Critiques pour l'événement Cuisine et Dépendances
La pièce est agréable mais le rendu m'a un peu déçu.
Je pense que cela vient du jeu des acteurs : parfois trop fades ou trop présents, on parle un peu trop fort.
Côté décor, une très bonne note !
Je pense que cela vient du jeu des acteurs : parfois trop fades ou trop présents, on parle un peu trop fort.
Côté décor, une très bonne note !
Enchainer les cigarettes (au moins 4 ou 5) sur scène m'a vraiment perturbé car je ne vais pas au théâtre pour être un fumeur passif de gitanes notamment placé en orchestre.
Dans cette atmosphère enfumée, je n'ai pas réussi à rentrer dans la pièce même le décor est parfait.
Le jeu de certains acteurs m'a paru fade comme si ils étaient entrés dans une sorte de routine. Léa Drucker m'a déçu par son jeu. Bref ils font le minimum syndical.
Peut-être s'attaquent-ils à une pièce trop compliquée ou cherchent t-ils à copier les acteurs originaux sans y mettre leur propre patte.
Dommage !
Dans cette atmosphère enfumée, je n'ai pas réussi à rentrer dans la pièce même le décor est parfait.
Le jeu de certains acteurs m'a paru fade comme si ils étaient entrés dans une sorte de routine. Léa Drucker m'a déçu par son jeu. Bref ils font le minimum syndical.
Peut-être s'attaquent-ils à une pièce trop compliquée ou cherchent t-ils à copier les acteurs originaux sans y mettre leur propre patte.
Dommage !
Cette reprise de la pièce culte Jaoui/Bacri m'a un peu déçu.
Si le texte résonne encore, l'interprétation m'a laissé un peu sur la fin, notamment celle de Léa Drucker, tantôt effacée, tantôt hystérique.
Les comédiens donnent l'impression d'endosser un costume trop grand pour eux. A leur décharge, il paraissait presque impossible de faire oublier les interprètes originaux pour qui les personnages avaient été écrits sur mesure.
Autre bémol: le comédien interprétant le rôle de Georges fumait réellement sur la scène. Placés où nous étions nous récupérions toutes les odeurs de cigarettes, ce qui était franchement désagréable.
Si le texte résonne encore, l'interprétation m'a laissé un peu sur la fin, notamment celle de Léa Drucker, tantôt effacée, tantôt hystérique.
Les comédiens donnent l'impression d'endosser un costume trop grand pour eux. A leur décharge, il paraissait presque impossible de faire oublier les interprètes originaux pour qui les personnages avaient été écrits sur mesure.
Autre bémol: le comédien interprétant le rôle de Georges fumait réellement sur la scène. Placés où nous étions nous récupérions toutes les odeurs de cigarettes, ce qui était franchement désagréable.
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