Ses critiques
10 critiques
7/10
Je n’ai jamais rien vu de pareil. Ce spectacle est fabuleux !
Un décor minimaliste, quelques costumes, une touche de mimes, un texte à la fois familier et poétique et une belle histoire qui nous happe du début à la fin.
On sent que les comédiens s’amusent sur scène et l’énergie qui se dégage de tout cela est très communicative.
Courez-y !
Un décor minimaliste, quelques costumes, une touche de mimes, un texte à la fois familier et poétique et une belle histoire qui nous happe du début à la fin.
On sent que les comédiens s’amusent sur scène et l’énergie qui se dégage de tout cela est très communicative.
Courez-y !
7/10
Un grand numéro d'acteur !
Olivier Saladin se livre dans ce spectacle à un exercice peu aisé - celui d'interpréter seul en scène toute une galerie de personnages, par l'art de mimiques, de différentes attitudes corporelles, de changements de voix... Et cela fonctionne à merveille : le comédien réussit à nous entraîner ainsi dans les tribulations d'un interne en médecine lors d'une garde de nuit aux urgences d'un hôpital parisien.
Rien que par la force de son interprétation, on visualise tout, le malade sur son brancard, la course effrénée dans les couloirs de l'hôpital, la tête du pneumologue, les patients dans la salle d'attente etc.
Je recommande vivement ce spectacle extrêmement évocateur, drôle et bourré d'humanité.
Conseil (pour les personnes de petite taille) : éviter le premier rang de la corbeille et celui du balcon - une barre horizontale gêne un peu la vue.
Olivier Saladin se livre dans ce spectacle à un exercice peu aisé - celui d'interpréter seul en scène toute une galerie de personnages, par l'art de mimiques, de différentes attitudes corporelles, de changements de voix... Et cela fonctionne à merveille : le comédien réussit à nous entraîner ainsi dans les tribulations d'un interne en médecine lors d'une garde de nuit aux urgences d'un hôpital parisien.
Rien que par la force de son interprétation, on visualise tout, le malade sur son brancard, la course effrénée dans les couloirs de l'hôpital, la tête du pneumologue, les patients dans la salle d'attente etc.
Je recommande vivement ce spectacle extrêmement évocateur, drôle et bourré d'humanité.
Conseil (pour les personnes de petite taille) : éviter le premier rang de la corbeille et celui du balcon - une barre horizontale gêne un peu la vue.
7/10
Chouette idée de faire à nouveau entendre le texte de Marcel Aymé, où fascination pour la peine de mort, racisme, misogynie, corruption - autant de travers humains toujours bien ancrés dans notre société moderne - y sont épinglés.
La mise en scène habile et imaginative, dans le style polar des années 50 (le décor, mobile, fait penser à un plateau de tournage), permet de plonger entièrement dans cette satire féroce de la magistrature.
Les comédiens livrent le texte avec beaucoup de justesse (mention spéciale à Nicolas Lormeau, dans le rôle du procureur Maillard, invraisemblable d’intensité !).
J’ai beaucoup aimé.
Cela étant, au théâtre, le verdict qui compte, c’est celui de l’ensemble des spectateurs... Alors, à vous !
La mise en scène habile et imaginative, dans le style polar des années 50 (le décor, mobile, fait penser à un plateau de tournage), permet de plonger entièrement dans cette satire féroce de la magistrature.
Les comédiens livrent le texte avec beaucoup de justesse (mention spéciale à Nicolas Lormeau, dans le rôle du procureur Maillard, invraisemblable d’intensité !).
J’ai beaucoup aimé.
Cela étant, au théâtre, le verdict qui compte, c’est celui de l’ensemble des spectateurs... Alors, à vous !
7/10
Impayable ce professeur !
Dans un décor des plus sommaires - un bureau, deux brouettes et douze verres de tequila - le Professeur Rollin, seul en scène, apporte des réponses tantôt absurdes, tantôt engagées, parsemées de clins d’œil culturels, d’humour et de fantaisie, à des courriers de soi-disant spectateurs (tous de Brie-Comte-Robert…).
Il est question de biche et de koala, d’épices, de la taille des cuillères à soupe, d’une échelle de l’injustice, de l'immigration, de la bien-pensance... et c’est captivant.
Bien sûr on rit beaucoup mais on réfléchit aussi.
J’ai adoré !
(Conseil : arriver tôt car le placement est libre et la salle pleine à craquer)
Dans un décor des plus sommaires - un bureau, deux brouettes et douze verres de tequila - le Professeur Rollin, seul en scène, apporte des réponses tantôt absurdes, tantôt engagées, parsemées de clins d’œil culturels, d’humour et de fantaisie, à des courriers de soi-disant spectateurs (tous de Brie-Comte-Robert…).
Il est question de biche et de koala, d’épices, de la taille des cuillères à soupe, d’une échelle de l’injustice, de l'immigration, de la bien-pensance... et c’est captivant.
Bien sûr on rit beaucoup mais on réfléchit aussi.
J’ai adoré !
(Conseil : arriver tôt car le placement est libre et la salle pleine à craquer)
7,5/10
Très très drôle (à en rire aux larmes à certains moments).
La mise en scène est ingénieuse, les personnages soigneusement travaillés et attachants comme tout.
Jean Réno et Richard Berry n'hésitent pas à mouiller leur chemise (au sens propre comme au figuré) pour servir le texte avec intensité et brio.
Je n'ai pas vu le temps passer.
Courez-y !
(Conseil: faire très attention au choix des places : éviter les tous premiers rangs -la scène est élevée par rapport aux fauteuils - et les rangées latérales des balcons car les personnages sont rarement au centre de la scène).
La mise en scène est ingénieuse, les personnages soigneusement travaillés et attachants comme tout.
Jean Réno et Richard Berry n'hésitent pas à mouiller leur chemise (au sens propre comme au figuré) pour servir le texte avec intensité et brio.
Je n'ai pas vu le temps passer.
Courez-y !
(Conseil: faire très attention au choix des places : éviter les tous premiers rangs -la scène est élevée par rapport aux fauteuils - et les rangées latérales des balcons car les personnages sont rarement au centre de la scène).
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