolution iranienne.
Nul doute que ces poupées seront un des succès de cette rentrée théâtrale...!
Aïda Asgharzadeh (La main de Leïla) l'a bien compris, en créant ses Poupées persanes, et en rappelant à la mise en scène Régis Vallée.
C'est la magie d'un conte, d'un voyage, d'une fiction historique entre Téhéran à la fin des années 70, et la station de ski d'Avoriaz, à l'aube de l'an 2000.
Régis Vallée parvient à nous livrer cette magie par un décor minimaliste mais efficace, et un équilibre constant entre le rire et les larmes, le réalisme et la poésie.
Le choix de la musique, envoûtante et très présente dans certaines scènes, mais aussi de projections vidéos, renforcent ces passages d'une émotion à une autre.
La distribution est simplement parfaite : Kamel Isker, Azize Kabouche, Toufan Manoutcheri, Sylvain Mossot, Ariane Mourier, mais aussi l'auteure elle-même, trouvent leurs places, en incarnant plusieurs personnages avec une fluidité incroyable.
Le texte est porté, magistralement, et dévoile toute sa richesse de moments forts en notes légères, de références perses à découvrir, et d'anecdotes pétillantes et familières pour la génération Y française.
On se laisse happer sans hésitation dans l'histoire, ces destins liés, ces secrets de famille, ces sentiments intenses, autant que dans l'Histoire, avec ce bond intimiste dans la révolution iranienne.
Nul doute que ces poupées seront un des succès de cette rentrée théâtrale...!
C’est l’alternance de deux époques, et de deux lieux, entre la France et l’Iran des années 70 à la découverte de cette famille au passé compliqué, sous forme de Flash-back parfaitement orchestrés.
Aïda Asgharzadeh, l’auteure, est décidément une magnifique conteuse et le texte est superbe.
On trouve beaucoup de précision et d’inventivité dans la brillante mise en scène de Regis Vallée. Une scénographie particulière intelligente et pleine de surprises.
Ils nous racontent une histoire et l’on est littéralement happé par cette épopée romanesque sur fond historique entre Téhéran et Avoriaz. On s’attache aux personnages, ces couples qui luttent entre leur présent et leur passé. La distribution parfaite nous rend tous ces personnages réels et touchants.
Une pièce passionnante et pleine d’émotion. On rit, on pleure, le rythme est endiablé sans aucun temps mort.
Une très belle pièce !
Aïda Asgharzadeh, l’auteure, est décidément une magnifique conteuse et le texte est superbe.
On trouve beaucoup de précision et d’inventivité dans la brillante mise en scène de Regis Vallée. Une scénographie particulière intelligente et pleine de surprises.
Ils nous racontent une histoire et l’on est littéralement happé par cette épopée romanesque sur fond historique entre Téhéran et Avoriaz. On s’attache aux personnages, ces couples qui luttent entre leur présent et leur passé. La distribution parfaite nous rend tous ces personnages réels et touchants.
Une pièce passionnante et pleine d’émotion. On rit, on pleure, le rythme est endiablé sans aucun temps mort.
Une très belle pièce !
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